
Le journaliste Zied El Heni a indiqué, dans un post publié ce samedi 29 juillet 2023, sur les réseaux sociaux, avoir reçu une citation à comparaître devant la première brigade anticriminalité de Ben Arous.
Zied El Heni a précisé qu’il est convoqué en tant que « suspect ».
« Je suis un citoyen qui respecte la loi et se soumet à son autorité, et si j'ai commis une erreur professionnelle, je suis prêt à en assumer la responsabilité. Mais la seule loi qui s'applique à moi est le décret n° 115 de 2011 relatif aux délits de la presse. En dehors de ce cadre, je ne répondrai à aucune accusation » a-t-il souligné.
Zied El Heni avait, rappelons-le, été remis en liberté jeudi 22 juin 2023 après la fin de sa garde à vue. Le journaliste avait alors été placé en garde en vue après son audition par la 5e brigade centrale pour la lutte contre les crimes de télécommunications à la caserne d’El Aouina et privé de son droit à la défense. Il avait été interrogé sur une publication de la journaliste Chahrazed Akacha revenant sur une définition du délit d'offense au chef d’État.
M.B.Z
Si ce n'est nahdha et ghanouch3 qui ont cherché à mettre mains basse sur tout et n'importe comment en 2011.
Sahha lihom hal.....âabthou kima habbou hal kallaba wal moujrmine
Kais Saied est décrit sous les traits d'un caudillo, usurpateur que la bonne foi et les créances démocratiques de nos inspirés condamnent sans coup férir.
'? y regarder de près, l'homme ne correspond pas au portrait, le Président pas davantage, si l'on songe au climat, aux pratiques et usages applaudis jadis, et dont on nous rapporte un récit laudatif en tous points refait, reconfiguré, pour se couler dans le moule de la nouvelle Foi.
On ne le voit qu'assez chez leurs modèles et parrains, dès que le pouvoir ne se sent plus obéi, il se cabre et sort sa flicaille pour intimider, faire peur, tirer, blesser, montrant les muscles afin que les gueux et autres contestataires rentrent vite d'où ils viennent.
C'est que les démocrates sont pleins de bonnes intentions, ils veulent notre bien, décident, organisent, mettent en forme les institutions et les lois, et les procédures de nature à garantir la pérennité de leurs pouvoir et puissance.
Ils ont même érigé en science leur système, et nous disent que notre Salut en dépend.
Ils surveillent, technologisent les moyens, mettent en forme, et dictent ou réglementent l'espace et le temps au sein de quoi nous avons "toute liberté" de nous mouvoir.
Mais, gare aux brebis égarés!
Bref, ce n'est pas une attaque contre la religion démocrate, mais juste un petit rappel afin que nul n'en ignore.
Car, les convertis, les ouailles, les prédicateurs sont nombreux.
Les démocrates dont sympas.
Mais, entre eux.
Pour les autres, les hérétiques, les gens de peu de foi, ceux qui n'y croient pas, c'est l'enfer.
L'enfer est leur devenir.
Parce que selon cette créance, il n'y a qu'un seul chemin, une seule voie, une "espérance" universelle, unique.
Catholique. Au sens d'universel, son sens premier.
Vivement...
C'est le prochain qu'i va allé au frigo
C'est le prochain qu'i va allé au frigo
1-Zied El HENI à propos de la présidentielle : Je refuse de participer à cette mascarade (audio)
25/09/2014 | 1
'Le journaliste Zied El Héni a annoncé, ce jeudi 25 septembre 2014 sur les ondes de Jawhara Fm, le retrait de sa candidature à la présidentielle, et ce le lendemain du dépôt de son dossier auprès de l'ISIE. M. EL Héni a argué sa décision par son refus de participer à une « mascarade ».'
2-Zied El Héni porte plainte contre le président de la République pour abus de pouvoir
10/08/2016 | 16:02
3-Zied El Héni porte plainte contre le président de la République (une deuxieme plainte contre
B.C.E). 12/10/2015 | 13:07
4-Zied El Héni dépose une plainte pour faire annuler des décisions de Kaïs Saïed
29/07/2021 | 17:33
5-Zied El Héni : La suspension de Béchir Akremi est un scandale 14/07/2021 | 09:30
'Le journaliste Zied El Héni a annoncé, aujourd'hui, mercredi 27 décembre 2017, sur sa page Facebook, qu'il a écopé d'une amende de 300 DT pour insulte, conformément à l'article 57 du décret 115 de la liberté de la presse et d'un non-lieu pour le reste des accusations.
