
Dans son discours donné aujourd’hui, 8 juin 2015, à Elmau en Bavière (Allemagne), le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a exprimé la détermination de la Tunisie à parachever et à faire réussir sa transition démocratique, indiquant, toutefois, que s’il n’y a pas de soutien international, cela ne pourra se réaliser de sitôt. « Si la communauté internationale assiste la Tunisie, cela nous permettra d’avancer rapidement [dans notre parcours] et augmentera nos chances de réussir » a-t-il martelé.
Le chef de l’Etat a signifié que la Tunisie aurait besoin d’un financement et d’un accompagnement en matière de lutte anti-terroriste, « à l’instar de l’élan de solidarité apporté par les États-Unis à l’Europe et aux pays de l’Europe de l’est, au lendemain de la deuxième guerre mondiale » a-t-il déclaré.
M. Caïd Essebsi a indiqué, dans le même contexte, que la Tunisie n’était pas prédisposée à combattre le terrorisme vu que, depuis l’indépendance, le pays avait choisi de s’investir dans une politique privilégiant l’éducation et le développement humain, au détriment « de son armée et de ses forces de sécurité ». A l’occasion du G7, le président de la République a attiré l’attention des présents sur le problème chronique du chômage ainsi que sur celui de l’endettement qui a augmenté, dit-il, de 58% au cours des quatre dernières années. Il a évoqué, dans le même ordre d’idées, la faible croissance économique et les disparités sociales entre les régions. Sur la guerre en Libye, le chef de l’Etat a réitéré que la Tunisie est pour une solution pacifique du conflit dans ce pays. « La Tunisie s’oppose avec force à toute solution militaire et demeure attachée à l’unité et à la stabilité de la Libye » a-t-il conclu.
E.Z.
Commentaires (16)
CommenterAide ou assistanat ?
popom...plouc!
Mais les bédouins d'Arabie aussi bien que les roumis blafards n'ont jamais compris pourquoi on osait leur damer le pion et les regarder les yeux dans les yeux sans se laisser ni intimider par l'énorme puissance des uns ni avilir par la richesse obscène des autres...Ils enrageaient de dépit...car
Tounsi voulait dire honnête. Tounsi voulait dire compétent. Tounsi voulait dire bosseur. Tounsi voulait dire fier, celui qui assure ses engagements...et force le respect.
Puis sont arrivé les enfants de mama banana...avec leur popom girls et popom boys...
Tout le monde aime bien les rigolos, personne ne respecte les traitres...
Ils réalisent leur erreur. Il croyait avoir affaire aux honnêtes Tunisiens, ils se rendent compte que les popoms sont complètement différents. Paresseux, ***, lâches et surtout insasiables...
Ils veulent leur argent.
ya qu'à lire les pancartes...
A la ruine toute...
'digache'...'digache'...
popom...popom...
Je suis perplexe :
Sur le plan économique, franchement je me demande si le chomage en Tunisie et l'inégalité entre les régions sont des sujets de nature à intéresser les chefs d'Etat des pays du G7 (Ils ont du s'ennuyer, en écoutant cela).
et comment!
En Afrique
La seule réponse la voici
Ok, la communauté internationale apporte un soutient morale sans failles.
Les USA auraient aidé les pays d'Europe de l'Est après 1945...
Cette info va modifier tous les livres d'histoire... HAHAHAHA !!!
Bravo BCE
BIEN DIT.
" le pays avait choisi de s'investir dans une politique privilégiant l'éducation et le développement humain, au détriment « de son armée et de ses forces de sécurité ".
Voilà une phrase qui doit mettre à mal, la génération spontanée des ratés, des fainéants congénitaux etc... & des*** affamés porteurs de destruction, qui avait composé la majorité de l'ex-troika, envoyée du diable.
Son indépendance acquise, la Tunisie était le pays qui consacrait la plus grosse partie de son budget national à l'éducation.
Quand on voit les hordes de rats bons à rien qui pullulent dans les artères de la capitale, je me demande si on méritait ce suprême sacrifice.
Bravo bce
Marzouki qui avait parlé au g7...