Abdelmoneem Ben Ammar, secrétaire général adjoint du syndicat de base de la pharmacie centrale, a tiré, le 30 mars 2018, la sonnette d’alarme concernant la situation financière de l’institution sur les ondes de Shems FM.
En effet, il a déclaré que la pharmacie était endettée auprès de ses fournisseurs étrangers à hauteur de 389 millions de dinars ce qui a un impact direct sur l’approvisionnement. Par conséquent, certains types de médicaments deviennent introuvables sur le territoire tunisien et les réserves nationales de médicaments, maintenues à un niveau de près de 3 mois, sont tombées à seulement 50 jours. Pour rappel, la pharmacie centrale souffre du fait que les hôpitaux et la CNAM ne l’ont pas encore payée, ou du moins partiellement.
« On va directement dans le mur ! Si le problème n’est pas résolu au plus vite, que ce soit par le ministère de la Santé ou par la présidence du gouvernement, Il se pourrait qu’on ne trouve plus de médicaments ni dans les hôpitaux, ni à la CNAM, en pharmacie ! », a-t-il alerté.
M.A
Commentaires (11)
Commenterde quoi je me mêle?
agents trafiquants de la pct
Les terroristes de la Tunisie et de la Lybie sont soignés sur le compte du peuple.
Alarmant
Les "Azlèms" de Nidaa Tounes n'ont aucun programme pour le pays, hormis de sauver leur peau de l'IVD et de Sihèm Ben Sedrine.
Maintenant, on nous raconte que la Pharmacie Centrale de Tunisie, fabrique des médicaments en achetant leurs produits pharmaceutiques, puis les vend sans encaisser leurs prix. C'est quoi ça comme république bananière?
Ce non-sens, ces escroqueries, ces tricheries et cette gabegie qui étaient de pratiques dissimulées sous les deux régimes despotiques de Bourguiba et de Ben Ali, ne pourront plus passer inaperçues dans cette deuxième République démocratique tunisienne de régime parlementaire, qui s'est transformée pour la première fois de l'histoire contemporaine de la Tunisie, en un Etat d'Institutions et de droit. La faute est à ceux qui ne veulent pas tracer une grande et épaisse ligne en rouge fluorescent, entre l'ancien régime déchu de Ben Ali, et la deuxième République tunisienne de régime parlementaire postrévolution du 14 janvier 2011. Ils traînent la faillite des caisses vides de l'ancien régime avec eux, sans se rendre compte, qu'il ne s'agit là que d'un sable mouvant, où on s'enfonce davantage à chaque mouvement de n'importe quelle direction qu'il soit.
Personnellement, je pense qu'il faut vite arrêter cette hémorragie de faire semblant, comme s'il y avait eu une passation en bonne et due forme de continuité régularisée de l'économie tunisienne, entre l'ancien régime dictatorial de Ben Ali et celui ne notre deuxième République institutionnellement démocratique, de régime parlementaire. Un mensonge qui ne pourra passer dans un Etat institutionnel. Rien ne pourra plus être balayé sous les tapis dans un vrai Etat d'Institutions. Donc, qu'on trace une ligne entre la période dictatoriale ayant précédé le 14 janvier 2011 et la deuxième République de régime parlementaire postrévolution du 14 janvier 2011. Puis équilibrer les déficits dont souffrent les Institutions tunisiennes du vacuum financier sous le régime dictatorial déchu, par étapes et par tranches, en adéquation avec la situation économique du pays suivant la précarité ses besoins de chaque institution de notre deuxième République. Ce n'est qu'avec le temps, que la faillite et les caisses vides de l'Etat délaissées par l'ancien régime déchu, en seraient nivelées pour redémarrer de nouveau sur de bases solides pour la construction d'un Etat de vraies Institutions, qui n'a jamais existé depuis l'indépendance de la Tunisie en 1956.
Honni soit qui mal y pense.
A quand la fin de cette nouvelle Dictature
Mais vraiment qui croit en cette mascarade?!
