Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a invité une délégation interreligieuse, qui sera à Tunis le jeudi 26 mars 2015, et ce, dans l’optique de soutenir la Tunisie après les évènements du Bardo.
Cette délégation sera composée de Marek Halter, écrivain et inlassable combattant pour la réconciliation, Jane Stranz, responsable du dialogue interreligieux au sein de la fédération des protestants de France, Moshe Lewin, grand rabbin de France et directeur exécutif du grand rabbinat européen, Hassen Chalghoumi, président de la conférence des imans de France, Kema du Gassama, imam de Paris et Ilario Antoniazzi, représentant de l’église catholique.
A cette occasion, une conférence de presse aura lieu en présence de l’ambassadeur de France, François Gouyette, le jour même à 14h.
Chalgoumi;a trouvé un filon pour avoir une vie financièrement confortable ;d 'imam auto proclamé qui pronait de bacher sa femme car c 'est un bijou précieux;cet érudit qui ne sait pas aligner une phrase et ecrit des livres ?Taddei de grace ;ne l 'invitez plus
Ghaleb Bencheik ni son frere L 'ex Imam de Marseille qui représentent l 'Ilam des lumieres ne sont pas invités
En plus ce shalghoumi ne représente que soit même, un Mr médiocre sur tous les plans!
Je lance un appel au président SEBSSI: ne vous faites pas intimider et manipuler par des lobby qui ne pensent qu'à leurs intérêts!!! VIVE la Tunisie libre, démocrate et souvraine.
On se demande qui a pu conseiller ce personnage inculte à BCS. C'est une insulte à la majorité des tuniens de France et aussi à la Tunisie.
Il fallait peut-être inviter le philisophe Abdennour Bidar.
Il faudra lui expliquer que le bardo est un museé et non le "nom d une personne" (il comprend vite mais il faut lui expliquer longtemps )
De toute façon entre " un 3 eme age" et un .......mentale ..ils finiront par se comprendre
Charles ???
http://www.dailymotion.com/video/x2ghpbz_chalghoumi-charles-charlie-hebdo_news#from=embediframe
""""""""En 2004, « Chalghoumi devait être expulsé par le ministère de l'Intérieur français, indique Farid Hannache, mais il sera sauvé par l'intervention personnelle de Lhaj Thami Breze, l'ancien président de l'UOIF [lié aux frères musulmans NDA]. ['], auprès de Claude Guéant alors directeur de cabinet de Nicolas Sarközy, ministre de l'Intérieur et auprès du préfet de Seine-Saint-Denis de l'époque, Jean-François Cordet. » Tout cela lui vaut d'être inscrit sur la no fly list des services antiterroristes américains et de demeurer toujours, semble-t-il, interdit de séjour aux États-Unis. À cette époque, Hassen Chalghoumi éprouve par ailleurs un vif intérêt pour la finance islamique (qui prohibe notamment l'usure), allant jusqu'à faire enregistrer le 6 avril 2005 auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI) la marque « Banque islamique de France »."""""""""