A vrai dire je ne comprends pas le sens de cette polémique, néanmoins le fait que M° le ministre cherche des compétences en dehors du pays n'a rien de scandaleux, mêmes les pays le plus développés au monde ont recours à cette méthode.
Actuellement on ne peut pas dire que le pays est pourvu des compétences nécessaires, on est plutôt au fond du trou et cette critique envers les binationaux est de plus sectaire et raciste.
Il faut plutôt être fier que M° Kaddour , franco-tunisien eu obtenu un prix littéraire prestigieux en France ,on devrait tous acheter son livre.

La Tunisie n'était,nullement, en état de ruine avec le 14/01/2011.
Ce fût un pays émergent, classé parmi les meilleurs en Afrique et dans le monde arabe en dépit de ses ressources bien limitées.
Il ne connaitra la dérive que nous vivons, aujourd'hui, qu'après votre fameuse révolution de jasmin qui a tourné au vinaigre et voilà qu'on se met à vendre nos stades et nos auto-routes.
Alors cessez vos jérémiades, et attendez vous au pire ou, si vous avez la double nationalité, court chercher un refuge.

Si confier l'élaboration du plan de développement national à une autorité, instance ou banque étrangère ne constitue pas une atteinte à la souveraineté de l'État, que faudrait-il à monsieur Yassine BRAHIM pour conclure à une atteinte, qu'on vende nos complexes sportifs, nos casernes, nos autoroutes et autres éléments de notre domaine public sinon de nous-même.
Monsieur, sachez que le nationalisme du président Bourguiba, puis du président BENALI, avaient guidé l'administration Tunisienne à ne jamais accepter d'assistance technique dans des domaines de souveraineté comme c'est le cas du plan de développement, domaine de politique économique par excellence, donc touchant de plein fouet les domaines de souveraineté de l'État.
Monsieur, il n y a pas si longtemps, vendre un bien immeuble à un étranger constituait une atteinte à la souveraineté du pays, sauf que vous n'avez pas fait carrière dans l'administration, grimpé les échelons et connu les véritables batailles menés par les hauts fonctionnaires de l'État pour instaurer des lignes rouges, en la matière.
La Tunisie a 'effectivement, perdu sa souveraineté et partie de son territoire et beaucoup de son orgueil et de son amour propre depuis le désastre du 14/01/2011.

Critiquer la décision d'un ministre c'est légitime, mais mettre en cause son intégrité parce qu'il porte une seconde nationalité est minable. Je rappelle que ux qui ont ruiné la Tunisie ces dernières décennies ne sont pas le franco-anglos-gréo ou je ne sais pas quoi d'autres tunisiens. Ce sont des Tuniso-tunisiens bien de chez nous. La plupart des hommes politiques israéliens ont AU MOINS deux passeport y compris le Premier d'entre d'eux. Dans les années 1980 les Chinois ont fait appels aux sino-américains et leur ont déroulé le tapis pour les encourager à revenir à leur pays d'origine et aider à son développement. Ceux qui prétendent être plus tunisiens que les tunisiens sont les plus corrompus. Il faut juger les gens sur les actes et non sur d'autres critères.

La Tunisie n'est ni l'Allemagne ,ni la Chine et la majorité des grands projets et et des grandes études sectorielles sont faites avec l'aide partielle ou totale de sociétés, de cabinets ou d'organismes étrangers et ce depuis l'indépendance. Prenons un exemple qui mieux que le cabinet international LB connait le tourisme tunisien?
D'autre part le FMI,la Banque Mondiale ou la BAD connaissent notre situation économique bien mieux que notre classe politique médiocre minée par l'opportunisme et occupée à des luttes de pouvoir.
Il faut avoir le courage de dire que le système économique souffre de problèmes dus à des choix malheureux depuis une cinquantaine d'années à savoir :le choix d'une économie à bas coûts et de mauvaise qualité qui a touché l'ensemble des activités et structures du pays.
L'économie est subordonnée à la politique et le grand défi restera de faire des réformes fondamentales et de mettre en place un système politique capable d'initier un modèle de développement non seulement pour contribuer à l'accroissement du PIB, mais pour initier des projets ayant un impact sur toutes les couches sociales et d'apporter des changements profonds dans la société.Voila le véritable enjeu.

C'est bien du yassine brahim , même sa khomssa au hénné n'a pu cacher son identité francophone et francophile. C'est aussi propre aux affekois et affekistes , peu connaisseurs de la Tunisie et encore le c'ur ailleurs mais le rêve de pouvoir ici.

