Au meme moment ce Ministere, ou plutot la poignee de conseillers, etrangers au Ministere, ramenee dans les colis de ce nouveau Ministre, s'ingenuent a chercher a detricoter les structures du Ministete de l'investissement et de la cooperation Internationale, ce Ministere qui etait l'une des vitrines de la Tunisie, et ce, de part la competence de ses Hommes et de ses Femmes, competences que ce Ministre a refoule et cherche a marginaliser.
La Division regne dans ce Ministete vide de toute sa substace, il suffit de visiter le siege du Ministere a la place de la monnaie au centre ville et vous remarquerez que les cadres rejetent le diktat de ce Ministre.
Il suffit de discuter avec ces cadres pour savoir que les Investisseurs etrangers sont mecontents et reellement exasperes, pour savoir egalement que les plus serieux d'entre eux sont en train de se preparer a quiter et a abondonner definitivement leurs intentions d'investir en Tunisie (s'ils ne l'ont pas deja fait),
Tout ceci en raison d'une politique non transparente de ce Ministre, et d'un comportement le moins que l'on puisse dire est hautain de sa part, a leurs egards.
Au meme moment on apprend que le Ministre est a un stade tres engage dans ses tractations avec une Banque etrangere, certes de grande renommee, pour l'engager dans une mission de conseil et de commercialisation de l'image de la Tunisie (disons plutot de rapporteur d'affaires, contre remuneration probablement au pourcentage),
Pour le moins que l'on puisse dire, ceci est vraiment deroutant.
Il faut interroger les cadres de ce Ministeres sans plus tarder, sur les opportunites qu'on s'ingenue a faire rater a la Tunisie, il faut interroger les Investisseurs Etrangers, grands et petits en affaires ou en contact actuellement avec ce Ministere, pour pouvoir apprecier l'ampleur des degats.
Il y' a peril dans cette grande Institution de l'etat, qui est tout a fait sclerosee depuis bientot cinq annee.
Pour terminer , rappelons que nul ne connait mieux les besoins reels de la tunisie, et nul ne peux mieux vendre et defendre l'image de la Tunisie, que ses fils, les vrais.
Nous n'avons pas besoin de mercenaires etrangers pour le faire.
Les investisseurs potenttiels sont bel et bien la, n'allons pas les chercher ailleurs.