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Présidentielle : pour Refka Mbarki, le dernier mot revient au tribunal administratif
29/08/2024 | 16:01
1 min
Présidentielle : pour Refka Mbarki, le dernier mot revient au tribunal administratif

 

La présidente de l'Union des magistrats administratifs, Refka Mbarki a affirmé, dans une publication Facebook du 29 août 2024, que le dernier mot revenait au tribunal administratif. Elle a estimé qu'avancer le contraire était absurde.

 

 

Il s'agit là d'une des nombreuses réactions à la déclaration du président de l'Instance supérieure indépendante pour les élections, Farouk Bouasker. Ce dernier a affirmé, dans une déclaration médiatique, que l'Isie prendra en considération les jugements prononcés par l'assemblée générale du tribunal administratif, mais qu'elle se réservait le droit d'émettre une décision finale liée à la publication de la liste finale des candidats à la présidentielle du 6 octobre 2024. Une déclaration accordée après que le tribunal administratif n'a réintégré Abdellatif Mekki et Mondher Zenaidi à la liste des candidats.

 

S.G

29/08/2024 | 16:01
1 min
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Commentaires
Houcine
Principe et casuistique.
a posté le 29-08-2024 à 18:27
La justice doit arbitrer et son rôle sans quoi il n'y a plus rien qui fasse médiation dans une société.
Réquisit: y croire et lui concéder ou bien lui reconnaître légitimité pour
ce faire.
Le constat est à l'opposé, puisque notre lisons régulièrement des mises en cause et de sa probité et son indépendance.
Par rapport au pouvoir, certes.
Mais, on peut y ajouter ses liens avec certaines parties à l'origine de nominations et promotions dont on peut être assuré qu'elles ne furent oas sans contrepartie.....
Ainsi, le collège de juges qui eut à délibérer sur les recours peut être regardé comme traversé par ce qu'il n'est pas osé de qualifier de conflits d'intérêts s'agissant de décider des cas de candidats issus ou d'obédiences partagées.
Dès lors, toute pause de position souffre de ces tares.
Pour les juges comme pour qui commente ou analyse.
Voilà pourquoi je reste dubitatif quant à ces titres et posts très affirmatifs.
Pour le résumer dans le concept, nulle institution.ne peut exister, déployer ses effets, qu'à raison de ce qu'on y croit et la fait vivre.
La justice de ce pays souffre de ne point créer du croire, de n'être pas crédible.
Bon vent à tout candidat.



Ben Mansour
C'est le non sens
a posté le 29-08-2024 à 17:13
A ma connaissance , c'est l'ISIE même qui a appelé les candidats à recourir au TA
Et si , l'ISIE ne tient pas compte du jugement du TA, à quoi pourraient servir alors ces recours ?
Pourquoi ces pertes du temps pour se décider de la liste définitive ?
Apparemment, c'est la confusion qui règne si l'ISIE se permettra d'interpréter les arguments du TA
SALIM
NON ET MILLE NON ET LA PREUVE
a posté le 29-08-2024 à 17:08
La justice judiciaire pourrait arreter et ouvrir une enquete JUDICIAIRE contre un (e) juge administratif (ve) .Le contraire ne peut pas survenir.

TTABAKHA W FEMMEHA SAKET!!!! je ne pense pas que ce statut provient d'une juge contre une instance CONSTITUTIONNELLE composée de juges et d'avocats. Ce staut n' a aucune une valeur sauf qu'il pourra etre le départ d'une plainte de l'ISIE et vous allez voir si FOMMHA SAKET ou non. Car le porte parole du T.A a bien précisé dans un interview à Mosaique que l'ISIE n'est pas obligée d'appliquer les décisions du T.A .ET SI l'ISIE n'applique pas les décisions du TA , cette non application n'est pas considérée comme abus de pouvoir ou UNE FAUTE GRAVE , car la loi ELECTORALE a sa spécificité.

Il n'est pas écarté que cette juge soit convoquée ou meme REVOQUée.
Voici le nouveau langage W FOMMHA SAKET !!!!!!!
Lucky Luke
On verra bien
a posté le à 09:58
si votre régime et votre ISIE sont suicidaires !

Car s'attaquer à des citoyens ou même à des personnalités publiques est une chose, là c'est d'un autre calibre qu'on parle, et les temps ont bien changés, on est d'ores et déjà entré dans une phase délicate, des temps turbulents où on commence à sentir et la vulnérabilité et la nervosité d'un système à l'agonie et qui pour combattre une éventuelle injustice n'hésitait pas à usiter lui-même de l'injustice !
Le mal ne pourra jamais être combattu par le mal.
La maxime dit : bonum ex malo non fit !

Alors il n'est pas écarté également que tu feras bientôt le grand écart !
Anny
Non
a posté le 29-08-2024 à 16:11
Non,le dernier mot reviendra comme toujours,à celui qui en l'absence d'une cour constitutionnelle,a mis un char devant l'ARP au Bardo en parlant de khatar dèhém et en interprétant à sa guise l'article 80 du Destour de 2014;
Depuis et comme l'a déjà dit le constitutionnaliste Ben Achour,c'est la fuite en avant,lè roujou ilèl ouara,bèl fuite en avant,Nous Tunisiens on n'a pas fini d'en baver;
Hèdhèkè hal blèd qui a donné sa confiance en des khadharas,déguisés en pseudo politiciens qui n'ont pas su voir la chose venir,de 2011 à 2021.