Tu me traites d'imbécile heureux, et je te réadresse le compliment en y adjoignant grossier personnage.
Quand à la démocratie, je parue que je compte plus de combats en sa faveur que toi et ton assemblage.
Je suis un militant, rien que militant qui n'a jamais tiré profit des luttes menées avec des compagnons intégrés et courageux.
Pas derrière son clavier, petit monsieur, mais sur le terrain.
Des décennies qui m'ont appris ce que veut dire le combat, la fraternité dans la lutte et la constance si'peu répandue.
Comme tu es si peu civil, je me fiche totalement de tes démocrates et ta démocratie, puisque tu en trahis l'un des fondements, celui du respect d'autrui.
Cela s'appelle la civilité.
Tu ne connais pas ?
C'est toujours en-dessous de la ceinture que vous ramenez les échanges.
Pas de chance, je vous donne le change.
Au combat, je n'ai pas coutume de me défiler.
Vous me dégoutez par vos bassesses.

Je détricotais un discours et des idées, je ne m'adressais pas à votre personne. J'ai essayé de mettre à nue une rhétorique sotte et satisfaite d'où l'imbécile heureux. La vraie bassesse c'est de décréter la culpabilité de personnes sans aucune considération pour la présomption d'innocence. Soutenir un président qui est en train de saper les fondements d'un procès équitable est plus que coupable. Cela va ôter toute crédibilité à une aspiration légitime qui est la reddition des comptes. Les visées politiques sont manifestes et on ne peut pas cautionner une telle dérive. Des pressions sur les juges, les opposants, les journalistes, les syndicats ect, à un moment il faut regarder la vérité en face et arrêter de tortiller du derrière pour trouver des excuses qui n'existent pas. Considérer que tout le monde est ripoux est intenable si on a un minimum d'honnêteté intellectuelle. Cette vision selon laquelle on participe à la vie de la cité par intéressement prend une forme maladive quand vous souligner que vous avez milité sans tirer profit. Cela explique votre vision du monde et ce n'est pas une psychanalyse de comptoir. On est jamais intéressé quand on défend des valeurs.
Respecter les gens en respectant leur présomption d'innocence et les gens vous respecteront.
Aujourd'hui, le courage est de dénoncer cette dictature, et non pas le contraire.
Libre à vous de vouloir confier la destinée d'un pays à un seul homme, moi je serais toujours pour la démocratie.
Je m'excuse si j'étais blessant, ce n'est mon objectif.

La vraie bassesse est de définir l'autre plutôt que d'argumenter.
Car, des arguments pour déclarer voleurs, truands et criminels des gens qui ont fait assassiner, qui en appellent à l'étranger, qui n'ont aucune retenue comme Harouni qui menaçait en exigeant un complément de rançon...
Tu faisais quoi contre cela.
Tu t'y opposais, grand démocrate ?
Tu es un petit diffusant, un véritable dit qui croit en sa science.
Tu détricotes rien, petit.
Des suffisants de ton espèce, il y a pléthore.
Va ton chemin.
Je ne te considère pas.
Mais, sache que je n'ai pas coutume de baisser pavillon.
Je suis un vrai militant.
Du genre à pas se laisser bousculer par des nains.
Merde aux cons.
Ta démocratie de grossier, tu la gardes.

Le Juge qui libère un opposant du coup d'Etat de Kaïs Saïed et qui ne l'arrête pas et ne le condamne pas faussement et injustement, il sera licencié par la «démocratie» de ce même Kaïs Saïed, qu'on a démocratiquement élu!!!
La faute n'est pas à Pharaon. La faute est à ceux qui «pharaonisent» un retraité de l'enseignement supérieur, apolitique et amateur politique, qui se prend pour le plus malin de son «royaume» de la Mnihla. Sinon, comment comprendre tout ce silence honteux du cimetière des Juges et des Magistrats tunisiens, qui se transforment en de poules de Poulina, s'accroupissant au sol par toute cette peur et par toute cette anxiété honteuses, permettant au premier venu des coqs des cités populaires, de les humilier de la sorte!!!
Si la Justice tunisienne s'avère de cette forme d'entreprises familiales lucratives pour les uns et destructrices pour les autres, alors là, au revoir et merci ma Patrie tunisienne.
Allah yostir Tounes.

