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Depuis Paris, Yassine Ayari multiplie ses appels au meurtre et à la violence en Tunisie
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Depuis Paris où il réside, le blogueur tunisien Yassine Ayari multiplie les appels au meurtre et à la violence en Tunisie sur sa page Facebook. Une page suivie par quelque 25.000 personnes et dont les posts sont repris, parfois, par des hommes politiques tunisiens dont notamment le député Samir Ben Amor.
Ne digérant pas la chute du président égyptien Mohamed Morsi, le célèbre blogueur est en rage devant la passivité du pouvoir islamiste tunisien qui aurait dû, selon lui, arrêter et condamner tous ceux qui ont travaillé sous le régime Ben Ali.
A défaut, il lance donc des appels à la haine, à la violence et au meurtre en Tunisie, comme on peut le constater sur ces captures d’écran reprises sur sa page personnelle FB.
Ainsi, hier mercredi 3 juillet vers 22 heures, il annonce l’ouverture de la porte du djihad et du meurtre : « La porte du djihad est donc ouverte, nous sommes acculés au combat meurtrier, dit-il. Vous n’avez pas respecté les urnes, vous respecterez les munitions. Vous avez enfoncé la démocratie, vous serez enfoncés par les fusils. (…) Embrassez les militaires avant que vous ne soyez trainés dans la rue, jusqu’à la mort, par ceux à qui vous avez refusé l’existence. »
Plus tard, il fera l’éloge d’Al Qaïda et dit que Ben Laden avait raison finalement. « Aux armes ! ».
Vers 23 heures, il écrit « Apprenez Tunisiens de ce qui se passe en Egypte ! Préparez-vous à trainer dans la rue jusqu’à la mort, les magistrats, les journalistes, les RCDistes, les syndicalistes, Mondher Thabet, les indics et les laudateurs ! ».
A minuit finalement, avant de dormir, il achève ses salves par : « On ne nait pas terroriste, on le devient ! Bonne nuit ! ».
A lire également : Sur Facebook : Réactions des amis tunisiens du régime islamiste égyptien déchu
Ne digérant pas la chute du président égyptien Mohamed Morsi, le célèbre blogueur est en rage devant la passivité du pouvoir islamiste tunisien qui aurait dû, selon lui, arrêter et condamner tous ceux qui ont travaillé sous le régime Ben Ali.
A défaut, il lance donc des appels à la haine, à la violence et au meurtre en Tunisie, comme on peut le constater sur ces captures d’écran reprises sur sa page personnelle FB.
Ainsi, hier mercredi 3 juillet vers 22 heures, il annonce l’ouverture de la porte du djihad et du meurtre : « La porte du djihad est donc ouverte, nous sommes acculés au combat meurtrier, dit-il. Vous n’avez pas respecté les urnes, vous respecterez les munitions. Vous avez enfoncé la démocratie, vous serez enfoncés par les fusils. (…) Embrassez les militaires avant que vous ne soyez trainés dans la rue, jusqu’à la mort, par ceux à qui vous avez refusé l’existence. »
Plus tard, il fera l’éloge d’Al Qaïda et dit que Ben Laden avait raison finalement. « Aux armes ! ».
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