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Saïed : on ne fait pas le ramadan conformément à la Constitution !
18/04/2022 | 18:44
1 min
Saïed : on ne fait pas le ramadan conformément à la Constitution !

 

Le président de la République, Kaïs Saïed a prononcé un discours,  lundi 18 avril 2022, lors de la cérémonie de remise de prix aux lauréats du concours national de l'apprentissage du Coran, s’apparentant davantage à un prêche du vendredi.

Le président de la République a parlé longuement de l’islam en tant que religion et de ses finalités, assurant que les Tunisiens ne pratiquent pas la prière ou le jeûne par respect au premier article de la Constitution, mais par respect à la religion de l’islam et en application de ses préceptes. Pour le président, l'Etat ne peut avoir de religion : « L’islam n’a jamais évoqué la notion d’Etat, mais il a parlé d’une Oumma », assure Kaïs Saïed.

 

Il ajoute, dans ce contexte, que l’Etat est une entité morale, une sorte de science-fiction, mise en place pour gérer les affaires des citoyens. « Cela dit, l’Etat se doit de gérer les affaires religieuses, et la religion ne peut être exploitée à des fins politiques ».

Le chef de l’Etat a poursuivi son discours en lançant des piques au mouvement islamiste, assurant que les dernières années étaient caractérisées par l’émission de plusieurs Fatwas, au nom de la religion, alors que, parfois, ces mêmes Fatwas étaient, contraires à l’Islam.

 

