Le président de la République a opéré, aujourd'hui 25 août 2024, un remaniement ministériel. Il a, à cette occasion, prononcé un discours durant lequel il a salué « l'engagement et le patriotisme des nouveaux ministres qui permettront de continuer la guerre de libération et de lutter contre les corrompus du passé et ceux les ayant rejoint dans les réseaux criminels ».
Le chef de l'État a considéré que ceux critiquant l'annonce d'un remaniement, à quelques semaines de la présidentielle du 6 octobre, devaient distinguer entre cet événement et la sûreté de l'État et son bon fonctionnement.
Kaïs Saïed a indiqué que certains perturbaient le bon fonctionnement des institutions de l'État de façon quotidienne dans le but de semer le chaos en lien avec cette élection.
« L'État continuera à exister et sa sécurité nationale passera avant toute autre considération... Si l'intérêt supérieur du pays nécessitait un remaniement même après l'ouverture des centres de votes, ceci aurait eu lieu sans aucune hésitation... Les Tunisiens et les Tunisiennes restent attachés à leur État, fiers de leur pays et défendant son indépendance et sa souveraineté... Des responsables ont été choisis au niveau central et régional en raison de leur engagement d'œuvrer pour la concrétisation des objectifs du peuple tunisien et ses revendications... Bien évidemment, ceci ne s'applique pas pour tout le monde... Depuis quelques semaines, un système a été lancé en coulisses afin de contenir un grand nombre d'entre eux, et il a réussi dans cette tâche méprisable... La situation s'est transformée, depuis quelque temps, en un conflit entre un nouveau régime constitutionnel et un système corrompu dont les acteurs continuent à espérer un retour en arrière », a-t-il ajouté.
Le président de la République a considéré que ces comploteurs, œuvrant dans l'ombre, n'ont pas accepté le fait que la Tunisie avait entamé une nouvelle phase dans son histoire à travers une nouvelle constitution adoptée par le peuple suite au référendum tenu conformément à la date fixée.
Il a indiqué que quelques responsables ont cru pouvoir exercer leurs fonctions de la même façon que celle d'avant l'adoption de la nouvelle constitution. Ceci a provoqué la discorde au sein des institutions de l'État.
Kaïs Saïed a expliqué que ses responsabilités l'obligeaient à y mettre fin. Il a expliqué que la fonction exécutive était exercée par le président et que les ministres devaient l'appuyer et ne pas opter pour des mesures en dehors des choix fixés par ce dernier. Il a évoqué, en guise d'exemple de la défaillance de l'État, les responsables n'assumant pas leurs responsabilités et ayant choisi de fermer les portes aux nez des citoyens. Il a assuré que les exemples ne manquaient pas et que des dizaines de plaintes de la Tunisie et de l’étranger parvenaient à la présidence de la République.
« Malheureusement, lorsque certains ont accédé au pouvoir, ils se sont enorgueillis et ont placé des portes et des verrous devant les citoyens... Il m'est arrivé à de nombreuses reprises, lorsque l'eau était coupée, d'intervenir la nuit et à l'aube en coopération avec plusieurs autorités régionales et locales pour les alerter. Ces responsables, s'ils n'étaient pas en train de dormir, nous répondraient qu'ils n'étaient pas au courant... En me rendant à l'un des gouvernorats, l'un des responsables régionaux ne connaissait pas les délégations relevant de sa juridiction... L'un des responsables locaux ne connaissait pas le village dans lequel je m'étais rendu... Il n'est pas digne de cette responsabilité... Il y a des avertissements et des mises en garde, mais la réponse classique est l'annonce de la création d'une commission... Celle-ci opérera dans le but de créer une autre commission... Alors que les citoyens souffrent et subissent la misère... Les fonds sont mobilisés et les projets manquent... Le remaniement est nécessaire », a-t-il poursuivi.
S.G.
Vous l'avez dit ici à ma place.
La Tunisie ne peut plus souffrir de ce type.
Mettez n'importe qui à sa place, ça ne sera pas aussi catastrophique.
Merci Ennadha...Tu as détruit le pays depuis 1982, ensuite en 2011 ensuitte en 2019 en élisant ce type.
Tu n as aucune objectivité, on peut reconnaitre que KS a fait degager les voleur d ennahda tout en etant insatisfait de sa politique mediocre en economie sand pour autant se faire insulter de traitre . Tu n es qu un leche botte collabo de la mediocrité comme les leches bottes de ben ali
Le financier est un métier honorable, tu ne sera jamais à la hauteur de l'exercer
Encore un nouveau pseudo à châtré
Le financier = Abel châtré
Un traître restera toujours un traître, il aura toujours une double personnalité'
Il ne faut jamais oublier que je suis assil iRRiF luid ETTABOUNA ahlou erroujoula ahlou ELWATTANiA ahlou elkaram tu ne pourras jamais m'intimider pour que j'arrête d'écrire, je suis luid elhafyana, je suis coriace et têtu
Salut mon caniche, il ne faut jamais mélanger les torchons avec les serviettes
Des financiers tunisien il y en a des milliers tunisie et a travers le monde .
