
A l’approche de la présidentielle du 6 octobre et dans un contexte politique tendu, un article de la constitution de 2022 commence à être cité sur les réseaux sociaux.
Cette ambiance, amplifiée par les récentes déclarations du président de la République, qui, à de nombreuses reprises, a évoqué des complots ourdis contre l’État, à l’étranger mais aussi à l’intérieur même du pays, qui a aussi, en procédant à un remaniement profond parlé de responsables « contenus » et de récent « conflit entre un nouveau régime constitutionnel et un système corrompu », commence à susciter des interrogations.
Beaucoup d’observateurs se tournent vers l’article 90 de la constitution qui dispose ce qui suit : « Si les élections ne peuvent avoir lieu à la date prévue, en raison d’une guerre ou d’un danger imminent, le mandat présidentiel est prorogé par une loi, jusqu’à ce que les causes qui ont engendré le report des élections cessent d’exister ».
Le « danger imminent » avait été à l’origine des mesures du 25-Juillet.
M.B.Z
les conditions ainsi que le climat est totalement différent de celle de 25 juillet
Il faut faire appel aux esprits sains parmi les grandes personnalités tunisiennes, afin de sauver ce parcours démocratique de la Tunisie, devenu un jeu d'enfants chez les populistes à deux sous troués.
Il y va de toute notre Patrie à tous les Tunisiens.
Allah yostir Tounes.
Un geste pareil sera dans tous les cas conséquent avec la politique chaotique que ce type mène depuis qu'il s'est accaparé de tous les pouvoirs.
Tous veulent le pouvoir, assoiffé avec une vengeance éclatante dans le comportement. C'est extrêmement plausible comme prévisions
La démocratie, elle est toujours aux mains des plus malins, aux plus forts dans les mensonges.
Israël fait sa loi en éradiquant les palestiniens.
Qui bouge'?'?
Hélas, pour le cas de notre cher pays, trop de traitre, trop d'arrivistes, trop d'égoïste, trop de savants des blablas.