S.H

18/04/2022 | 18:44
1 min
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Commentaires
Houcine
Correctif
a posté le 20-04-2022 à 12:54
Pierre Clastres, la Société contre l'Etat.
Et puis c'est assurément intéressant de regarder du côté d'un écrivain délaissé, Charles Duclos, pour visiter un de ses textes sublimes, Considérations sur les m'?urs de ce siècle.
Texte paru juste après De l'esprit des lois, une somme de propos, une réflexion bien articulée et un regard vif et précis sur les hommes, leurs caractères, leurs lois, écrit dans une langue fort belle.
Il faut dire merci l'abbé.
Houcine
@Ourwa
a posté le 20-04-2022 à 12:35
Merci pour ce développement ample qui est votre réponse.
Donc, l'islam n'a pas défini l'état,
n'en a pas la notion dabs won texte fondateur, le Coran.
Pierre Clastres est l'auteur de la société sans état, un texte de réflexion sur les chefferies, les micro-societes.... du point de vue anthropologique.
Je l'ai lu depuis fort longtemps, puisqu'il date des années 70, et il figure en place dans ma bibliothèque,.
Le Coran, aussi, en Français avec une introduction de Mohamed Arkoun.
En revanche, je ne partage pas cette violence contre le Livre des musulmans, ni contre quelque livre religieux, du reste.
Pourtant, profondément laïc et agnostique, mais je n'oublie pas d'où je viens et ma quête intérieure ou spirituelle, si l'on veut, m'appartient.
Ici, dans ce forum, je participe aux débats, lorsqu'il y en a du seul point politique.
Si je suis anti-islamiste, c'est politiquement.
Les passions religieuses n'ont d'intérêt à mes yeux que philosophiquement, ou pour le dire plus exactement, dans leurs effets anthropologiques.
L'Etat est une invention encore jeune, et comme certains penseurs l'ont écrit, il est voué à disparaître pour laisser place à d'autres types d'institutions générales qu'invebterint les hommes.
Sa crise est visible. Les effets aussi, pour ce qui est de l'Etat-nation.
Avec mes compliments.
ourwa
@ Houcine
a posté le à 23:52
Vous déformez mes propos :" Donc, l'islam n'a pas défini l'état, n'en a pas la notion dabs won texte fondateur, le Coran." sic Il ne l'a pas défini, certes, comme l'a fait l'Occident depuis la Renaissance...mais il en a exprimé ce qui le fonde dans le contexte soci-historique du VIIe siècle par l'obéissance des croyants à ceux qui détiennent l'autorité d'ordonner et d'interdire; cette notion du pouvoir islamique est rien comme la reconduction de ce qu'elle était avant l'apparition de l'islam où les membres d'une tribu devaient obéissance au cheikh de la tribu, lequel avait le pouvoir de rendre justice et déclarer la guerre contre d'autres tribus... ( On croirait l'Iran islamiste 1300 avant...). L'organisation de l'Etat islamique, dès l'avènement de l'Islam, l'auto-accaparation de l'ensemble du pouvoir, tant temporel que religieux par le prohète, non pas au sein d'une tribu quelconque mais au sein de l'ensemble de la communauté des croyants (oumma) et ce selon des règles précises édictées par le coran et renforcées par les hadiths; ce qui a amené les musulmans, durant des siècles à transformer leur Etat islamique en un empire immense : conquêtes militaro-religieuses dans tout le Moyen-Orient, l'Asie, l'Afrique ( Egypte et Afrique du Nord), toute l'Espagne etc...Ces invasions militaro-religieuses, commencées durant le califat des compagnons du prophète (4), ont continué sous les califats successifs omeyade et abbasside...pour continuer encore sous le califat ottoman, aux Balkans, mais aussi en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, pourtant régions déjà islamisées, ce qui ajoute à cet empire ottoman un caractère impérialiste renforcé... On voit bien que les Arabo-musulmans semblent en quelque sorte des précurseurs des conquêtes territoriales, de population et idéologiques à large échelle et ce sous la bannière de l'Islam et à l'ombre des sabres. Les conquêtes coloniales européennes en Afrique au XIXe siècle n'ont pas agi autrement, puisq'elles ont opéré le fusil dans une main et la bible dans l'autre, laquelle bible était l'arme divine des curés et des missions religieuses dans le sillage de l'armée coloniale, missions tant catholiques que protestantes...La conquête de l'Algérie par l'Etat français sous le règne de Louis-Philippe, en 1830 en était un exemple type...
Ce qui conviendrait de savoir, c'est que le coran n'est pas un texte essentiellement spirituel, il est construit largement sur deux axes : un axe "historico-religieux" qui est une simple reprise de l'Acien testament chrétien, dit "Bible juive", suivi de la nativité de JC et de ses actes et paroles ( Evangiles ?) avec quelque retouches, un axe consacré à l'exposition des ordres, interdictions, conseils, d'essence divine, allahiques et tout y est : droit civil, commercial, administratif, gouvernement central et gouvernement des provinces islamisées, guerre et paix et l'ensemble excercé sous la focale des préceptes coraniques, donc " édictés" fonds et forme par allah, via son messager mahomet... Dans la tradition islamique, Mahomet est désigné par deux termes, même avant sa mort : "prophète" (nabi, comme les nabis hébreux) et "messager d'allah", un peu à l'instar de JC, fils de dieu; si cela ne traduisait pas une certaine prétention à surpasser les 2 religions monothéistes précédentes, l'israélite et la chrétienne, en les englobant en quelque sorte, qu'est-ce que ce serait ?...
Vous dites : " Ici, dans ce forum, je participe aux débats, lorsqu'il y en a du seul point politique. Si je suis anti-islamiste, c'est politiquement." . Ce que j'ai essayé de vous expliquer ci-dessus, c'est mon point de vue, qui est celui-ci : l'islam et essentiellement le coran et ce qui en découle ( hadiths " vrais" ou "faux", sunna ...) est beaucoup plus un vade-mecum politique et social que spirituel et qui ne laisse au libre exercice de la RAISON , raison critique et congnitive, pratiquement aucune place. Croire ou penser/raisonner, voici les deux termes antagoniques au sein du long cheminement de la réflexion humaine.
Un livre qui vaut le coup d'être lu : "Mahomet" de Maxime Rodinson; ce qu'on y découvre au fil de la lecture est introuvable dans la tradition islamique, ni dans l'exégèse du même ordre, exemple ce qu'on appelle communément " les versets sataniques", retranchés du texte coranique après la mort de Mahomet, probablement par le 3e calife, Othman, lequel a pris la décision de coucher le coran par écrit...et réorganisée la succession de ses sourates comme elles existent aujourd'hui.
Hamza Nouira
Ah bon?
a posté le 19-04-2022 à 14:06
Mais qu'est ce qu'il raconte celui-là ?

Est ce qu'il s'entend parler? Bêtises après bêtises....