Ce verdict rendu par le Tribunal de première instance de Sousse 1, s'inscrit dans le cadre l'affaire dite de l'?uf du ministre. Il s'agit de la plainte déposée par l'ancien procureur de la République près le Tribunal de première instance de Tunis et actuel procureur général près la Cour de cassation, Tarek Chkioua.'
Donc 300dt pour INSULTE grace au decret 115. MEME PAS UN VESPA!!!. Mais si un citoyen LAMBADA a insulté un procureur general.Combien aurait il de VESPA+1AN DE PRISON.
Et il veut IMPOSER LA LOI (decret 115)SELON LAQUELLE IL DOIT ETRE AUDITIONNE. Sinon : 'En dehors de ce cadre, je ne répondrai à aucune accusation » a-t-il souligné.!!!
Art. 24 ' Est puni de cinq ans d'emprisonnement et d'une amende de cinquante mille dinars quiconque utilise sciemment des systèmes et réseaux d'information et de communication en vue de produire, répandre, diffuser, ou envoyer, ou rédiger de fausses nouvelles, de fausses données, des rumeurs, des documents faux ou falsifiés ou faussement attribués à autrui dans le but de porter atteinte aux droits d'autrui ou porter préjudice à la sureté publique ou à la défense nationale ou de semer la terreur parmi la population.
Est passible des mêmes peines encourues au premier alinéa toute personne qui procède à l'utilisation de systèmes d'information en vue de publier ou de diffuser des nouvelles ou des documents faux ou falsifiés ou des informations contenant des données à caractère personnel, ou attribution de données infondées visant à diffamer les autres, de porter atteinte à leur réputation, de leur nuire financièrement ou moralement, d'inciter à des agressions contre eux ou d'inciter au discours de haine.
Les peines prévues sont portées au double si la personne visée est un agent public ou assimilé.
Il est evident que les 'journalistes', et 'activistes' politiques et de la 'sociéré civile' et des 'droits de l'homme' n'aiment pas le decret 2022-54, et demandent l'application du decret 115 de 2011.
En cas de diffamation, injure, un citoyen ordinaire est condamné à 6 MOIS DE PRISON et une amende.Et en cas de calomnie ,un citoyen ordinaire est condamné à UN AN DE PRISON et une amende :
CODE PENAL
Article 247
Est puni de SIX MOIS d'emprisonnement et de deux cent quarante dinars d'amende, quiconque, se sera rendu coupable de diffamation.
Est puni d'un AN d'emprisonnement et de deux cent quarante dinars d'amende, quiconque, se sera rendu coupable de calomnie.
Mais pour les journaliste(qui ont sur leurs tetes une plume RICHA) , pour les délits : INJURES et DIFFAMATION , la condamnation se limite à UNE AMENDE , et ce d'aprés le decret 115 de 2011:
Article 56 :
L'auteur de la diffamation, par l'un des moyens indiqués à l'article 50 du présent décret-loi, est puni d'une amende de MILLE A DEUX MILLE DINARS, avec ordre de publier des extraits du jugement rendu dans l'affaire, au numéro du périodique condamné, suivant la date de notification du jugement, nonobstant la demande en dommages-intérêts.
Article57 :
Est considérée injure toute expression portant atteinte à la dignité, terme de mépris ou insulte ne comportant pas l'imputation de quelque chose de précis. L'auteur de l'agression d'injure, par les moyens indiqués à l'article 50 du présent décret-loi, est puni d'une amende de CINQ CENTS à MILLE DINARS, avec ordre de publier des extraits du jugement rendu dans l'affaire, au numéro du périodique condamné, suivant la date de notification du jugement.
Donc vous comprenez pourquoi ces honorables journalistes ,veulent imposer aux juges la loi qui sera appliquée , le decret 115. Mais malheureusement pour eux le decret qui sera appliqué est le Décret-loi n° 2022-54 du 13 septembre 2022, relatif à la lutte contre les infractions se rapportant aux systèmes d'information et de communication. Et meme l'article 67 du code PENAL. SINON : Messieurs le journalistes, DIFFAMEZ, INJUREZR matin ,et soir et MEME DIMANCHE. Et aucun souci. Une simple amende de 500 à 2000 DT. YA BALECH.

