
Le journaliste et militant, Zied El Heni, a assuré que son affaire ne se limitait pas à sa personne, mais touchait à l’un des plus importants acquis de la révolution du 14 janvier 2011 à savoir la liberté d’expression et de presse. Il a estimé que la Tunisie menait une bataille pour la préservation du décret n°115, relatif à la liberté de la presse.
Intervenant le 11 janvier 2024 durant « Émission Impossible » de Borhen Bssais sur IFM, Zied El Heni a appelé à barrer la route au ciblage du décret n°115 et à l’application de textes répressifs. « Hier, c’était une formidable journée… Les collègues sont venus nombreux… J’étais pieds nus pour une raison très simple… Je voulais quitter la prison en portant mes chaussures… Ceci n’était pas possible et on m’a retiré mes chaussures pour me donner des claquettes… Comparaître devant la justice en claquettes était insultant... Il s'agit d'une atteinte à ma personne et à ma fonction... Il s'agit, également, d'un manque de respect au tribunal », a-t-il dit.
Zied El Heni a remercié les journalistes et les avocats qui se sont mobilisés afin de le soutenir et qui ont assisté à son audience du 10 janvier 2024. Il a, également, salué les unités et les agents de police ainsi que les gardiens de prisons se trouvant au centre de détention de Bouchoucha ou à la prison civile de la Mornaguia. « Je remercie, aussi, mes codétenus, notamment le chef Abdelhamid qui m’a appris à cuisiner beaucoup de choses… Ce qui m’a fait le plus mal, c’était la nuit du réveillon… Le nombre de jeunes garçons et filles était important… Ce pays les détruit… Ils étaient terrifiés », a-t-il poursuivi.
Zied El Heni a déploré l’adoption d’une approche répressive dans plusieurs sujets, notamment la consommation de drogue. Il a estimé que cette méthode ne résoudra pas ce genre de fléau et était derrière la hausse de la population carcérale. Les accusés passent des mois en prison avant d’être auditionnés ou de comparaître devant la justice. Il a rappelé avoir écopé d’une peine de six mois de prison avec un sursis d’exécution. Il a qualifié la chose de fiasco et a assuré qu’il ne se taira pas. Il a affirmé qu’il continuera à défendre les mêmes principes et les mêmes valeurs.
Pour rappel, le journaliste Zied El Heni a été initialement traduit, le 28 décembre 2023, devant la justice en vertu du décret n°54. Il a, par la suite, fait l’objet d’un mandat de dépôt, émis le 1er janvier 2024, sur la base de l’article 86 du Code des télécommunications. Il a écopé se six mois de prison avec sursis d'exécution pour avoir prononcé le mot "cazi" en référence à la ministre du Commerce lors d’un passage radio sur les ondes de IFM.
S.G
Mais peut on parler de JOURNALISME en TUNISIE. Il suffit de regarder, cette 'MISSION IMPOSSIBLE' avec SA DAKHLA et les .......de l'animateur. Mais ce BORHANE est il un journaliste ou plutot un journaliste FICTIF comme son emploi FICTIF à la SOTETEL du temps de BEN ALI!!!!.
En Tunisie ,on n'a pas un journalisme, mais plutot DES PLATEAUX TUNISIENS (MASTA LASTA) dans IDHAAT AL MOUKAWALET (RADIOS D'ENTREPRISES, comme AFLEM AL MOUKAWALET en Egypte et en LIBAN), ou des 'politiciens' RATES, des avocats , et DES FICTIFS ont été mutés en 'ANIMATEURS' et CHRONIQUEURS.
J'aimerais savoir ses succès et son parcours !
Ce soulèvement , parce que ce fut d'abord cela, fut capté par des mouvances qui en ont fait leurs objet, en ont usé bet abusé chacune et ensemble pour savoir qui enfin allait en prendre la tête et s'en servir à son profit.
On sait depuis lors qui domina le pugilat, jouant de sa rhétorique et profitant de l'occasion pour mettre au service de son projet toutes les grosses têtes, les intellectuels de salon et les bourgeois coutumiers du pouvoir.
Les résistants au laminoir furent laminés, et l'ordre regna des années durant lorsqu'il était de bon ton de parler révolution et démocratie....même aux USA et tout son Occident vassal.
Les réalités sont autres.
Les islamistes auront mis en place tout un système, réveillant leurs réseaux, usant de contraintes et profitant des faiblesses des compromis et des corrompus pour user de leurs méthodes et corrompre, tuer, voler ... jusqu'à nommer des caciques de l'ancien régime conseillers etc.
Journalistes, artistes, gens lettrés, tout ce qui pense et agit était ciblé, poursuivi, et harcelé.
On a tué.
Et fait tuer.
Et on nous parle de démocratie.
