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Crise de la pharmacie centrale : 50 jours de réserves de médicament
30/03/2018 | 09:15
1 min
Crise de la pharmacie centrale : 50 jours de réserves de médicament

Abdelmoneem Ben Ammar, secrétaire général adjoint du syndicat de base de la pharmacie centrale, a tiré, le 30 mars 2018, la sonnette d’alarme concernant la situation financière de l’institution sur les ondes de Shems FM.

 

En effet, il a déclaré que la pharmacie était endettée auprès de ses fournisseurs étrangers à hauteur de 389 millions de dinars ce qui a un impact direct sur l’approvisionnement. Par conséquent, certains types de médicaments deviennent introuvables sur le territoire tunisien et les réserves nationales de médicaments, maintenues à un niveau de près de 3 mois, sont tombées à seulement 50 jours. Pour rappel, la pharmacie centrale souffre du fait que les hôpitaux et la CNAM ne l’ont pas encore payée, ou du moins partiellement.

 

« On va directement dans le mur ! Si le problème n’est pas résolu au plus vite, que ce soit par le ministère de la Santé ou par la présidence du gouvernement, Il se pourrait qu’on ne trouve plus de médicaments ni dans les hôpitaux, ni à la CNAM, en pharmacie ! », a-t-il alerté.

 

M.A

30/03/2018 | 09:15
1 min
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Commentaires (11)

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hadj
| 30-03-2018 21:13
ce syndicat est dans son rôle? qui gère la pharmacie centrale? les médias entretiennent cette confusion en invitant n'importe qui pour parler de n'importe quoi. il grand temps que ce cirque cesse et que chacun se contonne dans son rôle!!

say
| 30-03-2018 19:13
N'oubliez pas aussi toutes les incendies criminelles que vous avez déclenché messieurs les syndicalistes pour vous accaparer de plusieurs médicaments listés catégorie A.

Abir
| 30-03-2018 18:36
Votre président est hyper content de son Ettawafek et attanafek avec les islamistes,Echaeib hazou Eloued et lui ,il dit: on est bien ! Quel domaine n'est pas encore touché par la catastrophe,je me demande si le Gourrou ne lui a pas fait (Ettalamisse) pourque ce président ne voit pas les vérités des choses !

Limou
| 30-03-2018 16:20
La pénurie de médicaments est plus que perceptible depuis 2011. Le système est en train de s'écrouler, ce qui est tout à fait prévisible depuis longtemps. Si la CNAM ne paye pas et l'état ( les hôpitaux) fait pareil alors ce qui devrait arriver arrive maintenant. La santé coûte cher et il faut arrêter le populisme des soins gratuits. Après la faillite de la pharmacie centrale d'autres structures de soins vont avoir le même sort si rien n'est fait.

Abel Chater
| 30-03-2018 14:46
Ceux-là mêmes qui sabotent l'IVD et sa Cheffe Sihèm Ben Sedrine, sabotent aussi le premier Ministre Youssef Chahed. D'aucuns de ces Tabbels, de ces Bsaïes et de ces Zakkars de Nidaa Tounes, n'aident le pays à avancer par des programmes de professionnels. Seuls les sabotages et les intrigues contre notre transition démocratique, trouvent lieu par des «Azlèms» malades et peureux suite au mal qu'ils avaient fait à ce pauvre peuple tunisien des plus pacifiques de ce monde.
Maintenant, on nous raconte que la Pharmacie Centrale de Tunisie, fabrique des médicaments en achetant leurs produits pharmaceutiques, puis les vend sans encaisser leurs prix. C'est quoi ça comme république bananière?
Ce non-sens, ces escroqueries, ces tricheries et cette gabegie qui étaient de pratiques dissimulées sous les deux régimes despotiques de Bourguiba et de Ben Ali, ne pourront plus passer inaperçues dans cette deuxième République démocratique tunisienne de régime parlementaire, qui s'est transformée pour la première fois de l'histoire contemporaine de la Tunisie, en un Etat d'Institutions et de droit. La faute est à ceux qui ne veulent pas tracer une grande et épaisse ligne en rouge fluorescent, entre l'ancien régime déchu de Ben Ali, et la deuxième République tunisienne de régime parlementaire postrévolution du 14 janvier 2011. Ils traînent la faillite des caisses vides de l'ancien régime avec eux, sans se rendre compte, qu'il ne s'agit là que d'un sable mouvant, où on s'enfonce davantage à chaque mouvement de n'importe quelle direction qu'il soit.
Personnellement, je pense qu'il faut vite arrêter cette hémorragie de faire semblant, comme s'il y avait eu une passation en bonne et due forme de continuité régularisée de l'économie tunisienne, entre l'ancien régime dictatorial de Ben Ali et celui ne notre deuxième République institutionnellement démocratique, de régime parlementaire. Un mensonge qui ne pourra passer dans un Etat institutionnel. Rien ne pourra plus être balayé sous les tapis dans un vrai Etat d'Institutions. Donc, qu'on trace une ligne entre la période dictatoriale ayant précédé le 14 janvier 2011 et la deuxième République de régime parlementaire postrévolution du 14 janvier 2011. Puis équilibrer les déficits dont souffrent les Institutions tunisiennes du vacuum financier sous le régime dictatorial déchu, par étapes et par tranches, en adéquation avec la situation économique du pays suivant la précarité ses besoins de chaque institution de notre deuxième République. Ce n'est qu'avec le temps, que la faillite et les caisses vides de l'Etat délaissées par l'ancien régime déchu, en seraient nivelées pour redémarrer de nouveau sur de bases solides pour la construction d'un Etat de vraies Institutions, qui n'a jamais existé depuis l'indépendance de la Tunisie en 1956.
Honni soit qui mal y pense.