Qui sont les anciens fournisseurs étrangers et les nouveaux fournisseurs étrangers?
A chacun son intermédiaire!
Les mains de la NAHDHA ainsi que celle de BCE ne sont pas à écarter...
Non plus la Turquie et la Chine...
Les médicaments , caractère vital de 1er degrés !
Si le patient ne pourra pas s'abstenir de prendre ses médicaments à temps.par danger des conséquences fâcheuses sur sa santé,alors que nous pourrons ne pas manger 1 ou 2 jours sans aucun risque.
Donc, un maximum de sérieux et de vigilance doit être pris par toutes les instances intervenantes et particulièrement le ministère de la santé qui devrait coordonner tous les autres .
Merdocrates
Je vous en foutrais, moi, des diplômes de perroquets, et de la compétence de merdocrates ignares.
Est-ce que vous comprenez aujourd'hui ce que je vous racontai depuis sept années.
Est-ce que vous avez compris la vision de Léon. Est-ce que je peut encore me permettre de vous dire, et libre à vous de me croire ou de ne pas me croire, qu'il reste quelques solutions pour la Tunisie agonisante. Solutions que ne peuvent vous donner ni les politiques merdolutionnaires, ni les merdoctrates qui vous ont rassuré quant à la réussite prochaine de la Tunisie, mais que Léon peut mettre en oeuvre.
Ces pays qui faisait croire à vos merdocrates irresponsables qu'ils avaient la situation économique de la Tunisie en main.
Sachez que les pays auxquels obéissent vos merdocrates, ont reconnu ma vision, et par personnes interposées, en sont presque à se justifier auprès de ma personne et auprès des quelques patriotes qui ont de l'aura. Bien sûr qu'ils ne veulent pas de moi pour vous gouverner car je suis une personne Libre, donc non soumise. Comme l'était Bourguiba et les rares hommes qui ont fait l'histoire de la Tunisie.
Par contre je les intéresse pour avoir des responsabilités de premier plan chez eux, mais là, et à mon tour, cela ne m'intéresse pas.
Ce qu'ils pourraient me proposer comme poste politique CHEZ EUX, ils ne le proposeront à aucun des merdocrates très hauts diplômés qu'ils vous ont envoyé, car eux, contrairement aux gueux, ils savent faire la différence antre un très haut diplôme (donc un très haut technicien inventif) et un visionnaire politique (et malheureusement, même eux en manquent, sinon ils n'auraient pas "appuyé" certaines merdolutions).
Bref, si vous voulez encore m'écouter, je suis à l'entière disposition de mon pays.
Serviteur.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES (n'oubliez pas cette sourate. C'est le seul héritage "politique" valable que je vous laisse si un jour ils me font la peau).
Vitriol, Corruption, Consensus : chronique d'une faillite d'Etat
2011: sous l'étiquette Islam, Ennahdha draine la populace dans les urnes et gagne les élections,
2012-2013: Ennahdha s'empare du destin du pays et met les ministères de souveraineté (Intérieur, Affaires étrangères, Défense et Justice) sous sa tutelle : l'Etat tunisien en entier est au service du Mouvement Ennahdha. La corruption frappe partout, l'argent du golf coule à flots, le recrutement dans la fonction publique est réservé exclusivement aux militants d'Ennahdha, des jeunes sont vendus pour aller tuer ou se faire tuer en Syrie, les ténors du régime Ben Ali quittent miraculeusement la prison après avoir payé les rançons demandées, etc., etc., etc., etc.
2014: Ennahdha échoue dans les élections législatives. Ennahdha préfère cette fois-ci gouverner derrière le rideau. La corruption s'accentue, la corruption rénove ses moyens, la corruption se légalise par la loi (Loi de la Réconciliation).
2018: les malades tunisiens doivent mourir, l'Etat tunisien est en faillite totale, il n'a plus de devises pour importer les médicaments à ses malades.