
Le président de la République Kaïs Saïed a reçu, lundi 29 mai 2023 au plais de Carthage, le ministre des Affaires étrangères, Nabil Ammar.
Selon un communiqué émis aujourd'hui, le Président Saïed a insisté, à cette occasion, « sur la souveraineté de l'État tunisien et la nécessité d'avoir des relations d’égal à égal », ajoutant que « dernièrement, certaines plumes sont nostalgiques du discours de la génération Jules Ferry ».
Il également affirmé : « l'attachement de la Tunisie à ses relations stratégiques avec les pays européens et avec l'Union européenne dans le cadre de l'intérêt commun ».
On relèvera que cette sortie présidentielle intervient la veille d’une visite de travail de deux jours (30 et 31 mai) que Nabil Ammar effectuera en France, à l’invitation de son homologue Catherine Colonna.
En citant ce personnage historique dans ce contexte, Kaïs Saïed rappelle le colonialisme français. Jules Ferry était un acteur de l’expansion coloniale et il avait contribué à l’instauration du Protectorat en Tunisie. Le Président tance ainsi les nostalgiques de la domination française.
Le chef de l’État, et toujours selon ce même communiqué, a également profité de l’occasion « pour rappeler son initiative présentée et qui concerne l'organisation d'un sommet réunissant les pays d'Afrique du nord, les pays du sud du Sahel et du Sahara et les pays du nord de la Méditerranée pour aborder les causes de la migration et qui ne peut être qualifiée que d'inhumaine ».
Il a souligné que « les solutions sécuritaires traditionnelles ont prouvé leurs insuffisances et limites, outre le fait qu’elles traitent les effets et résultats et n’œuvrent pas pour l'élimination des causes de la migration irrégulière ».
I.N
Je pense plutôt que la "bêtise naturelle" est encore plus forte.
Eh bien, je ne pense pas beaucoup à IA, mais quand je regarde la plupart des politiciens de "haut niveau"... une IA n'a besoin ni d'un maquilleur ni d'un photographe, ni d'être entretenue de manière coûteuse et de ne pas être transportée par avion. '?a fait économiser beaucoup d'argent aux contribuables... juste un instant... s'il vous plait remplacez Mme Leïla Jaffel, Mme Najla Bouden Romdhane et le putschsite en chef par une IA, c'est mieux et beaucoup moins cher. Et le meilleur, c'est que la Tunisie a besoin de moins de CO2 et de H2S ;)
Rien que pour la formation de ChatGPT, du matériel nVidia d'une valeur de plus de 100 millions de dollars a été nécessaire.
Les services d'IA sont considérés comme une nouvelle mine d'or numérique. Des rendements élevés sont promis, financés par le client. Les institutions étatiques en tant que clients, en particulier les "Etats" du Golfe et de l'UE, sont considérées comme particulièrement solvables et disposées à payer.
Personnellement, je doute que l'administration puisse devenir moins chère dans un avenir proche grâce à l'utilisation de l'IA.
Ma proposition pour le pays est la suivante:
Chaque Tunisien n'a qu'à se pencher partout où il voit des déchets et en prendre 10 par jour pour les mettre dans une poubelle. Lors de chaque visite dans une mosquée, un restaurant ou une école, chacun peut déposer un morceau de plastique dans une poubelle...
Est-ce que ce n'est pas possible ?
Ma femme et moi avons toujours ramassé des déchets sur la plage et les avons même ramenés à la maison pour les jeter dans la poubelle privée. Seules les personnes qui fréquentent les plages ont trouvé notre action ridicule et se sont même moquées de nous !
Hygiène élémentaire.
Je fais exactement la même chose que vous faites sous l'oeil médusé, incrédule des touristes et goguenard, voire moqueur de ceux du cru.
Cela a beau être la plage d'un hôtel, la mer nous renvoie nos m...sans distinction.
J'avoue que la tâche a quelque chose de dissuasif.
Je sais, c'est plus fort que nous.
Bon courage.
Bien à vous.
Syndrome de Diogène à l'échelle d'un pays.
La splendeur et déchéance de Ferryville telle que vous la décrivez me rappelle une ancienne chronique signée Tahar Fazaa au sujet des pavillons abandonnés par les colons dans le nord-ouest du pays peu après l'indépendance.
Natif de Béja, 1947, il a vécu de près ce moment de l'histoire locale.
