Le ministre des Affaires sociales, Mohamed Trabelsi a exprimé son regret suite au rejet du projet de loi amendant et complétant la loi portant sur le régime des pensions civiles et militaires de retraite et des survivants dans le secteur public. Un projet de loi élaboré en vue de contribuer à la réforme des caisses sociales et qui aurait pu, si adopté, combler 80% du déficit de ces caisses surtout de la Caisse nationale de retraite et de prévoyance sociale (CNRPS).
Dans une déclaration à Mosaïque FM le 15 décembre 2018, M. Trabelsi a, également, indiqué que ce projet de loi était « victime des tractations politiques dans le pays et ses répercussions sur le Parlement » bloquant ainsi son approbation. Et d’ajouter que le ministère resoumettra prochainement ce projet à l’Assemblée des représentants du peuple (ARP).
Le ministre des Affaires sociales a, en outre, affirmé que l’Etat est appelé à fournir 158 MD pour pouvoir verser les pensions de retraite du mois de décembre aux affiliés aux caisses sociales.
Rappelons que le projet de loi amendant et complétant la loi portant sur le régime des pensions civiles et militaires de retraite et des survivants dans le secteur public a été rejeté, le 13 décembre 2018, à l’ARP avec 71 voix pour, 8 abstentions et 16 voix contre.
B.L
Commentaires (15)
CommenterC'est secteur public d'en assumer la responsabilité !!
@Maxula: salutations!
Ce discours me rappelle ces recensements de chaque Tunisien a consommé 500 kg de viande.
Lorsqu'il nous disait que ses recensements suivant sa "science exacte", nous confirmaient que tout Tunisien avait consommé 500 kg de viande, 5000 oeufs, 5 tonnes de sucre, 500 litres d'huile d'olives, etc., jusqu'à obliger ceux qui ne goûtent de la viande que d'un aïd el-idha à un autre, à se demander s'ils vivaient dans le même pays où se trouve le palais de Carthage.
Les touristes bouffent et appauvrissent les Tunisiens et leur caisse de compensation et ces "gonfleurs" pompent en direction du pauvre citoyen tunisien.
Ils parlent de 158 millions de dinars à des retraités qui n'ont jamais mis un seul millier de dinars dans leurs poches.
Quand le fou raconte, il ne faut jamais le suivre.
DE LA S'?R'?NIT'? SVP !!!
Le vice des lois forgées par des humains ,semble démasquer les failles
Châtré pas très chat ! (un chat est plus propre !)
Et en matière de langage primitif et primaire, j'avoue qu'on a affaire à un châtré de première force !
Il suffit "d'essayer" de lire et/ou de comprendre la mélasse infâme et informe, clavardée en toute impunité, dans un de ses moments qui n'appartiennent qu'à lui, où il a tendance à s'oublier et à faire sur lui !
Maxula.
Mohamed Obey
C'est tout ?
Et les trente (30) briques palpés chaque mois par le tartour, en contrepartie de RIEN, alors qu'il peut encore reprendre son métier de toubib ?
L'ex-provisoire-dérisoire devrait être le premier à être ponctionné par l'Etat, au service des VRAIS pauvres !
Maxula.
Des ministres nuls!!
Gouvernement constitué de ministres nuls!
A quand la fin ou l'interdiction de ce langage bidon d'attrape-nigauds?
Avant de pousser les retraités tunisiens au sentiment de la mendicité, dans le but de les exhorter à embrasser les mains d'un vaurien de ministre, qui ne trouve aucune honte de dévoiler un secret d'?tat concernant les dépenses pour payer les retraités, comme s'il leur rendait un service, non pas qu'il leur restitue une partie minime de ce qu'ils ont déjà payé à cette même caisse de retraite, lorsque la valeur du dinar était deux à trois fois ce qu'elle l'est à présent, ce comique de ministre des Affaires sociales, aurait dû d'abord montrer aux retraités, ce que les Tunisiens paient mois pour mois, année pour année, décennie pour décennie, à cette caisse de retraite qui essaie maintenant de leur verser ses larmes de crocodiles, pour ne pas dire, des larmes de voleurs sans foi ni loi. Que ce ministre larmoyant nous mette sur la table, combien de milliers de Tunisiens meurent sans jouir d'un seul mois de retraite.
Nous croyons avoir aboli ce langage primitif, de ne parler à l'individu que de dépenses en leur totalité, sans jamais parler des rentes en leur totalité ou que ces sommes d'argent que l'?tat verse aux ayant droit, qu'il les récupère par la suite, avec toute transaction qui lui versera la TVA, les taxes de circulation, les impositions que ce même Etat exige lui-même pour n'importe quel mouvement monétaire, même pour l'achat d'eau minérale ou pour la STEG. La SONEDE, l'ONAS jusqu'à leur télévision «i-tè-tè».
A quand ces arrivistes de ministres vont-ils comprendre, qu'ils n'ont plus affaire à ce peuple tunisien qui sursautait comme des singes au passage des deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali, ni à cet ancien peuple de «yahya Boutbila» ou de «berrouh beddemm nefdik yè Zalèm». Nos petits enfants manipulent l'outil informatique mieux qu'eux tous réunis.
Vive la Révolution du 14 janvier 2011. Vive la deuxième République démocratique tunisienne arabe et musulmane de régime parlementaire.