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Un responsable de la garde présidentielle : Mme Ben Sedrine n'est pas digne de confiance
29/12/2014 | 20:42
1 min
Un responsable de la garde présidentielle : Mme Ben Sedrine n'est pas digne de confiance
Un représentant de la sécurité présidentielle, Anis Mogaâdi, a indiqué que l’Instance Vérité et Dignité (IVD) et sa présidente ne sont pas habilités à prendre les archives de la présidence de la République et tous les textes de la loi de la justice transitionnelle vont dans ce sens, d’où le refus de remettre desdites archives.

M. Mogaâdi a ajouté que contrairement à ce qui a été dit par Mme Ben Sedrine, la direction générale de la sécurité présidentielle n’a signé aucun document avec les membres de l’IVD, avant de fustiger et de dénoncer avec vigueur les propos de Sihem Ben Sedrine donnant des détails sur la géographie des lieux au palais présidentiel, sans oublier l’épisode prétendant l’entrée d’un camion dans l’enceinte du Palais de Carthage à l’insu des gardes. A ce propos, il a précisé que le camion en question était entré au lycée de Carthage et non au palais.

« Une femme qui agit de la sorte et dit des énormités pareilles ne peut pas être digne de confiance au point de luit remettre des archives contenant des secrets et des données confidentielles », précise encore Anis Mogaâdi.