Donc selon lui on refait les cours d'histoires islamiques et historiques?

l'Etat se doit de gérer les affaires religieuses, et en même temps l'islam n'a jamais évoqué la notion d'Etat...?
Les mots se contredisent dans sa propre phrase!
Pourquoi parler d'islam...? Si tu veux un pays laïque fait le et ne parle de religion. Un proverbe dit "qui cherche à se justifier s'accuse!"
En clair, il cherche à justifier ses actes.

Il a péter un boulon.

Bjahrabbi ya Twenssa fi9ou!

Mansour Lahyani
Qu'est-ce que je vous disais !
a posté le 19-04-2022 à 12:18
Ce n'est plus un Président de la République qui nous gouverne : c'est un authentique ayatollah, désormais !! "Il a prononcé un discours s'apparentant davantage à un prêche du vendredi," et quand cela ? lors d'une cérémonie relative à un concours pour l'apprentissage du Coran !!! Quand je vous disais qu'il n'y a pas une différence très sensible entre un président et un maudit gourou maudit !!!
Houcine
L'Etat
a posté le 19-04-2022 à 10:09
L'Etat, dans sa définition actuelle est l'institution mère, et répond à trois éléments essentiels: un territoire, une nation et un système politique, où type de pouvoir.
Entendu ainsi, il n'a pas d'équivalent dans la culture islamique.
On peut même dire que l'islam a édicté, pas pensé, un système de pouvoir vertical. Qui doit concerner toute la Oumma, ce qui veut dire des peuples divers, des traditions variées, et des territoires multiples et pas nécessairement unifiés politiquement, mais seulement partageant une foi. Et, encore selon qu'elle modalité la pratiquent-ils.
Le Calife ou le prince éclairé ou non, est souvent confondu dans deux fonctions, le temporel et le spirituel.
C'est, sans doute pour cela que le Coran appelle à lui obéir.
Saied dit juste lorsqu'il parle d'absence de pensée de l'Etat, et j'ajouterai l'absence ou le refus de penser le pouvoir qui peut rendre compte du retard ou mieux, la stagnation politique et culturelle du monde de l'islam.
Chez les islamistes, qui ont une lecture fondamentaliste, le pouvoir échoit aux clercs.
La Choura fait office de parlement où siègent, contre l'esprit originel, que les "éclairés".
Cette conception peut être mise au regard de la République de Platon où il est préconisé de confier le pouvoir aux philosophes.
Quant à la séparation des pouvoirs, j'en ai déjà dit un mot il y a longtemps, et proposé de parker de "combinaison des pouvoirs" de telle sorte que le pouvoir arrêté le pouvoir.... dixit Montesquieu.
'? ce propos, je reconseille le livre lumineux de louis Althusser, Montesquieu, la politique et l' Histoire.
Ce n'est pas uniquement un texte d'une grande densité intellectuelle et théorique, mais aussi fort bien écrit.


