
Zied El Heni a ajouté qu’on lui avait, également, montré la publication de la journaliste Chahrazed Akacha commentant l’intervention de M. El Heni au sujet de l’article 67 du Code pénal sur l’offense au chef de l’État. « On m’a demandé si je la connaissais, quels étaient nos liens et mon avis sur ce qu’elle avait écrit et ce que j’avais dit sur antenne », a-t-il poursuivi.
Le journaliste a assuré qu’il avait été bien traité tant à la caserne de l’Aouina qu’au centre de détention de Bouchcouha où il a passé sa garde à vue. Il a affirmé qu’on lui avait assuré une prise en charge médicale et du confort en le plaçant dans une cellule non-fumeur et climatisée au début puis dans une cellule avec lit, prenant ainsi, en considération son mal de dos.
Jeudi, jour de sa libération, Zied El Heni a été transféré au Tribunal de première instance de Tunis de beau matin. Une fois sur place il a comparu devant le substitut du procureur qui l’a interrogé sur les conditions de sa détention, l’examen médical que le journaliste avait rejeté, et le contenu de sa déposition. « J’ai ensuite été libéré ».
N.J
Donc elle n'est pas WALLEDE.
C'est clair, net et concis.
Je vous rappelle que l'honnêteté, sous toutes ses formes et le patriotisme, ont déserté le pays, une certaine maudite année 2011.
Par contre, la médiocrité, l'affabulation, la roublardise, la tartufferie, la corruption, le mensonge, ont, quant à eux, explosé.
Que reste-t-il donc ?
Les nabbaras, les parvenus, les opportunistes, les jwoué3a, les vendus et les escrocs tous corps d'état.
Les pauvres, depuis le 25 juillet béni, ils ne mangent plus. Ils sont aux abois.
Ils veulent récupérer leur nourrisseur "agréé" par l'organisation mondiale de la pourriture, le pseudo-cheikh férid, qui leur jetait occasionnellement, quelques miettes.....
Pour cela, tous les moyens sont bons.
Inchallah KAFFARA.. .
Il y a d'autres sujet plus brulant dans le pays que l'arrestation d'un journaliste

