
Le bloc parlementaire “Pour que le peuple triomphe” a appelé, à travers un communiqué rendu public, vendredi 17 mars 2023, à la réunion d’une plénière extraordinaire d’urgence pour répondre au Parlement européen, pour défendre la souveraineté de notre pays et l'indépendance de la décision nationale.
Le bloc parlementaire “Pour que le peuple triomphe” a considéré que ces principes constituent la base de l'établissement d'une démocratie saine et du changement de la voie de développement économique au profit de tous les citoyens.
Il a fait part de son rejet catégorique de la résolution du Parlement européen sur la situation interne en Tunisie, considérant qu’il s’agit d’une ingérence flagrante dans les affaires internes du pays. Le bloc a affirmé que la bataille de la souveraineté est l'essence des luttes de libération nationale, et l'essence de la lutte démocratique et sociale.
Rappelons que la résolution sur la Tunisie sous l’intitulé "Attaques récentes contre la liberté d'expression et d'association et les syndicats, notamment le cas du journaliste Noureddine Boutar" a été adoptée par 496 voix pour, 28 contre et 13 abstentions, par le Parlement européen lors de la plénière tenue, jeudi 16 mars 2023.
Les députés européens exhortent les autorités tunisiennes à libérer immédiatement Noureddine Boutar, directeur de la plus grande station de radio indépendante de Tunisie, qui a été arrêté le mois dernier par des unités antiterroristes pour des motifs politiques et des allégations infondées.
Le Parlement demande instamment aux autorités de libérer toutes les personnes détenues arbitrairement, y compris les journalistes, les juges, les avocats, les militants politiques et les syndicalistes, et de respecter la liberté d’expression et d’association et les droits des travailleurs, conformément à la Constitution tunisienne et aux traités internationaux.
S.H
Moi je vous demande d'aller encore plus loin. Couper radicalement les cordes qui nous lient avec le reste du monde, cesser la mendicité, et vivez en autarcie pauvres bougres ?
La Tunisie est un pays indépendant et souverain et n'acceptera jamais qu'on se mêle de sa politique intérieure et extérieure....
- il faut couper les liens avec les américains
- il faut les ignorer
- il faut réagir
- il faut faire face à cette ingérence
- ces temps là c'est fini
et pourquoi pas arrêter les exportations vers ces pays, et cesser de leur faire des dons ou de leur prêter de l'argent;
Le peuple Tunisien est le plus courageux de toute la planète; composé de valeureux , honorables et dignes guerriers.
Pourvu que nos dirigeants soient sages et ne déclenchent pas les hostilités envers ces puissances étrangères qui viennent mettre leur nez partout. Nos missiles à propulsion à base de flatulence bio risquent de provoquer d'énormes dégâts chez l'ennemi.
"Même s'il porte un précieux harnais, l'âne ne se transforme pas en cheval de course".
Socrate
« Qatargate » : Luca Visentini, patron de la Confédération syndicale internationale, démis de ses fonctions
Trois mois après son interpellation dans le cadre de l'enquête sur le « Qatargate » au Parlement européen, Luca Visentini a été démis samedi de ses fonctions de secrétaire général de la Confédération syndicale internationale (CSI).
Le syndicaliste italien avait été interpellé en décembre dans le cadre de l'enquête belge sur des soupçons de corruption d'eurodéputés impliquant le Qatar et le Maroc, puis libéré sous conditions au terme de deux jours de garde à vue. Il a reconnu, à la fin de décembre, avoir reçu « un don de moins de 50 000 euros » de la part de l'ONG Fight Impunity, dirigée par l'ancien eurodéputé italien Pier Antonio Panzeri, considéré comme l'un des suspects-clés du dossier. Luca Visentini avait alors assuré qu'il s'agissait du remboursement de certains frais de sa campagne pour prendre la tête de la CSI.
Et si on fouille dans les dossiers des membres du bureau executif de l'UGTT.
Le 9 décembre 2022, un scandale de corruption, inédit par son ampleur et impliquant notamment le Maroc et le Qatar, était révélé. Plusieurs eurodéputés figurent notamment parmi les accusés. Comment ces événements ont-ils pu se produire ? Quelles sont les règles en place pour lutter contre un tel phénomène et comment peut-on les améliorer ?
Des perquisitions, d'importantes sommes d'argent en cash et des représentants politiques derrière les barreaux. Le 9 décembre 2022, ces scènes dignes d'un film hollywoodien faisaient les gros titres partout en Europe sous le nom de 'Qatargate'?'. Révélée par les médias belges Le Soir et Knack, cette large affaire de corruption et d'ingérence par des Etats étrangers a éclaboussé le Parlement européen, à deux jours de sa dernière séance plénière de l'année à Strasbourg.
Si l'enquête judiciaire est en cours pour tenter de faire la lumière sur cet épisode, le sujet continue d'alimenter les discussions des eurodéputés. Proposée par la présidente de l'institution, une réforme des règles de transparence est à l'étude.
Que s'est-il passé le 9 décembre 2022 ?
Si le scandale n'a éclaté que récemment, les faits remontent à 2021. Les services de renseignement belges enquêtent alors sur des soupçons de corruption au sein du Parlement européen de la part d'agents marocains. En creusant, ils découvrent également que le Qatar est impliqué.
Plusieurs élus et des personnes de leurs entourages respectifs sont ainsi accusés d'avoir reçu de l'argent de ces deux pays pour tenter d'influencer certaines décisions européennes en leur faveur.
Le 9 décembre, l'eurodéputée grecque Eva Kaïlí, alors vice-présidente du Parlement européen, est interpellée à son domicile bruxellois avec 150 000 euros cachés en petites coupures dans des bagages à main et des sacs de voyage. Son père, qu'elle a averti quelques instants plus tôt, est intercepté avec près de 500 000 euros alors qu'il tente de prendre la fuite. En tout, 1,5 million d'euros sont saisis ce jour-là par la police fédérale belge à l'occasion de 16 perquisitions.
Cinq personnes sont alors placées en détention. Depuis, d'autres interpellations ont eu lieu en Belgique ou encore en Italie. L'enquête est dirigée par le juge belge Michel Claise, spécialiste de la criminalité financière.
(Extrait d'un article paru sur le site toutel'europe.eu mis à jour le 15-02-2023).
Drôle de conception de la souveraineté. Aller au plus offrant? L'impérialisme chinois et russe serait administré avec vaseline ?
Sans moi, parce que la souveraineté ce n'est pas tfeguess au grès du vent. Cet esprit de vassal est tout sauf souvrainiste. En plus, c'est l'Algérie qui va nous introduire chez nos nouveaux maquereau.
C'est triste.
Oyez, oyez, Salim a validé.
La date a fixé.
L'Europe va voir de quoi se chauffe Salim.
Planquez vos fesses les Européens, à vos bunkers !
Salim attaque.
Non !
Le Parlement européen peut en effet s'exprimer sur la situation des libertés et des droits de l'homme en Tunisie. L'accord commercial entre notre pays et l'Union européenne, signé et ratifié sous Ben Ali stipule que cet accord comporte un volet libertés et droits de l'homme, ce qui donne aux Européens le droit d'émettre un avis sur la situation des droits de l'homme et des libertés en Tunisie, ce à quoi notre pays a consenti par un votre de nos parlementaires en faveur de ce droit d'expression des Européens, qui, de ce fait, ne s'ingère nullement dans la souveraineté de la Tunisie.
Croyez-vous que ces ânes bâtés
s'endorment sur les traités internationaux et se réveillent sur leur loi de ratification.
Pauvres tigres de papier, gardiens d'un temple en ruines.