| 06-11-2018 21:59
J'ai appris que les gendarmes tunisiens sont en état d'urgence avec leurs radars mobiles, là où personne ne les attend ni que la limitation de vitesse qu'ils font semblant d'imposer, ne soit d'une utilité pour quiconque. Pas d'agglomérations, pas d'êtres humains, pas d'animaux, même pas des chiens errants sur la route ou presque autoroute entre Tunis et Zaghouan ou entre Belli et Nabeul. Mais des gendarmes de la Garde nationale, bien cachés en «état d'urgence» juste au tournant, pour encaisser par toutes les ruses à leur portée.
Tout le monde parle de la même malhonnêteté jadis utilisée sous les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali. Car, utiliser le radar mobile dans la seule idée de piéger les automobilistes pour encaisser les 60,- dinars pour la caisse de l'?tat et pour hausser son propre salaire par la prime y afférente, sans qu'il n'y ait la moindre nécessité pour la circulation elle-même ni pour la population elle-même, cela se transforme en tricherie et en escroquerie flagrantes au nom de la loi et de la légalité.
Il ne manque encore à nos chers gendarmes de la Garde nationale, que de placer des plaques mobiles comme dans le film de Louis de Funès, pour piéger les automobilistes avec leurs radars mobiles en forme d'armes dans la main. Une fois le «travail» terminé, ils les reprennent avec eux. C'est mieux que de placer une plaque d'une vitesse limitée à 9O km/h, puis juste après une autre plaque d'une vitesse limitée à 70 km/h dans les mêmes conditions urbaines et panoramiques, puis tout juste après, un gendarme avec son radar à la main, qui arrête les voitures sans la moindre preuve. Il laisse ses auxiliaires remplir les contraventions devant des automobilistes bouches bées. Puis se frotter les mains pour la prime qu'ils vont encaisser de l'?tat.
Il faut rappeler qu'une prime est réservée aux gendarmes suivant le sac d'argent à rapporter.
Si c'est cela l'équité de l'?tat et la «Heybèt Eddawla», alors au revoir et merci.
Tout le monde parle de la même malhonnêteté jadis utilisée sous les deux dictateurs déchus Bourguiba et Ben Ali. Car, utiliser le radar mobile dans la seule idée de piéger les automobilistes pour encaisser les 60,- dinars pour la caisse de l'?tat et pour hausser son propre salaire par la prime y afférente, sans qu'il n'y ait la moindre nécessité pour la circulation elle-même ni pour la population elle-même, cela se transforme en tricherie et en escroquerie flagrantes au nom de la loi et de la légalité.
Il ne manque encore à nos chers gendarmes de la Garde nationale, que de placer des plaques mobiles comme dans le film de Louis de Funès, pour piéger les automobilistes avec leurs radars mobiles en forme d'armes dans la main. Une fois le «travail» terminé, ils les reprennent avec eux. C'est mieux que de placer une plaque d'une vitesse limitée à 9O km/h, puis juste après une autre plaque d'une vitesse limitée à 70 km/h dans les mêmes conditions urbaines et panoramiques, puis tout juste après, un gendarme avec son radar à la main, qui arrête les voitures sans la moindre preuve. Il laisse ses auxiliaires remplir les contraventions devant des automobilistes bouches bées. Puis se frotter les mains pour la prime qu'ils vont encaisser de l'?tat.
Il faut rappeler qu'une prime est réservée aux gendarmes suivant le sac d'argent à rapporter.
Si c'est cela l'équité de l'?tat et la «Heybèt Eddawla», alors au revoir et merci.