Sans doute parce que Ghannouchi et ses obligés et sbires, de Makhlouf aux petits suivants, faisaient leur loi.Que ce cheikh décidait de tout, faisait incarcérer ou libérer qui peut lui servir et le servir, ce fut la démocratie.
Quel est le courageux, journaliste, ou simplement citoyen qui pouvait oser s'opposer aux islamistes?
Cherchez.
Les seuls qui l'osèrent furent assassinés.
Ghannouchi était fête par l'Aipac.
Il n'y a que le Congrès des USA qui lui restait inaccessible.
C'est vrai, il ne pèse comme Zelensky.
La Tunisie ne valait pas cet honneur.
Tant d'aveuglement et de manque de réflexion font le lit de la connerie et servent nos pires ennemis.
Leur démocratie, qu'ils l'offrent aux Palestiniens
Qu'ils foutent la paix aux peuples qui ne demandent qu'à vivre.
Leurs serviteurs et suppôts font le job.
Ridicule et contre-productif comme on dit chez les penseurs du digest.
Le progrès , c'est quand on prendra un Arabe en Stop.
Coluche.
Grand philosophe de comptoir.
Les Arabes, la dernière race après les chiens. Gérard de Villiers.
Grand écrivain de poubelle.
Je termine par citer le titre seul d'un opuscule commis par un penseur du crû : Qui sont les barbares?
Oui, nous avons eu nos barbares, qui ont régné, fait et défait à letr convenance.
Et, ils ne manquèrent jamais de serviles serviteurs.
Un peu comme les démocrates qui envoient leur porte-avions, fournissent les Arles et l'assistance pour un massacre, un génocide partagé, et qui déclarent porter intérêt aux civils et souhaitent épargner des vues, tout en élargissant l'aide humanitaire.
C'est du spectacle.
Les sophistes ne faisaient pas pire.
KAZI. Ech hel HEM. YJI yaamallou HAJA bidou min tali. C'est une mascarade. C'est un scandale. C'est une honte. Et surtout : LA CORDE DE PENDAISON.
Quand Samir Sassi disait : je ne suis pas solidaire avec 90% des journalistes !
B.N 03/01/2024 | 20:33
J'en ai tiré quelques extraits TEXTO:
« le régime de Ben Ali n'a fait que se conformer à la loi , comme m'a dit ,un jour, Zied El Heni lorsqu'il était membre du bureau exécutif du syndicat des journalistes avant qu'il participe au putch contre le syndicat »
MEDITEZ MESDAMES ET MESSIEURS.MEDITEZ.
«La conférence de presse de Radhia Nasraoui et sa grève de la faim ne sont autre qu'une mascarade»
Voici ce qu'a écrit Z.H sur la grève de faim de la militante RADHIA NASRAOUI en juillet2017 .Il s'agit d'un statut relayé par plusieurs journaux, dont REALITE!!!!
Radhia Nasraoui entame une grève de la faim: « Ils veulent se débarrasser de Hamma Hammami ».
Zied El Heni rétorque et dénonce une mascarade du couple Hammami
Article de Tunisie-Tribune Par Samir Belhassen -16 juillet 2017
Tunisie-Tribune (grève de la faim de Radhia Nasraoui) ' « Ils veulent se débarrasser de Hamma, a martelé la militante des droits de l'Homme Radhia Nasraoui et épouse du porte-parole du Front populaire Hamma Hammami dans une conférence de presse tenue ce mardi 11 juillet 2017, à Tunis.»
Zied El Heni rétorque et dénonce une mascarade du couple Hammami
Selon une tribune de la rédaction du journal, Réalité et sous le titre : « Zied El Heni démolit le couple Hamma Hammami ' Radhia Nasraoui », le journaliste Zied El Heni se serait lâché dans un post publié sur son compte Facebook. Zied ne serait pas allé, en effet, de main morte pour critiquer la controversée grève de la faim annoncée par l'épouse de Hamma Hammami :
«La conférence de presse de Radhia Nasraoui et sa grève de la faim ne sont autre qu'une mascarade» a-t-il écrit
Il est à rappeler que Radhia Nasraoui a entamé une grève de la faim en guise de protestation contre le changement du mode de protection rapprochée dont son mari Hamma Hammami bénéficiait. « Ils veulent se débarrasser de Hamma » a-t-elle accusé. «Ayez honte, vous empestez» a rétorqué Zied El Heni.
MAIS C'EST QUOI VOUS EMPESTEZ
D'après LAROUSSE et non Ro.Ber.Hach)
empester
verbe transitif
(de peste)
Infecter un lieu de mauvaises odeurs, empuantir : Ce produit empeste toute la maison.
Donc il est TOUJOURS EGAL A LUI MEME .Et il choisit les BELS MOTS!!!!
Vous voyez combien il est démocrate.


