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Un Tunisien expulsé de Suisse car représentant une mise en danger de la sécurité intérieure
La Suisse a expulsé, mercredi 28 janvier 2015, un Tunisien de 35 ans soupçonné d'appartenir à la mouvance islamiste et qui était sous le coup d'une décision de renvoi prononcé par les autorités suisses, selon l’agence de presse suisse ATS. Cette information a été confirmée par l’avocat du jeune tunisien Bernard Nuzzo qui a souligné que son client avait contesté tout lien avec les milieux islamistes.
Le Tunisien était arrivé en Suisse en 2006. Il avait obtenu une autorisation de séjour pour faire des études, selon les informations contenues dans un jugement du Tribunal administratif de première instance de Genève. Ce jugement concernait la détention du ressortissant tunisien et ne portait pas sur le fond de l'affaire. Dans son jugement, le tribunal genevois précise toutefois que le service de renseignements de la Confédération a signalé au secrétariat d'Etat aux migrations que l'homme «entretenait des liens avec la mouvance islamiste extrémiste et qu'il représentait une mise en danger de la sécurité intérieure de la Suisse». Le trentenaire, qui n'a pas encore terminé ses études à l'Université de Neuchâtel, avait demandé en vain une prolongation de son autorisation de séjour jusqu'en septembre 2015. Sommé de quitter la Suisse, il s'était évaporé dans la nature, avant d'être interpellé par la police ferroviaire du canton de Fribourg le 8 janvier dernier. Le ressortissant tunisien avait été interrogé par les services de sécurité fédéraux en raison de ses contacts avec un compatriote «condamné pour ses liens avec le terrorisme international». Lors de cette audition, «il avait indiqué qu'il reconnaissait l'autorité du chef de l'Etat islamique (EI) Abou Bakr Al Baghdadi».
Selon plusieurs médias, le ressortissant tunisien expulsé de Suisse aurait notamment à deux reprises distribué des Corans à Genève sur un stand qui arborait un drapeau noir des jihadistes et affirmait son appartenance à l’organisation interdite en Tunisie d’Ansar Chariâa.
Crédit photo Lecteur-reporter : il s’agit d’une photo prise en mai 2014 au stand qu'avait tenu l’homme au centre de Genève.
Le Tunisien était arrivé en Suisse en 2006. Il avait obtenu une autorisation de séjour pour faire des études, selon les informations contenues dans un jugement du Tribunal administratif de première instance de Genève. Ce jugement concernait la détention du ressortissant tunisien et ne portait pas sur le fond de l'affaire. Dans son jugement, le tribunal genevois précise toutefois que le service de renseignements de la Confédération a signalé au secrétariat d'Etat aux migrations que l'homme «entretenait des liens avec la mouvance islamiste extrémiste et qu'il représentait une mise en danger de la sécurité intérieure de la Suisse». Le trentenaire, qui n'a pas encore terminé ses études à l'Université de Neuchâtel, avait demandé en vain une prolongation de son autorisation de séjour jusqu'en septembre 2015. Sommé de quitter la Suisse, il s'était évaporé dans la nature, avant d'être interpellé par la police ferroviaire du canton de Fribourg le 8 janvier dernier. Le ressortissant tunisien avait été interrogé par les services de sécurité fédéraux en raison de ses contacts avec un compatriote «condamné pour ses liens avec le terrorisme international». Lors de cette audition, «il avait indiqué qu'il reconnaissait l'autorité du chef de l'Etat islamique (EI) Abou Bakr Al Baghdadi».
Selon plusieurs médias, le ressortissant tunisien expulsé de Suisse aurait notamment à deux reprises distribué des Corans à Genève sur un stand qui arborait un drapeau noir des jihadistes et affirmait son appartenance à l’organisation interdite en Tunisie d’Ansar Chariâa.
Crédit photo Lecteur-reporter : il s’agit d’une photo prise en mai 2014 au stand qu'avait tenu l’homme au centre de Genève.
D’après ATS
sur le fil
Commentaires (19)
Commenter
Hélas
Létranger
| 30-01-2015 14:40
Que de leçons avons-nous à prendre de la Suisse pour la France...
Il est un "danger potentiel" >>> expulsion.
Il argumente :..." avait contesté tout lien avec les milieux islamistes"...
Vous croyez qu'il va dire :" ouais, j'suis islamiste et j'nique ta mèr" c'est peu probable.
Et je peux vous affirmer que les Suisses ont la mémoire longue, presque autant que les Tunisiens.
Il est un "danger potentiel" >>> expulsion.
Il argumente :..." avait contesté tout lien avec les milieux islamistes"...
Vous croyez qu'il va dire :" ouais, j'suis islamiste et j'nique ta mèr" c'est peu probable.
Et je peux vous affirmer que les Suisses ont la mémoire longue, presque autant que les Tunisiens.
QUEL IMBECILE ! LA SUISSE EST UN PAYS DE GRANDE QUALITE...
Sémir
| 29-01-2015 15:40
Les Suisses n'expulsent pas par hasard.
Voilà un Tunisien, qui au lieu de continuer ses études et au lieu d'être promis à un avenir positif a décidé de suivre la voie de l'extrémisme, de l'islamisme et du terrorisme.
Franchement, ce n'est pas ne victime !
Maintenant, on va voir comment il va se comporter en Tunisie !
ET CE SONT LES TUNISIENS QUI NE SONT PAS NÉS EN FRANCE !!
CE SONT DES TUNISIENS NÉS SOUS BEN ALI ET TRABELSI !
Bon débarras à ce Tunisien et je ne compatis pas à son "malheur". Je suis à 1000000000000000000000000000000% avec les Suisses !
Voilà un Tunisien, qui au lieu de continuer ses études et au lieu d'être promis à un avenir positif a décidé de suivre la voie de l'extrémisme, de l'islamisme et du terrorisme.
Franchement, ce n'est pas ne victime !
Maintenant, on va voir comment il va se comporter en Tunisie !
ET CE SONT LES TUNISIENS QUI NE SONT PAS NÉS EN FRANCE !!
CE SONT DES TUNISIENS NÉS SOUS BEN ALI ET TRABELSI !
Bon débarras à ce Tunisien et je ne compatis pas à son "malheur". Je suis à 1000000000000000000000000000000% avec les Suisses !
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