
Invité de Wassim Ben Larbi dans l’émission Expresso sur Express FM, il a expliqué que le secteur était en difficulté depuis la pandémie de Covid-19. La crise s’est amplifiée en raison des perturbations d’activité dues essentiellement aux pénuries successives de café, de sucre et de thé…
M. Sammari a ajouté, dans ce contexte, que plusieurs cafés avaient fait faillite et mis la clé sous le paillasson de par leur incapacité à assurer un flux d’activité régulier dans ce contexte de pénurie des produits de première nécessité.
Il a ajouté, dans ce sens, que l’Office du commerce importait des quantités insuffisantes de café ce qui impacte l’activité des torréfacteurs et celle des propriétaires de café. Il a noté que l’État devrait importer plus ou autoriser les torréfacteurs et propriétaires à importer eux-mêmes leurs besoins en café.
M. Sammari a indiqué que cela était, aussi, valable pour le thé et le sucre indisponible sur le marché en quantités suffisantes. Il a dénoncé, par la même occasion, les coupures d’eau qui obligent les propriétaires de café à fermer tôt.
N.J.

Je préfère manquer de café que de le payer plus cher.
Désolé pour les cafés.
Il est clair que la stratégie de KS par rapport à la loi de finance qui prévoyait une baisse de la compensation est de limiter les importations. Un tour de passe passe à moindre frais politiques.