Le conseiller politique du mouvement Ennahdha, Riadh Chaibi, a assuré, mercredi 31 mai 2023, que la dictature qu’exerce le pouvoir en place n’avait fait que pousser les forces nationales à se rapprocher les unes des autres.
Notant qu’il n’y pas de divergences entre le Front de salut national et les autres forces politiques en termes de positions et de lectures de la situation politique du pays, il a affirmé que l’ensemble des acteurs politiques étaient d’accord sur le fait que ce qu’il s’est passé dans le pays n’était autre qu’un putsch, un retour en arrière en termes d’acquis démocratiques.
Riadh Chaibi a ajouté que le dialogue national serait le meilleur moyen de retourner sur la voie de la démocratie soulignant que l’absence de réactivité du côté du pouvoir en place n’a laissé d’autres choix aux acteurs politiques que de faire pression pour aller vers l’organisation d’une élection présidentielle anticipée.
N.J.
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IL en est de meme dans grand nombre de pays, dont notre ex-colonisateur.
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Alors, apprend a te respecter :
Au lieu de dire des aneries et de devenir la risée du monde, commences-donc - comme dit le proverbe - par "tourner sa langue sept fois dans la bouche avant de parler".
Drôle de logique.
C'est comme les démocrates qui ont cet article de foi en guise de viatique et acceptent seulement celui qui partage leur foi.
Chacun voit, en réalité, que leur créance repose sur un credo sans cesse repris.
Les fais, les événements du monde montrent à l'envi que cet étendard est un miroir ayx alouettes. Comme disait Coluche, grand anthropologue amateur dont la pensée est plus abordable qu'un Locke, Spinoza et d'autres, disait des routiers qu'ils étaient sympa, mais entre eux.
La CPI peut en fournir la preuve, elle qui ne s'aventura point à émettre un mandat d'arrêt contre Bush, Obama, Sarkozy, mais l'a fait pour Poutine.
Non point que Poutine mériterait plus d'égard que d'aucuns revebduquent, au moins devrait-il bénéficier d'autant que ces personnages coupables de crimes contre les nations.
Donc, j'y reviens, je ne crois pas un mot de leurs fables, et le mot démocratie est entre l'êtes mains une arme pour obtenir reddition de qui contrarie letrs programmes.
Une démocratie où chacun vaut n'importe qui, et tout pays serait traité sur le même pied d'égalité, et sous condioton de contrôle de cette égalité, cela me convient.
Et je me suis longtemps battu pour cela, à l'échelle qui était la mienne.
Alors, démocrate, oui.
Mais, pas avec n'importe qui.
Regardons ce qui a lieu.
Délibérons sur réquisit des faits.
Sinon, ce qui se voudrait un concept, se révèle une notion vide. Migrante.
Elle n'a que sa valeur d'usage.
Et dieu, s'il est là et qu'il entend, qu'elle sert telle une arme.
Alors, la démocratie, c'est quand les gens délibèrent eux-mêmes de toutes choses les concernant.
Déléguer, oui, par nécessité.
Mais, contrôler le mandataire.
Dialoguer, oui, mais avec qui partage cette volonté de dialogue.
Alors, l'islamiste, vous l'avez montre, nous avons la preuve que vous n'êtes pas digne que l'on dépose en vous la confiance préalable.
Après avoir vu et vécu l'extraordinaire bond en avant dont vous nous aviez fait profiter, franchement, j'avoue que je préfère encore dix retours en arrière.
éttfouh 3alikom, yali mé té7ch'mouch. Ya kilétte él a7yé !!!
Ce n'est que le début
él kolkom, sans exception, vous allez tit'tkarbssou., bandes de criminels² sans foi ni loi.
Sachant que le président actuel à était mis en place par votre parti (Le célèbre oiseau rare d'ennahdha de 2019).