
Le député du mouvement Ennahdha, Samir Dilou a confirmé que le parti politique Ennahdha est un acteur primordial sur la scène politique nationale et sa restructuration interne n’est pas exclue.
Sur les ondes de Shems FM, le 4 août 2021, Samir Dilou a précisé que malgré toutes les contradictions internes au sein du parti, la participation active d’Ennahdha dans la restructuration nationale s'impose à travers une lecture des faits survenus le 25 janvier qui ont projeté la colère populaire contre Ennahdha et l’euphorie autour de la personnalité du président de la République.
Samir Dilou a déclaré que la personnification des divergences des points de vues concernant la stratégie publique de l’Etat, a amplement accentuée la crise entre les trois présidences, sans oublier son incidence néfaste sur la crise sanitaire suite à l’existence d’un gouvernement démuni de plusieurs ministres.
Samir Dilou n’a pas hésité à condamner toutes les incitations à l’ingérence à la souveraineté tunisienne ainsi qu’à la guerre civile de la part de certains dirigeants ou partisans en précisant que le parti doit assumer sa responsabilité.
Il a aussi indiqué que les principes qui ont permis la naissance de ce parti historique exigent sa loyauté en affirmant « je soutiens et je soutiendrais toujours mon parti, et ma démission est totalement exclue surtout dans ces circonstances exceptionnelles ».
Concernant l’enrichissement injustifié de plusieurs dirigeants d’Ennahdha, il a estimé que le pouvoir judiciaire peut mener toutes les enquêtes nécessaires à cet effet, en émettant des réserves par rapport à ces accusations.
Samir Dilou a affirmé que la révolution du 14 janvier 2011 a été motivée par les violations systématiques des droits de l’Homme, alors que celle du 25 juillet, par la démocratie purement formelle, instaurée depuis dix ans et ne comportant aucune vision économique et sociale, et même la liberté d’expression ne s’appliquait qu’aux élites.
Concernant les dernières arrestations, Samir Dilou a déclaré que les députés ne disposent d’aucune immunité parlementaire et le parti Ennahdha n’a jamais exercé de pouvoir sur l’organisme judiciaire et la question relative à l'application des mandats et des jugements après le 25 juillet doit être posée au ministère public.
J.B
Qu'il réponde aux questions de @Tounsi Le Vrai
- a planifié, organisé, armé, financé, exécuté, caché ceux qui ont commis les crimes de : Bab Souika, Sousse, Belaid, Nagdh, Brahmi, nos soldats égorgés .....
- est derrière l'organisation secrète d'Ennahdha ?
- les milices de Himayet Etthowra ?
- a permis à des illettrés de rentrer dans l'administration tunisienne ? de soudoyer les hommes d'affaires tunisiens et leur extorquer de l'argent ?
- a volé l'argent des tunisiens ? et comment le récupérer ?
- a envoyé nos jeunes se faire tuer en Syrie ?
............
Ennahdha doit passer à la casserole ... Aujourd'hui, le pays est surendetté ... Hors de question qu'on paye le prix ... Des familles ont perdu leurs enfants en Syrie ... à cause du COVID ... Ennahdha doit payer ... point final ...
Si le repentir devait suffire, combien de crimes seraient absous.
Sans entrer dans ses présupposés, je crois pouvoir dire que ce que vous avez infligé au pays est de l'ordre de l'irréparable.
Vos bonnes, ou mauvaises intentions, n'y suffiraient pas.
Vous recherchez une voie de nature à vous sortir d'affaire. C'est trop tôt.
Lorsque vous aurez rendu des comptes de tous vos méfaits, que la justice aura fait son travail, il se pourrait que vienne alors le temps de considérer votre requête.
Pour l'heure, vous êtes si peu nombreux à envisager leurs fautes.
La plupart de vos "frères" restent persuadés de n'avoir rien à se reprocher.
Ils cherchent des ruses en vue de reprendre leurs pouvoirs.
Ils ameutent tous les lobby et les amis afin de pousser dans le sens d'un retour à l'avant 25 juillet. Ce faisant, ils parasitent l'ouvrage en cours et continuent à nuire.
Vous admettrez que là ne sont pas des dispositions en faveur de l'apaisement.
Seulement certains comme ghanouchi, ksiksi, hammami, zoghlami, Mekki et autre Harouni doivent le savoir et leur expliquer ce qui s'est passé et qu'ils doivent maintenant plier bagage et penser à d'autres prérogatives et alternatives.
En deux mots que c'est fini et que la page, pour les tunisiens, est tournée et qu'il no't plus de temps à perdre encore pour s'occuper des pleurnichards qui ont pourtant tout massacré,
et ils le savent bon sang de bon soir, allons donc qu'ils arrêtent cette mascarade subie et apprise, déjà depuis onze ans.
Saieb salah.
Vous avez essayé, vous avez tout détruit et vous tenez encore bon afin de profiter encore plus de l'argent facile...
partez, partez, partez enfin
Et puis ce fut onze de peine et de calvaire subies par le peuple tunisien.
Mais de même de demander le pardon à Dieu et des excuses au peuple tunisien et puis de s'éloigner le plus loin possible sans réserves ni conditions comme le demande cet indigne, impoli et indécent Mekki et pense que le peuple tunisien est naïf et dupe.
Malla ftairi et inculte parti à la capitale croyant qu'il allait conquérir le monde et coloniser la Tunisie comme le lui avait inculqué le mafieux et terroriste ghanouchi lorsqu'ils profitaient de la crédulité des britanniques.
Ensuite, il fera jour !!!
Ils n'ont absolument pas digéré le coup de maitre de notre président qu'ils insultaient sans ménagement et qui le traitaient de tous les noms d'oiseaux !!!!!
Ces charognards feront de KS, un épouvantail.
Mr le Président, si vous acceptez leur cinéma, ils vous réduiront en bouillie.
Bien sûr, il n'est pas le seul.
Sauf qu'il ne pesait pas lourd au sein de la choura.
Le parti s'est érodé chaque année davantage et sa politique égoïste a fini par aboutir à la situation actuelle.
Malheureusement, le repenti n'est pas possible et le peuple n'accordera pas son absolution à ceux qui ont ruiné le pays.