pseudo moi
| 30-03-2018 12:13
Et voilà, la PCT ( pharmacie centrale de Tunisie ) certes est en crise et ses impayés sont devenus limite ingérable, mais ce que personne ne dit c'est que la majorité de ses fournisseurs étrangers ont jusque là aidé et montré un énorme soutien, hélas, la décision ne reviens pas au personnel de cette institution mais plutôt au gouvernement et au ministère de tutelle. Par contre, ce qui m'irrite le plus, c'est nos médias qui continuent à inviter les syndicat pour parler des maux de ce pays. Au delà de leur "ignorance" et de leur façon de faire unique ( la grève bien sûr), ils sont en grande partie la cause d'une bonne partie des problèmes du pays. A quand la fin de la dictature des syndicats!!!!! y'en a marre

DHEJ
| 30-03-2018 11:32
Est-ce une guerre MAFIEUSE entre les familles d'intérêt pour controller le secteur des médicaments.

Qui sont les anciens fournisseurs étrangers et les nouveaux fournisseurs étrangers?


A chacun son intermédiaire!


Les mains de la NAHDHA ainsi que celle de BCE ne sont pas à écarter...

Non plus la Turquie et la Chine...


lechef
| 30-03-2018 11:29
Nous avons insisté sur ce facteur de stock de médicaments, des réactifs de labo biologiques , des marqueurs pour les radios et produits divers , qui est extrêmement important .
Si le patient ne pourra pas s'abstenir de prendre ses médicaments à temps.par danger des conséquences fâcheuses sur sa santé,alors que nous pourrons ne pas manger 1 ou 2 jours sans aucun risque.
Donc, un maximum de sérieux et de vigilance doit être pris par toutes les instances intervenantes et particulièrement le ministère de la santé qui devrait coordonner tous les autres .

Léon
| 30-03-2018 11:09
Je croyais que le pays était maintenant gouverné par des technocrates hyper-diplômés et hyper-compétents.
Je vous en foutrais, moi, des diplômes de perroquets, et de la compétence de merdocrates ignares.
Est-ce que vous comprenez aujourd'hui ce que je vous racontai depuis sept années.
Est-ce que vous avez compris la vision de Léon. Est-ce que je peut encore me permettre de vous dire, et libre à vous de me croire ou de ne pas me croire, qu'il reste quelques solutions pour la Tunisie agonisante. Solutions que ne peuvent vous donner ni les politiques merdolutionnaires, ni les merdoctrates qui vous ont rassuré quant à la réussite prochaine de la Tunisie, mais que Léon peut mettre en oeuvre.
Ces pays qui faisait croire à vos merdocrates irresponsables qu'ils avaient la situation économique de la Tunisie en main.
Sachez que les pays auxquels obéissent vos merdocrates, ont reconnu ma vision, et par personnes interposées, en sont presque à se justifier auprès de ma personne et auprès des quelques patriotes qui ont de l'aura. Bien sûr qu'ils ne veulent pas de moi pour vous gouverner car je suis une personne Libre, donc non soumise. Comme l'était Bourguiba et les rares hommes qui ont fait l'histoire de la Tunisie.
Par contre je les intéresse pour avoir des responsabilités de premier plan chez eux, mais là, et à mon tour, cela ne m'intéresse pas.
Ce qu'ils pourraient me proposer comme poste politique CHEZ EUX, ils ne le proposeront à aucun des merdocrates très hauts diplômés qu'ils vous ont envoyé, car eux, contrairement aux gueux, ils savent faire la différence antre un très haut diplôme (donc un très haut technicien inventif) et un visionnaire politique (et malheureusement, même eux en manquent, sinon ils n'auraient pas "appuyé" certaines merdolutions).
Bref, si vous voulez encore m'écouter, je suis à l'entière disposition de mon pays.

Serviteur.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES (n'oubliez pas cette sourate. C'est le seul héritage "politique" valable que je vous laisse si un jour ils me font la peau).

The Mirror
| 30-03-2018 10:29
1984: Ennahdha frappe Bab Bouika au vitriol,
2011: sous l'étiquette Islam, Ennahdha draine la populace dans les urnes et gagne les élections,
2012-2013: Ennahdha s'empare du destin du pays et met les ministères de souveraineté (Intérieur, Affaires étrangères, Défense et Justice) sous sa tutelle : l'Etat tunisien en entier est au service du Mouvement Ennahdha. La corruption frappe partout, l'argent du golf coule à flots, le recrutement dans la fonction publique est réservé exclusivement aux militants d'Ennahdha, des jeunes sont vendus pour aller tuer ou se faire tuer en Syrie, les ténors du régime Ben Ali quittent miraculeusement la prison après avoir payé les rançons demandées, etc., etc., etc., etc.
2014: Ennahdha échoue dans les élections législatives. Ennahdha préfère cette fois-ci gouverner derrière le rideau. La corruption s'accentue, la corruption rénove ses moyens, la corruption se légalise par la loi (Loi de la Réconciliation).
2018: les malades tunisiens doivent mourir, l'Etat tunisien est en faillite totale, il n'a plus de devises pour importer les médicaments à ses malades.