Un fonctionnaire cela ne dit pas soutenir une dictature ou une injustice!
La faute de la révolution 14 janvier que le peuple n'a pas éradiqué les rcdistes pro lèches bottes dans les hautes fonctions!
Men chaabba ala chay2on (lècher les bottes des dictateurs) cheeba 3alayhi (donc aucune chance qui ils soient démocrates!)

Surtout si ce fonctionnaire à un moment ou à un autre a trafiqué ou s'est fait corrompre et dieu sait si leur nombre est important !!!?

Je ne serais pas sérieux, c'est la plus gentille formule.
Un autre voudrait m'apprendre à orthographier, peut-être même écrire correctement, parce que je n'abonde pas dans le sens de la doxa.
Sur le fond, je maintiens que beaucoup de ceux qui ne cessent de crier à la dictature étaient aux abonnés absents lorsque régnait l'ordre islamiste.
Si nous en sommes là, et que la justice commence à bouger, c'est bien parce que l'impunité de certains a permis la gabegie, leur a laissé le champ libre de se servir en terrorisant le pays.
Si ce qui vous semble excessif ne me trouble pas, et que je dérange votre bonne vertu de démocrates, c'est parce que je prends en compte l'histoire des événements, leur déroulement, l'origine et les conséquences.
Il me paraît nécessaire, utile, salutaire de procéder à une opération mani puliti.
Les "Docteurs" en veux-tu en voilà, les nouveaux nababs, les incultes suffisants qui ont rançonné le pays, doivent rendre des comptes.
Ceux qui ont fait la courte échelle, servant les fripouilles et les amis de la terreur, aussi.
Le pays le demande.
Pas les assemblages de vertueux qui croient incarner la vérité.
Je suis un inconscient à vos yeux, celui qui écrit des textes "bourrés de fautes", un doux imbécile en somme.
Vous êtes nombreux à vous croire dans la juste voie.
J'assume les erreurs.
'? la différence près, mais de taille, je suis capable de faire amende honorable lorsque je le trompe. Ce qui n'est pas le cas de tout le monde.
Le nombre ne fait rien à l'affaire.
Leibniz l'oppsa en son temps à ses contempteurs.
Cité in Semiotike, Julia Kristeva.

Si j'ai bien saisi votre exposé étayé par des arguments foireux 'tirés un peu, beaucoup, voire passionnément par les cheveux' et c'est le moins que l'on puisse dire, ceci justifierait le désordre et la gabegie instaurés comme mode opératoire étatique à la Bokassa 1er ? ? ?

Quel argument avez-vous rapporté pour étayer la mise en cause de ce que j'écris ?
Rien.
Juste un jugement de valeur. Sans valeur, du reste.
Foireux ?
Je préfère ne pas dire plus.
Faible et insatisfaisant.

Cher monsieur, ne vous en faites surtout pas, car ceux qui condamnent le pouvoir pour interférence dans les affaires de la justice, laissant apparaître un état de panique évident, alors qu'ils se la bouclaient lorsque celle-ci gelaient les gros dossiers, ont sûrement des dossiers qui peuvent leur éclater à la figure à n'importe quel moment!!! Vous n'imaginerez jamais le nombre éffarant de personnes, en détresse, privées de sommeil, en attente d'une catastrophe possible, qui risque fort de leur tomber sur la tête un de ces quatres et qui sont facilement identifiables ici même !!!? Je me demande comment les prisons tunisiennes pourront les contenir!? A bon entendeur, salut!

Bonsoir Mr,ceci est bien clair sans détour, comme on le dit souvent, les points sur les (i)
L'insomnie perpétuelle !

....la Tunisie mérite mieux

Vous l'apprendrez vous, lorsque vous et vos semblables rendrez des comptes et croyez-moi, comme vous le voyez, ça ne tardera plus!!!

C'était prévisible. Ce pouvoir ne fait pas dans la dentelle. Il n'a que faire de l'indépendance de la justice, c'est lui la justice.
Il est en train d'enlever toute crédibilité à l'action judiciaire.

L'indépendance de la justive vous plaisait lorsque les lourds dossiers ont passé des années au congélateur, parce que d'une manière ou d'une autre, cela vous arrangeait !!!?