S.H
29/12/2014 | 20:42
1 min
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Commentaires (15) Commenter
Islamistes Et tartour : portes malheurs pour BCE .
Abdel
| 31-12-2014 06:17
Mais oubliez cette dame Ben Sedrine pour le moment . L' Affaire des archives peut attendre quelques semaines . Elle veut ternir la passation des pouvoirs et le succes de BCE . C'est Marzouki , le mauvais perdant , qui est entrain de la manipuler . Dieu. A sauve' la Tunisie en faisant perdre Marzouki . Imaginons un peu ce qu 'aurait fait ce Marzouki s'il avait gagne' . La Troika aurait repris les ficelles invisibles du pouvoir . Encore maintenant , il faut de longs mois pour defaire ces ficelles qui existent encore et qui risquent d'exister longtemps et peut etre toujours . NETTOYER LES MINISTERES C'EST LE TRAVAIL N" 1 de BCE . ils vont constituer un FREIN A TOUTES SES ACTIONS . Agir vite et sans menagement , les Nahdhaoui ne doivent en aucun cas mettre les pieds au Gouvernement . Participation de tous les Partis au Gouvernement c'est l' IMMOBILISME TOTAL du Gouvernement ! Et c'est ce que cherchent les Nahdhaoui , BCE. Reveille Vous , il y a un nefate piege . Eloignez vous du Gourou , il est porte malheur . Il a perdu en votant Marzouki . Laissez le tomber . Regarder le sort de Ben Jaafer et Marzouki . Rappelez vous l' echec de Sarkosy qui a fait participer des socialistes a son gouvernement . Ya BCE ! Vous , vous avez gagnez , eux ils ont perdu ! Lachez les , ces incompetents islamistes arrivistes , ils ont tout soutenu contre vous . contre le peuple , soyez intraitable . Votre reussite passe par leur elimination .
@John wayne
hédi
| 30-12-2014 23:02
J'essaye de mettre dans la peau d'un sioniste qui déteste le monde arabe en vous lisant. Et là eureka, ce que je soupçonnais est devenu plus clair que de l'eau de roche dans ma tête. En effet de cette façon, je me suis aperçu que vos insinuations vont trés loin, vous faites semblant d'être un nationaliste mais en réalitéun ami des islamistes et même des terroristes qui veulent nous détruire et qui sont en ce moment même, tapis quelque part au mont caambi, en train de crever de frois, ce dont ke me délecte. C'est vous même qui nous avez mis la puce à l'oreille JW en nous demandant de ne pas aller voter, ce qui aurait immanquablement été en faveur du tartour, des islamistes donc et de toute la bande d'infiltrés dans notre pays par les sionistes et la CIA, ce que vous approuvez quand même. Mais vous avez été tous déroutés par la prise de conscience de bon nombre de Tunisiens qui heureusement dans un sursaut nationaliste justement ont voté BCE. Oui, vous avez tous dans le monde été surpris par ces scores anti islamistes. Maintenant et comme plusieurs ici vous l'ont dit, laissez nous tranquilles, profiter de ces nouveaux moments de liberté qu'on a oublié depuis trois ans. Ne gâchez pas notre fête et retournez de là ou vous venez, si jamis vous êtes venu en Tunisie.
***
DE LA JUSTICE TRANSITIONNELLE (1/2)
BABOU
| 30-12-2014 11:48
Depuis des décennies « La justice transitionnelle », ce nouveau concept en matière des droits de l'homme, est devenue « une norme » voire un code qui s'appliquerait à tout pays sortant d'une dictature et aspirant à une vie politique et civique normalisée et pacifiée.
Malheureusement, cette terminologie peut porter à confusion auprès d'une opinion publique généralement peu ou mal initiée à cette nouvelle notion de justice. Pour cela, il est préférable de parler de « justice, réhabilitation et réconciliation »,
Ainsi, la question centrale consiste à comment trouver cette équation entre « l'indispensable équilibre » et le besoin d'une justice équitable des victimes avec la nécessité de maintenir l'ordre et la stabilité politique dans le pays.
Comment promouvoir la réconciliation nationale, comment commémorer le passé sans diviser la société ? Telles sont les principales questions qui se posent.
Pour se faire, la mise en place d'une nouvelle éthique est une nécessité « absolue » où la morale, la justice, la vérité, la reconnaissance, la concorde,' ces vraies valeurs reprennent leur place. Quant à l'ordre politique, il ne doit surtout pas négliger en particulier certains paramètres fondamentaux en l'occurrence, la démocratisation, la pacification, la réconciliation et j'en passe.
Pour que cette justice transitionnelle réussisse, il est obligatoirement attendu que la reconnaissance des responsabilités dans les crimes commis (de toutes sortes) du passé renforcera la confiance d'un citoyen, fraîchement affranchi, envers des institutions récemment renforcées ou créées.
En tout cas, c'est le seul et l'unique moyen pour espérer consolider le processus démocratique qui demeure tout de même très fragile faute d'une adhésion populaire significative, d'un consensus national et surtout d'un compromis largement acquis d'avance.
A travers la mise en place de cette justice transitionnelle dans notre pays, une nouvelle donne inédite pour une société qui a subi durement les foudres de la dictature durant plus d'un demi-siècle, toutes les forces vives sont appelées à y contribuer « loyalement et pacifiquement » en dépit de toutes nos différences politiques et idéologiques.
Mais comment réussir ce pari historique d'apparence insurmontable alors que d'autres nations d'Amérique du Sud et d'Afrique ont su le réaliser en un temps record, en quelques années seulement ?
L'histoire universelle nous enseigne que lorsqu'une dictature rende les armes, le peuple « libéré » n'aspire et n'attend qu'une seule réponse, l'avènement d'un régime démocratique aboutissant à une transition réussie consacrant l'adhésion populaire.
Afin de réaliser cet objectif, la justice transitionnelle est un passage obligé. Ainsi, nous devons « transgresser » et vaincre coûte que coûte la rumeur, la peur, l'incompréhension, les a-priori, et tous autres tabous.
Nous devons regarder notre passé en face, se confronter aux violations et aux violences passées, faire surgir, durant ces instants de vérité, les souffrances passées sous silence ou niées qui nous hantent en permanence.
DE LA JUSTICE TRANSITIONNELLE (2/2)
BABOU
| 30-12-2014 11:45
Nous devons regarder notre passé en face, se confronter aux violations et aux violences passées, faire surgir, durant ces instants de vérité, les souffrances passées sous silence ou niées qui nous hantent en permanence.
Nous devons savoir de quoi et comment a été faite et écrite notre histoire commune.
C'est, à mon sens, le moyen le plus « noble » pour tourner définitivement la page et d'avancer sur la voie de la réconciliation et du pardon.
Malheureusement, la démarche s'avère d'emblée difficile à mettre en 'uvre car les obstacles, les refus et les oppositions, les coups bas et les man'uvres « vicieuses » sont nombreux à évacuer pacifiquement.
D'ailleurs, dès le lendemain de la « chute de l'ancien régime », certaines forces malveillantes n'ont pas attendu longtemps pour passer à l'action. En effet, dans la précipitation et par peur d'être démasquées, elles ont broyés des tonnes d'archives et dans une confusion totale et hystérique elles ont fini par mettre le feu aux restes, histoire de brouiller les pistes à jamais (le cas des bureaux de l'ATCE de Tunis).
Quant aux archives de la Présidence à Carthage, le problème est encore plus compliqué. Ce trésor inestimable gorgeant de documents, de preuves et de pièces à conviction, font l'objet de convoitises incessantes de part et d'autres.
D'ailleurs, les locataires en place, depuis quelques années déjà, se sont servis à volonté et ce, pour différentes raisons (le livre noir en est la parfaite illustration).
Mais, le plus inquiétant, c'est le fait de voir s'évaporer de précieux documents lors de différentes situations de confusion comme celle entourant la passation de pouvoirs.
Et, de surcroît, la succession effrénée de problèmes de ces derniers jours, à différents niveaux, risque de d'envenimer une situation déjà lourdement « boueuse » alimentée par des initiatives, des arrières pensées et des comportements irresponsables.
A ce rythme d'une fuite en avant désespéramment incontrôlable, tous les protagonistes de ce dossier très épineux s'enlisent vers une voie sans issue susceptible d'étouffer définitivement un projet politique hautement risqué.
Cette situation conflictuelle doit cessée, dans l'immédiat et sans délai, dans l'intérêt de notre mémoire collective. Mais si elle persiste nous serons tous coupables de ne pas oser être à la hauteur de nos responsabilités. C'est aussi un manque de « respect » à égard de notre propre devoir de mémoire.
Aujourd'hui, La Tunisie nouvelle est en marche. C'est une réalité que personne n'a plus le droit de remette en question car tous ses acquis post-révolution sont irréversibles.
Dès lors, nous devons dépasser notre égoïsme, nos différends et nos « haines » pour enfin réaliser un rêve, un idéal, celui d'une société démocratique digne de notre riche civilisation millénaire' c'est aussi « un geste amical » pour un avenir meilleur pour les futures génératio
Qui a peur de la Verité ??
Sidi Teta
| 30-12-2014 11:20
Ce qui se passe depuis samedi est un énième crachat au visage des opprimés de l'injustice féodale qui sévi dans ce pays depuis des siècles,

