Tant qu'on a pas activé l'open Sky en Tunisie (pour protéger Tunisair), on sera toujours dépendants des tours opérateurs parce que les clients préfèrent toujours voyager avec les TO en package et profitent de prix de billets implicitement largement plus bas que les compagnies régulières. En Europe, les compagnies low cost représentent presque 40% du marché et sont en croissance continue depuis des années.
Rien d'exceptionnel au report des réservations faites au nom de Thomas Cook puisqu'il y a en Europe une assurance qui s'appelle ATOL qui garantie qui les fonds avancés par les clients dans le cadre d'un voyage en package (contrairement à un vol sec) leur seront restitué, et j'imagine qu'en octobre il leur sera très difficile d'envisager une autre destination autre que la Tunisie pour le même prix.

Bonne continuation.

Si le juif tu est l'étymologie du mot arnaque et zigomar par définition.

On reproche le soit disant responsable qui t'as attribué le ministère de tourisme.

Il fallait te designer ministre de religion buddha. OK c clair et limpides passons a autres choses.

Bravo Réré !!!
Quelle compétence dans le mensonge et le baratin !!!

La DG est la plus nullarde de tous ceux qui ont été la tête de l ONTT ,un choix de YC qui voulait avoir une femme sans se soucier de la compétence et de la qualité de la personne encore moins prendre en considération les lettres à lui adressées par les inspecteurs du tourisme .
D'ailleurs tout le monde la déteste pour sa méchanceté et son incompétence ,elle voyage ,pourquoi pas ,tant que c est gratuit et au frais de la princesse ,il y eu même des dossiers chez El kotb contre elle pour des milaffette El Fassad Rene c est lui le vrai directeur de l ONTT et il,a fait vraiment de son mieux .

Les To peuvent récupérer la clientèle mais le gros problème reste le transport aérien.c est exactement le probleme capital de l industrie touristique en Tunisie...la logistique est presque absente....Encore le probleme de la mauvaise gestion des representations de Tunis air en Europe...essayer de lire ce qu ecrivent les clients de Tunis air ....c est aberrant,incroyable..c est a se demander s il y a un capitaine

Mesquina Tounes ,Mesquine le tourisme....Je pleure mon pays.Pourtant nous avons des compétences.Il faut un changement et une révolution au ministère du tourisme.

Mon cher ami tout à fait d'accord avec toi .Dans un autre pays là dg Amel qui se dit la tête pensante du ministère et de l'ontt doit démissionner ou être licencié sur le champs.Je pense qu'elle a induit en erreur René.Ce dernier malheureusement l'écoute ,jusqu'au jour il se rendra compte mais ce sera trop tard...

L'incompetence de AH et la morosité régnait sur ce stand .Comme l'ont bien indiqué mes amis hôteliers,la dg de l'ontt n'a pas joué son rôle en discutant avec les professionnels,elle n'a fait que de la figuration heureusement que René était présent le 2 eme jour ,toujours souriant dynamique et compétent.Il faut que Amel parte.

La situation de Thomas Cook était connue depuis l'été 2018 et les trois avertissements sur les résultats (profit warning) successifs qu'ils ont annoncé. Le programme de restructuration annoncé par le groupe date de juillet dernier et qui prévoyait une recapitalisation étant donné le manque de liquidité; et ceux qui s'intéressant en tant que soit peu à l'actualité économique mondiale auront surement vu passer les articles de journaux plus alarmistes les uns que les autres tout au long de l'été. Malheureusement c'est des choses qui arrivent et la faillite fait partie de la vie d'une entreprise sachant que le gouvernement britannique a refusé de sauver Thomas Cook (il avaient besoin d'une rallonge de 200m£) par peur de créer un précédent dans une période difficile (Brexit). Maintenant, je pense que le ministère du tourisme tunisien est responsable sur au moins un chose, c'est sa méconnaissance de la situation financière de ses partenaires, ils auraient du demander des garanties en amont de la saison estivale, ils auraient pu les avoir étant donné que la marché tunisien revient en force dans les destinations loisir du pourtour méditerranéen (l'Espagne étant devenu trop cher).
Enfin, il faut tirer les enseignements de cet échec. cette déconvenue devrait faire pousser le ministère à réfléchir davantage à diversifier ses canaux de distribution, les tours opérateurs perdant progressivement du terrain au profit du segment indépendant (en ligne), une réflexion doit se mettre en oeuvre pour pouvoir commercialiser notre produit d'une manière direct (créer un site tunisien à Booking.com, encourager les réservation en direct avec les programme de fidélité, renforcer une l'offre à valeur ajoutée ...)