LE CHIEN
Ecrit par A4 - Tunis, le 01 Mars 2023

C'est un chien errant sans domicile fixe
Un répugnant chien bâtard né sous X
Il tend la patte, il se fait très docile
Prêt à suivre n'importe quel débile
Prêt à se montrer gentil et fidèle
A celui qui lui remplit sa gamelle

On ne l'a jamais vu montrer ses crocs
A celui qui lui jetait quelques os
Il obéissait à ses patronnesses
Et à ses patrons le tenant en laisse
Pour attaquer enfant ou garnement
Sur ordre de son maître du moment

Cependant, il peut être très changeant
Vu qu'il a la traîtrise dans le sang
Certains vous diront qu'il l'on déjà vu
Se montrer lâche, commettre des bévues
Mordre avec une haine meurtrière
Visage et mains de son maître d'hier

Il n'aboie pas, baisse souvent la tête
Tout prêt à ramper et faire des courbettes ...
N'est-ce pas pour ce comportement vilain
Que petits et grands de tout le patelin
Que les badauds et même les sans refuge
On finit par l'appeler "petit juge" ?

Pour les grands esprits qui ne cessent de nous faire le coup de l'indépendance de la justice, et bien plus celui de la démocratie, un juge qui libère quelqu'un doit asseoir sa décision sur des attendus sérieux.
On peut se demander si cet homme libéré par ce juge n'avait pas, compte tenu de son statut de syndicaliste de la corporation des agents de l'institution, bénéficié de traitement de faveur. Puisque un autre juge l'a rattrapé.
Si notre homme n'avait rien à se reprocher, il n'aurait pas été poursuivi.
Mais, on le connaît, on a assisté à certaines de ses sorties. Et, il a été impliqué dans l'extraction de pièces de dossiers sérieux.
Alors, qu'on vienne encore nous faire chanter..... '?a suffit.
Chacun est justiciable d'un traitement à la hauteur de ses actes.

Les longs tentacules ramifiés de la pieuvre prise dans les filets de l'inspection. Béni soit le 25/7.

Les chiens aboient, la caravane passe.

'Si notre homme n'avait rien à se reprocher, il n'aurait pas été poursuivi.'

Vous êtes sérieux ou c'est un cauchemard éveillé vous vous rendez au moins compte de ce que vous écrivez

Vous êtes le "citoyen" révé des pires dictatures, votre éducation est térrifiante.

Si un pouvoir vous accuse, par définition vous étes coupable?

JE suis encore sous le choc de voir le niveau des tunisiens.
Le retour à la Tunisie d'avant 2011 va etre rapide et brutale grace à des ignares serviles comme vous.

Monsieur,
Perso,je ne partage pas totalement votre vision du problème.
En effet, il faut être vraiment obtus ou désorienté pour ne pas comprendre ce qui se passe.
Dan notre pays, il n'ya plus de justice indépendante.
Si un juge n'exécute pas l'ordre de la ministre de la justice (en réalité se sont les instructions de Saied) il est automatiquement dessaisi de l'affaire ou muté ou suspendu voire arrêté.
Il faut comprendre que la police politique (anm eddaawla) a repris sa noblesse d'antan.
La police politique est au service de Saied ainsi elle a pris le dessus sur la justice.
Donc, il est de l'usage de cet organe sécuritaire de monter des dossiers, de fabriquer des affaires, de designer de faux témoignages, de désigner des coupables,...
Ce que fait le pouvoir actuellement est la première phase (la purge) du projet : l'installation d'une dictature pérenne.
Le projet personnel de Saied est courageux et osé mais il prend beaucoup de risques.
Il suffit d'une étincelle et tout peut capoter, s'embraser et partir en fumée et sauve qui peut.
A force de trop tirer sur la corde elle peut lâcher à tout moment.
L'histoire peut se répéter à tout moment surtout que le nouveau dictateur ne cesse d'élargir l'espace de ses opposants et de ses ennemis de l'intérieur comme de l'extérieur.
L'inconnue demeure quand même la réaction imprévue du peuple si la situation socio-économique s'empire sauf si l'armée decide de passer à l'action.
Et là c'est une autre histoire.
D'ailleurs, à ce rythme où va le pouvoir, on se rapproche dangereusement de l'Argentine de Péronne ou le Chili de Pinochet.

bonjour a l'independance des magistrats sous kais saiid. ..
quel autre magistrat va oser liberer les detenus politiques..?

On est devenu la risée du monde. La fin sera rude pour ce dictateur qui n'a pas les moyens de ces ambitions despotiques.