Des milliers de victimes, toutes obédiences confondues , sont concernées

la tâche de l"IVD est a ce titre cruciale pour la maturation et pour l'édification d'un VERITABLE ETAT DE DROIT

Ces rixes de sales gosses prolongent l'indécente'OMERTA ,érigée dans ce pays de guignols comme norme sociétale et comme preuve de puissance féodale.

On s'amuse dans les cours de récrés en jouant à la baballe avec un dossier d'une importance capitale pour la maturité du peuple tunisien,,pour son honneur, et par delà, son avenir.

L'enjeu de la mission de l'IVD est trop important et stratégique pour être confié à des personnes à l'intégrité et au sens de la responsabilité discutables , même si ce type de profil est majoritaire dans la Tunisie d'aujourd'hui..
Mr John Wayne
kdecde
| 30-12-2014 09:55
Depuis 2 ans, vous n'arrêtez pas à nous traiter de peuples misérables, gueux,etc.. vous prédisiez un bain de sang tout les 2 mois, vous faites des louange à Ben Ali. Mais depuis le temps, ce peuple de gueux, à avancé, il à réussi là où les autres ont échoués, il à écarté les Islamistes du pouvoir avec élégance, il à élu un président digne de notre chère patrie qui fera sûrement mieux que votre dictateur déchu par nous les gueux, en même temps notre armé et nos valeureux policiers (vous ne faites pas parti Mr John) ont réussi à reprendre la main, l'insécurité est un souvenir lointain, les institution de l'état n'ont pas cédés; en un mot, notre avenir sera beaucoup plus radieux que notre passé; quant à vous Mr John, je vous souhaite plein de kleenex pour 2015.
C'est simple
horstman
| 30-12-2014 09:48
Enfermez la avec le Tartour et son groupe de dingues.

A mon avis ces gens paieront cher leurs vulgaires paroles et leurs insultes envers des personnes plus nobles et intelligentes qu'eux.

Pas question de vengeance, mais par principe d'une république à la hauteur.
Paroles de PRO
P3N
| 30-12-2014 09:04
Cette action est purement professionnelle. Voilà quelqu'un de responsable.
Le pays est entrain de passer par une période critique après les élections présidentielles et le deuxième candidat n'a pas accepté sa défaite. Alors pourquoi madame tu as évoqué ce problème d'archives à cet instant précis et d'une manière rapide? la réponse est à mon avis simple, ou bien tu es manipulée ou bien tu es entrain d'avantager une personne ou un parti. De ce fait, tu ne peux en aucun cas être digne de confiance.
Tout est dit
Citoyen de Tunisie
| 30-12-2014 08:32
No comment
bravo
jokef
| 29-12-2014 23:25
au directeur de la sécurité de Carthage que dieu vous garde