ourwa
Le scheikh KS se trompe comme un bleu...
a posté le 18-04-2022 à 21:50
" « L'islam n'a jamais évoqué la notion d'Etat, mais il a parlé d'une Oumma », assure Kaïs Saïed. " sic. C'est faux, l'islam, même le koran, a parlé de oumma pour désigner la communauté des musulmans, les croyants, mais le koran a parlé aussi d'Etat, ou de ce qui en tenait lieu il y a 1400 ans et après, dans ces termes :" Et obéissez à ceux qui parmi vous ( vous oumma) qui détiennent l'autorité ( le pouvoir)". KS devrait réviser un peu sa "culture"...
Celà dit, dans tous les pays musumans, l'Etat est toujours un Etat absolutiste, très souvent totalitaire, abject, y compris en Tunisie, laquelle, sortie de la dictature de ben ali, est tombée sous le joug d'un avatar de daech, organisation islamo-fasciste, assassine, mafieuse. Les kalifes ne s'affublaient-ils pas de ce titre ronflant " amir al-mouminines" ( commandeur des croyants)? C'était l'Etat des choses, dans tous ses états...et qui continue encore, faits et titres confondues, par exemple au Maroc où le roi prétend être l'amir des mouminines, tous comme les ultans ottomans, mais aussi le roi Hussein de Jordanie et l'autre crétin, chef de daech, trépassé sous l'effet d'une luciole ardente tombé du ciel...
Houcine
@Ourwa
a posté le à 23:02
J'ai lu le texte de Bertrand Badie sur "les deux '?tats", et recherché des sources pour m'assurer qu'il ne s'agit pas que du seul point de vue d'un politiste occidental, et je ne trouve rien.
Le concept d'Etat ne me semble pas impliqué dans celui de Oumma, et par bien des aspects, l'Etat tel que connu est d'invention occidentale.
Peut-être pourriez-vous nous indiquer le texte coranique ou Hadith qui convoqué cette notion de façon claire.
ourwa
@ Houcine
a posté le à 23:21
A propos du koran et à ce sujet précis, je me souviens de ce verset, choquant, dont j'ai donné le contenu.Mais vous le connaissez, puisque vous le signalez dans votre commentaires ( 19-04-2022 à 10:09). Si le koran vous botte à ce propos, c'est votre droit et dans ce cas, procurez-vous un koran en arabe ou traduit...et amusez-vous... car de mon point de vue, ce livre est une véritable accumulation d'horreurs...dont l'Humanité se serait bien passée.
Vous dites : " Le concept d'Etat ne me semble pas impliqué dans celui de Oumma". Exact et je n'ai pas prétendu le contraire. Quant à " l'invention du concept d'Etat tel qu'il est connu (moderne) est le fait des Occidentaux", cette affirmation semble couler de source, source historique, puisqu' elle remonte à la Renaissance, c-à-d à la suite immédiate de la fin du Moyen-Age, donc la disparition du féodalisme et l'avènement des régimes monarchiques, centraux. Mais l'Occident, chrétien, dans le contexte géopolitique de son Moyen-'?ge et même après, guerres politico-religieuses entre chrétiens et musulmans, croisades, déni culturel, philosophique, politique et moral de l'islam ( Voltaire, Montesquieu...ne pouvait accorder en aucune manière à ces barbares musulmans la capacité de consituer des Etats... Or la notion d'Etat, depuis son apparition, n'a cessé d'évoluer et ses pratiques muer, positivement ou négativement, ce qui nous amène jusqu'à aujourd'hui où l'on constate de plus en plus qu'un Etat gangrené par l'Islam ( constitution, institutions, culture d'une population inculte et arriérée...)ne peut déboucher que sur un Etat absolutiste, autoritaire et souvent totalitaire. C'est le cas de tous les Etats arabes, sans exception, y compris le Liban, pays multi-confessionnel...qui a le malheur d'être placé géografiquement là où il est. Quant à la Tunisie, elle " brille" comme une disque, une face étincelante par le fait de sa révolution de 2010-2011 et l'autre face qui brille également, mais de l"'éclat" du goudron qui exhale en plus ses " parfums caractéristiques, le régime islamo-fasciste de nahdha...
Macron a déclaré récemment à props de l'Algérie que dans ce pays il n'y avait pas de nation avant 1830 et ce n'est que grace à la colonisation française que les Algériens ont accédé au statut de nation. Il faut savoir que Macron, en faisant cette déclaration, était déjà en campagne électorale...
Je ne connais pas ce texte de Bertrand Badie sur "les deux Etats", je le chercherai.
Un anthropologue français du nom de Pierre Clastres a publié un livre en 1974 intitulé " La Société contre l'?tat : Recherches d'anthropologie politique ", où il avance l'hypothèse de sociétés sans Etat.
En 1977, le sociologue français, Jean-William Lapierre, en complément de l'ssai de Clastres, publie son " Vivre sans '?tat ? Essai sur le pouvoir politique et l'innovation sociale, Le Seuil. Bonnes lectures...si ça vous intéresse.
Bbaya
L'état de la science fiction! Ihh fhemnek!
a posté le 18-04-2022 à 21:37
No comment ! Quelqu'un de masqué vous fait un bras ... au visage hhh
Puis pourquoi il commence tout ses discours avec des sourates...
Quelqu'un qui se cherche encore!
URMAX
Sauf votre respect, Monsieur le Président de la République ...
a posté le 18-04-2022 à 21:24
Laissez tomber la religion politique.
Pronez la laicité.
C'est a dire la separation nette des activités politiques, de celles religieuses.
...
Ains, vous etes en train de vous embourber dans un vrai bourbier inextricable.
...
Laissez tomber et pronez un systeme politique moderne, plus archaique.
Citoyen pour le 25 julillet
Réponse urmax
a posté le à 21:45
Totalement d'accord ça fera une bonne chose de faite l'avenir de la Tunisie se fait dans la laïcité ça attirera les investisseur et diminuera le terrorisme, les pays ´amis' verront ça comme un développement.
Je pense même qu'il faudrait interdir le voile à l'école ( même si c'est limite ) ça purgera le pays de l'extrémisme comme aux temps de bourguiba
BBaya
HH la malaisa n'attire pas les investisseurs? Quatar? Arabie Saoudie? Dubai?...
a posté le à 22:31
loin de défendre la région pour des fins politiques, je suis absolument contre mais de voir des gens qui réfléchi encore comme vous cela ne m'étonne pas que la Tunisie est dans une grave misère!
Houcine
Malentendu ?
a posté le 18-04-2022 à 21:16
L'article est en soi un malentendu, certains des commentaires aussi.
Le Président parle de l'Etat aux sens sociologique et philosophique, ce qui, bir' entendu, ne parle pas à tout le monde.
L'Etat est une institution.
Comme toute institution c'est une fiction inventée pour faire tenir ensemble.
Jusqu'ici, c'est le forme qui paraît indépassable, si l'on en croit certains. Bien qu'il y eut déjà qui imaginèrent, et même tentèrent de penser son dépérissement.
'?tat, c'est tenir debout si l'on réfère à l'éthymologie latine.
Status, qui tient debout selon Pierre Legendre.
Ainsi, l'état en que concept est une fiction inventée par les hommes pour organiser, gérer diraient certains, ensemble et au service de l'ensemble.
C'est cela une institution.
Il faudrait que Kais Saied leur parle une langue qu'ils peuvent comprendre. Car, qu'est ce qu'on ne lui a pas reproché de recourir à une langue soutenue.
C'est risible.
Abir de Gabès
"Pour le président, l'Etat ne peut avoir de religion"
a posté le 18-04-2022 à 21:12
J'adhère et vive la patrie et la laïcité.
La religion est une affaire personnelle. L'utilisation de celle-ci à des fin fins politiques doit être scrupuleusement interdite par la constitution.