Va falloir que t ailles prendre tes pillules
BONNE journée
Merci beaucoup pour ton niveau trop bas, edahrou taouil et entre nous, j'adore que les traîtres du peuple tunisien lisent mes commentaires, personnellement leurs commentaires je laisse les lectrices et lecteurs faire leurs propres opinions, tout simplement je peux leur dire avec la queue d'un chien on fera jamais une canne
banana republic with so many bhayem and one bghal
Triste spectacle.
Des complots contre un décideur pareil ne sont pas nécessaires, il sait se debrouiller tout seul.
Indigne d'un président qui devrait rassembler , mieux orienter et sécuriser en essayant de trouver des solutions réelles aux immenses problémes que vit un pays en souffrance .
Ce type est en train de détruire le pays par avidité.
Il n'y a pas si loin, des leaders ou des compétences, au choix, ont viré de bord au moindre changement de direction du vent.
Ce sont les mêmes, leurs épigones n'en manquent pas davantage, qui ont rejoint le camp de qui avait la main, jetant par-dessus bord les professions de foi, convictions d'affichage ou promesses sans lendemain, jusqu'à devenir les meilleurs vecteurs de la nouvelle donne.
On a vu défiler chefs de parti, ou de gouvernement, tous aussi fiers et s'affichant compétents, ce vocable qui finit par ne plus rien signifier sinon son contraire, et nous avons vécu, vu ce qu'ils ont fait du pays, ce qu'ils ont fait à ses populations.
Bien entendu, rappeler cela paraît saugrenu aux yeux de nos "chefs", nos hiérarques habitués aux palais et leurs avantages, parce que chez ces gens-la, monsieur, on compte.
On ne fera pas dans les facilités communes, cependant force est de reconnaître cette vérité première à nous enseignée par l'expérience.
Ils aiment se servir plutôt que servir.
Ils sont grands, pour eux et selon leur paradigme, car ils savent tout, et mieux que les premiers concernés.
Du moins, le croient-ils.
Alors, chiche!
Que tous ceux qui croient penser nous montrent la Vraie Voie!
Nous autres, nous avons vu.
Les "pense-petit" comme l'écrivait un.penseur, un vrai, font nombre.
Chacun.est comptable, de sa place, aussi bien de ses dires que de ses actes.
Il y a du vrai dans ce que dit cet homme, mais on fait tout pour ne pas l'entendre.
Des parasites, des opportunistes, des corrompus à la pelle au point qu'ils sont presque la norme, et de petits margoulins à la petite semaine qui y participent.
Il n'est pas ragoûtant le plat?
On n'en reprendra pas.
Tu juges, tu denogres, tu es un rien..
Mais, tu parles de ta vie pourrie.
Ce qui me différencie de gens de ton espèce, c'est l'absence de haine, car je tente seulement de fondre mon avis. Avec arguments.
Toi, tu alignes des mots pour dénigrer, mettre en cause ad hominem, définir l'autre.....
"Kaffafas", les gens de ton espèce, certes.
Moi, je n'attends rien ni de toi, ni de Kais Saied, et pas davantage de quelque puissant du.lieu, censeur et antidémocrate qui ne cesse de se réclamer de ce qu'il bafoué.
Enfin, le minuscule petit scribouillard aux prétentions démesurées peut croire en avoir le talent.
Il y a loin.....
Je voterai Saied non contre, mais pour la défense des démunis, des ouvrières agricoles, les vraies victimes du système.
En cela, je reste fidèle.
C'est une qualité rare, ici.
rafiné pour enculer les mouches. S'il ne suintait pas cette auto contemplation proche de l'onanisme qui instaure une malaisante genance on pourrait presque oublier la lâcheté de ce petit rat qui avait osé reprendre a le "j'assume" d'Ikhlass Latif de la où il ne risque rien.
Il voulait remplir les prison, il voulait faire la queue pour avoir le temps de papoter avec ses voisins, il voulait du sang et des larmes à partir du 15 du mois.
Mais il faut aller plus loin. Il faut se débarrasser de tous ces chefs d'entreprises corrompus, de tous ces responsables. Faire place nette.
La capitalisme c'est mauvais. Vive l'économie soviétique, ou tout le monde consomme pareil. Certes peu, mais patriote, national...
Comme disait Coluche...
Dites moi de quoi vous manquez, je vous apprendrai à vous en passer...