Ce n'est pas surprenant de la part du ministre franco tunisien Yassine Brahim. Malheureusement la Tunisie est à vendre . Bravo ben gharbia

C'est un incapable...le politique paie...diplômé des grandes écoles...une banque étrangère pour conseil...en contrepartie de quoi...des devises je suppose...je ne sais pas ce qu'il fait..il est énervant...la Tunisie regorge de compétences...mais ce qui se passe est grave...des milliers d'universitaires tunisiens...formés par l'argent du contribuable...ont déserté le pays..et l'on laissé pour cet ...haureux et ses semblables..diplômés des grandes écoles françaises...la France...un pays...qui ne vit que par nostalgie...marie antoinette...révolution...et puis quoi...dites moi ce qu'à apporté les expatriés revenus après 2011 faire fortune en Tunisie...via la politique...les tunisiens eux...bossent tous les jours...retardent l'échéance fatale..de la banqueroute ...des hommes et des femmes patriotes très parriotes...tous les jours...des gens qui se recommaitront...sans rien demander...sauf un pays...que sait ce Ibrahim de leur souffrance qutidienne...rien du tout...avec tout le confort qu'il se tape...ces gens étaient toujours là...avant 2011...et certainement après...aucune residence secondaire...mais une seule principale...toujours et encore...la Tunisie...

Je ne suis pas économiste mais
il y a deux choses qui me semblent évidentes: la nature de la mission et la décision en termes de choix des priorités.

La décision revient au ministère TN (logiquement) donc il n'y a pas lieu de parler d'atteinte à la souveraineté à moins que le document en question (qui n'a pas été publié) évoque le contraire (Ce qui serait étonnant).
Après il s'agira d'évaluer à distance l'impact de la décision en termes d'objectifs pré-fixés: Etaient-ils pertinents? Ont-ils été atteints? Cela pourrait être critiquable mais c'est trop tôt pour le faire aujourd'hui (Nous ne pouvons pas évaluer les retombées d'un plan stratégique non encore mis en place ni son financement en termes d'impact.

Yassine Brahim dit avoir consulté 4 banques avec l'assistance de la BCT et le choix s'est porté sur Lazard / si c'est vrai, processus normal
périmètre de la mission : assistance et non pas choix des priorités / tout à fait normal /

A ce stade, je retourne la question : qu'est ce qui fait peur à Ben Gharbya? Ce n'est sans doute pas la souveraineté mais plutôt de voire Lazard ramener des groupes étrangers pour le projet de quai numero 7 et 8 de Rades par exemple où il veut investir avec sa Sociéte privée .... !
Il faut que Mehdi arrête de nous prendre pour des cons !!!!!!

Je ne suis point surpris des manigances sordides du ''très nationaliste'' franco tunisien.
En revanche je suis très surpris de constater que le président de la commission des finances au sein de l'ARP, s'est senti choqué d'apprendre cette information et voudrait en savoir davantage sur les termes de référence et sur le texte de l'appel d'offres.
Je suis également surpris d'enregistrer que des médias puissent aborder ce sujet la stupéfaction, alors ce genre de man'uvres s'était déjà pratiqué du temps du gouvernement BCE avec les boys de Hakim Karoui.
Rappelons que ce Monsieur avait déjà annoncé depuis longtemps qu'il recourait à l'aide du GIZ et du PNUD pour l'élaboration du plan de développement quinquennal 2016-2020.
Ce Monsieur avait également discuté de son projet de code d'investissement avec les chancelleries étrangères, et avec des groupements d'IDE dans le cadre de rencontres bipartites, alors qu'il n'avait jamais déroulé son projet dans la cadre de meetings avec des promoteurs tunisiens et des organismes locaux concernés.
Que peut-on attendre d'un binational ''souverainiste'' ayant passé le plus clair de son temps en France tout en opérant dans le business international ?
Revenons à cette affaire d'assistance confiée de gré à gré à la Banque Lazare pour un ticket de 0,5 M² '. Je suppose que tous les Tunisiens sont persuadés qu'un cahier des charges aurait été élaboré dans le cadre de la consultation présumée, qu'aucun cabinet tunisien n'aurait soumissionné à cette offre, et que les 3 autres cabinets étrangers éliminés auraient répondu aux conditions d'éligibilité.
Ce mystère confirme encore une fois que le gouvernement Essid est gangrené par des mercenaires toxiques qu'il gagnerait à les éliminer très rapidement s'il était soucieux de sa crédibilité et de son patriotisme.