La réalisatrice tunisienne, Kalthoum Bornaz, est décédée ce matin du 3 septembre 2016, à l’âge de 73 ans. Elle avait été hospitalisée à la suite de l’explosion d’une bouteille de gaz à son domicile.
Elle avait réalisé notamment « L’autre moitié du ciel » (2008) ou encore « Keswa, le fils perdu » (1998).
La réalisatrice tunisienne, Kalthoum Bornaz, est décédée ce matin du 3 septembre 2016, à l’âge de 73 ans. Elle avait été hospitalisée à la suite de l’explosion d’une bouteille de gaz à son domicile.
Elle avait réalisé notamment « L’autre moitié du ciel » (2008) ou encore « Keswa, le fils perdu » (1998).
Beaucoup de bons souvenirs me reviennent alors que je pense à notre cher Kalthoum . Que l'amour de la famille et des amis vous réconfortent en ces jours difficiles, mes plus sincères condoléances Ela Alya,Si Kamel, Soubeir,Layla,Sami et Salim
Comme a bien exprimé "ourwa", les circonstances de la mort de cette grande dame, ainsi que le mesures de sécurité en général en Tunisie, sont très désolantes, de plus même fâcheuses!
Cette mort est révoltante, ignoble; un quasi assassinat, sans préméditation, certes, commis par négligence et irresponsabilté par les industriels du gaz et par les services de l'Etat dédiées au contrôle de fiabilité de matières à haut risque, comme le gaz de ville et en bouteille etc... Ce n'est pas la 1ère fois qu'un tel drame survient dans les foyers tunisiens, mais la gabegie des responsables publics et ceux du secteur incriminé demeure intacte...
Et cet accident dû au gaz en bouteille nous rappelle cruellement d'autres accidents de la même nature, mais qui concernent les mêmes bouteilles de butane, cette fois embarquées dans les coffres de la majorité des taxis tunisiens, ainsi que voitures particulières, en dépit de toute réglementation et de toute mesure de sécurité, des taxis qui constituent de véritables bombes roulantes. En exemple, sur le site " Journaliste sfaxien", on relatait, il y a quelques mois, un "accident" de ce genre: un taxi ( ou une voiture particulière), à l'arrêt, mais le moteur en action, a explosé, blessant grièvement trois passagers assis à l'arrière...cette voiture roulait au gaz butane, dont la bouteille, installée dans le coffre, était reliée au moteur par un système bricolé de bric et de broc défiant toutes les astuces d'irresponsabilité, de malhonnêteté et de mépris de la vie humaine...Pour ceux qui connaissent Sfax, "capitale de la culture de mort, de la gabegie et de l'islamo-fascisme", ils peuvent encore constater ces centaines de taxis jaunes stationnés au bord des routes de la banlieue proche, devant des magasins vendant des bouteilles de gaz, en train de changer leur bouteille de gaz du coffre de leur tacot, coffre ouvert...sous le regard indifférent et placide des passants... C'est ainsi, et comme le dit le proverbe: " Quand le chat dort, les souris dansent", et en l'occurence, ce serait plutôt : " Quand les chiens de garde des autorités ronflent- et ils ronflent tout le temps-les rats d'égout, barbus ou non, qui sont légion, ravagent le pays et le mettent à feu et à sang" .
Inclinons-nous donc devant la mort tragique de Kalthoum Bornaz et exprimons à sa famille et à ses proches toute notre compassion et toute notre tristesse.
Quand on observe l etat des bouteilles de gaz ,on se demande si vraiment elles sont homologuees et aptes a servir dans les foyers....Allah yarhamha,c etait une grande Dame qui aimait son travail,Toutes mes candoleances a ses proches et a la grande famille du cinema
Une technicienne du cinéma qui passe du montage à la réalisation. On lui doit aussi, son premier court métrage dédié à la "Bonbonnière": "Trois hommes en quête d'un théâtre". Je me souviens comme si c'était hier de la projection d'avant-première en présence de la défunte réalisatrice, au Club Tahar Haddad. Mes condoléances à son frangin, mon ami Zoubeir Bornaz.