Chanchan
Un titre honteux plein d'impolitesse
a posté le 18-04-2022 à 20:28
Et puis quelle bassesse de parler comme les complexes de nahdha qui parlent de l'islam comme s'il s'agit de leur spécialité alors qui n'ont aucun savoir de ce domaine qui est de l'apanage en premier des Oulemas surtout des grandes mosquées et dont particulièrement la méprisée par nahdha les mosquées de Zitouna à Tunis et celle Okba Ibn nafâa à Kairouan, et par envie et régionalisme car les grandes mosquées ne figurent pas dans leur région (supposées originelle) pour leurs servir à leurs propagandes électorales de cirque basées sur la religion.
WOW
Est-ce l´effet du Ramadan ?
a posté le 18-04-2022 à 20:16
une crise hypoglycemique aiguë près comateuse ?
Oh La la
Et dire que les Tunisiens ne sont pas patients..
a posté le 18-04-2022 à 20:13
Ce Président KS nous crache en plein visage, il se moque de notre intelligence , de notre Constitution et de notre fierté..

Rabbi Isabbarnè Ya Touensa !
Welles
Un délire collectif
a posté le 18-04-2022 à 20:11
La religion est l'opium du peuple. Nous en avons, aujourd'hui encore, la preuve
Warrior
l'état .... sorte de sciences fiction !! pwahaha .....
a posté le 18-04-2022 à 19:20
il faut lui rappeler qu'il a été élu président , et prèté serment de respecter la constitution, pas pour remplacer un dictateur.
cette constitution précise que "l'état sa langue arabe, et sa religion islam, cet article ne peut ètre abrogé"
où voit-il de la science fiction ?
AN
Sans commentaire !
a posté le 18-04-2022 à 18:57
-.. ? !!!