C'était, dit-il, des pavillons propres, coquets, bien tenus et entretenus, des plates bandes fleuries, des allées exemptes de toute herbe adventice, des potagers tirés au cordeau, parfois des roseraies suivies avec attention, amour et soin.
Une fois les colons partis, ils furent investis par de nouveaux occupants du cru sans titre ni bourse délier.
En 15 jours, dit-il, la nature reprit ses droits, ruinant le travail suivi de plusieurs années. Plates bandes piétinées, herbes folles incontrôlées et le reste à l'avenant. Les murs ne tardèrent pas de suivre, en ruines décrépis, lépreux.
Nous n'avons le respect de rien. Pas même notre cadre de vie quotidienne. Pas même celui dû aux morts et à leur mémoire. Voyez ce qu'est devenu le cimetière chrétien de Sousse, voyez l'état des cimetières de certaines de nos communes.
Là où on passe, l'ordre trépasse. Une sorte de malédiction, syndrome de Diogène, un plaisir pervers à tout saccager, s'ébrouer dans la fange nous poursuivra partout. De la plage à l'intérieur des terres.
Pourtant, il suffit de peu de chose pour rendre ce pays propre.
Tu as fort raison.ce k.s ne connaît absolument rien du grand Jules Ferry, hormis que c'était un grand colonisateur.C'est le discours des arabes qui sont toujours irrationnels. Que k. S ce mégalomane, ce psychopathe, cette malédiction fasse le un millionième que fit Ferry à son pays. Il est l'omnipotent,
L'omniprésent, le sultan, le calife incontestable, incritiquable de la Tunisie.
Cher Farès la Tunisie et les tunisiens sont en train de payer cher et amèrement leur idiotie, leur ineptie, leur ignorance. C'est bien fait pour leur gueule. Qu'ils sombrent peu à peu sous la dictature de leur guide suprême :l 'intègre, le propre.... Le malade....
P. S: ce K. S n' est pas à même de construire ni de prononcer correctement en arabe dialectale trois phrases bien sensées.
Oui, il ne sait plus quoi faire pour faire oublier sa sortie " celui qui s'excuse s'accuse". Il a une façon originale pour quémander. Je vous insulte mais vous devez nous aider financièrement. Au lieu de parler de Jules Ferry, Parlez de Charles Nicolle, prix Nobel qui a sauvé des milliers de vies tunisiennes du Typhus et d'autres maladies infectieuses. Dites que sur sa tombe à l'institution Pasteur de Tunis on peut voir deux rameaux entrelacés, pommier et olivier, symboles de sa Normandie natale et de la Tunisie. Jetez les ponts au lieu de créer les fractures que ce soit sur le plan intérieur qu'exterieur. Respecte tes concitoyens d'abord.
La ville était une pure merveille sur le plan architectural (construite au tour de huit axes qui se rencontrent à la place centrale) d'où son surnom 'Petit Paris'?'.
Plusieurs communautés cohabitaient en paix (Italiens, Français, Maltais, Grecques et autochtones'?')
La ville a connu un essor économique et une activité culturelle et sociale formidables qui et rayonnaient sur tout le pays'?'
Janvier 1957, revanchard et mégalomane, Habib Bourguiba décida de donner son propre nom à la ville: « Menzel Bourguiba » au lieu de Ferryville !
Et c'était le début de la fin'?'
Aujourd'hui la ville a l'un des taux de criminalité les plus élevés.
A une époque l'une des populations les plus séduites par le radicalisme religieux (le tristement célèbre Abu Iyadh pour ne citer que lui est originaire de cette ville'?')
Le taux de chômage est l'un des plus hauts malgré la présence d'une zone franche qui a du mal à attirer les investisseurs et est resté un espace aride.
Son industrie totalement démantelée et ses activités complètement détruites (cas de l'usine sidérurgique d'El Fouladh qui est en quasi faillite aujourd'hui !)
Et même les Allemands de la ville de Stuttgart jumelée depuis 1971 avec la municipalité de Menzel Bourguiba ont cessé tout appui à la ville tournant ainsi le dos à la corruption et au manque de sérieux des responsables locaux'?'
Donc qu'on le veuille ou pas la nostalgie de cette époque (celle de Jules Ferry) est bel est bien là et elle l'est pour de bonnes raisons !
Il cherche à faire oublier aux Tunisiens ses vraies positions.