
La présidente de l’Union nationale de la Femme tunisienne (UNFT), Radhia Jerbi est intervenue, ce lundi 4 décembre 2023, dans la matinale de Jawhara FM.
Alors qu’elle avait affirmé qu’elle ne briguerait pas un nouveau mandat, Radhia Jerbi a confié s’être portée candidate à la demande des militantes de l’Union.
« Cette période est particulièrement délicate pour l’UNFT et il reste des choses à faire pour boucler les réformes qui sont énormes et qui nous ont épuisées. Je me disais qu’il fallait un nouveau souffle mais il est vrai que nous avons encore du travail à accomplir et cela nécessite que je poursuive la mission, c’est ma responsabilité, de maintenir la cohérence de l’Union pour travailler dans les meilleures conditions » a-t-elle déclaré, au micro de Hatem Ben Amara.
Radhia Jerbi a été reconduite à la tête de l’Union nationale de la Femme tunisienne (UNFT), à l’issue du congrès qui s'est tenu depuis samedi 2 décembre 2023. Elle a été élue à l’unanimité par les membres de la commission centrale, étant donné qu’elle était l’unique candidate à ce poste.
Notons que la première journée du congrès a été marquée par certaines tensions à la suite de la protestion de huit membres du bureau exécutif de l’organisation qui appelaient à l’annulation des travaux du congrès, accusant la présidente de l’UNFT de mauvaise gestion.
M.B.Z

Invitée de La Matinale de Shems Fm du vendredi 24 mars 2023, Radhia Jerbi a déclaré : «il est temps qu'une autre candidate prenne le relais et que sa décision de ne pas se présenter à la présidence de l'UNFT, était définitive».
Elle a affirmé que l'Union tiendra sa conférence après le mois de Ramadan dernier. Après, elle reprendra son métier d'avocate, dit-elle par ses mensonges prémédités d'une caméléonne sans foi ni loi. Nous sommes déjà en préparation pour le prochain Ramadan. Il n'y a eu ni de respect pour ses promesses de tenir la conférence après le mois de Ramadan, ni de ne pas se présenter à la présidence de l'UNFT. Il n'y a eu qu'un gain de temps pour préparer ses intrigues et ses manipulations, s'en étant aplatie aux pieds du pouvoir actuel du président Kaïs Saïed, afin de s'ajouter à ses pions de la sorte de Brahim Bouderbèla & Co.
Où est son Union nationale des femmes tunisienne, pour soutenir la première femme prisonnière politique sous le régime du président Kaïs Saïed, la militante du Front de salut national, égérie de l'opposition, Chaïma Issa, malmenée pour «complot contre la sûreté de l'Etat», par un régime qui a lui-même «comploté contre la sûreté de l'Etat», par son coup d'Etat du 25 juillet 2021!!!
Allah yostir Tounes wè Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
Tabaraka Allah 3linè Wè Khamsa Wilkhmiss 3linè, on ne peut plus démocratique !


