C’est avec une grande affiche portant d’un côté l’effigie de Abir Moussi et de l’autre l’ancien président de la République, Zine El Abidine Ben Ali, que le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a réagi au rassemblement organisé dans la matinée de samedi 27 mai 2023 par le Parti destourien libre (PDL).
« Ni Rassemblement, ni fascisme », a inscrit le SNJT sur son affiche, en référence au passé de la présidente du PDL, anciennement membre du Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), parti au pouvoir du temps de Ben Ali.
La présidente du PDL, Abir Moussi, multiplie les attaques infondées contre les médias tunisiens. Les liens déjà tendus entre la politicienne et la presse ont fini par rompre quand celle-ci a annoncé son boycott des médias.
Revendiquant un manque de transparence de la part des médias, elle a choisi de faire parvenir son unique voix à travers sa propre chaîne de télévision. Bien évidemment, elle y fait son onewoman show à l’instar des fameux lives qu’elle diffusait sur sa page Facebook.
Crédit photo : Khaoula Sliti
N.J
A part les "mouvements" et "partis" saidiste comme le mouvement fasciste d'Echaab, le seul parti non attaqué par Saied est le PDL et la seule politicienne laissée tranquille par Saied est bien Abir Moussi, preuve de plus que Saied n'est que l'homme de l'ancien système et de la contre-révolution.
Qu'on suive bien les étapes du plan de mouvements des Azlèms destouriens déchus et qu'on se demande, pourquoi les opposants pacifiques contre le coup d'Etat du président Kaïs Saïed, sont-ils arrêtés et emprisonnés pour un oui et pour un non ou même, pour un simple mot sans la moindre importance stratégique, alors que la Zalèma moussi, finance ses «Slouguis» d'un endroit à l'autre, sans qu'on ne puisse comprendre le sens de leurs mouvements d'attaques ordonnés par les Emirats hébraïques et par le Saffah Sissi d'Egypte. Une fois contre le parti d'Ennahdha, puis contre les Savants Oulémas de l'Islam, puis contre le siège de l'UGTT, puis contre le siège du (SNJT), dans l'attente d'autres ordres contre quiconque s'oppose au coup d'Etat du 25 juillet 2021, sans qu'il n'y ait ni arrestations, ni emprisonnements, ni même des accusations par la justice tunisienne, bien que les plaintes contre la Zalèma moussi et sa horde de Hors-la-loi, résidus des deux régimes dictatoriaux déchus de Bou-Petit-Cou et de Ben Ali, inondent déjà les tribunaux tunisiens.
Le jeu des ennemis de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, est plus clair que la lune en son 14ème jour. Leur atelier de l'ARP légale de 2014, sous la présidence débile du pacifique religieux Rached Ghannouchi, n'appartient plus à leurs programmes de sabotages contre notre liberté en Tunisie. Même l'attaque du siège des Savants Ouléma de l'Islam, ne pourra plus passer avec le pratiquant musulman Kaïs Saïed. Que reste-t-il donc encore, hormis les journalistes tunisiens, qui s'avèrent d'une éducation familiale de loin plus honnête et de loin plus correcte, que leurs homologues d'Egypte. A part une poignée de soi-disant «chroniqueurs», qui nous ont poussés du néant et qui finiront bientôt derrière les verrous du néant, les vrais journalistes tunisiens, n'ont pas vendu leurs consciences. Ce n'est qu'un passage provisoire, qui fera leçon inébranlable pour la prochaine restitution de la transition démocratique de régime parlementaire en Tunisie.
Allah yostir Tounes.
Au final, le SNJT a manqué d'odace et de réalisme en affichant la tête de ZABA à la place de celle de KS.
Mais du goût de BN qui a choisi de s'opposer systématiquement à Abir Moussi et son parti.
Personnellement,je suis tout ce qu'elle fait et je la trouve très convaincante.
L'associer à Ben Ali et au RCD est une solution trop facile pour la discréditer.De toute façon, elle n'a jamais renié son passé.Jugez la sur ce qu'elle fait actuellement et donnez lui une chance comme vous l'avez fait pour Afek et compagnie.
Bon...BN a toujours fait le mauvais choix
1) Le pied de nez dont vous parlez et j'espère que vous connaissez le sens, n'en est pas un. Le pied de nez, bravade ou affront ne s'applique pas dans le cas de Madame Moussi puisqu'elle n'a jamais renié ses origines politiques et qu'elle les assume.
2) L'affiche elle même et le slogan qu'elle met en exergue montre très bien la méconnaissance et l'ignorance de l'auteur de l'article des idées et du programme du parti de Madame Moussi. J'espère qu'un jour vous aurez le courage d'en débattre publiquement et de formuler vos critiques voire vos griefs en argumentant scientifiquement et politiquement.
3) Un vrai pied de nez aurait pu être une dénonciation de la soumission et de l'inféodation de certains journaleux à l'étranger et à leurs sponsors en prétendant être libres et indépendants.
4) Pourquoi le SNJT et vous même n'acceptez pas d'être critiqué? Madame Moussi a apporté des informations étayées par des preuves matérielles qui prouvent la culpabilité des journaleux dénoncés. Pourquoi ils n'apportent pas les preuves de leur innocence? Et votre journal, pourquoi il n'a pas essayé de vérifier et de contribuer à démêler le vrai du faux s'il y'en a?
5) Il n'a jamais été du rôle d'un journal ou des journalistes de se braquer contre un politicien. Le rôle du la presse c'est apporter des éclairages sur des questions posées ou poser des questions au décideurs pour qu'ils apportent des réponses.
6) Pour finir, j'avais un peu de respect à ce journal, mais depuis un certain temps je le perds petit à petit. Je sais que vous pouvez dire que je ne suis qu'un individu mais un plus un plus un ....plus un finiront par faire beaucoup.
On ne peut être plus clair.
Bravo Manoubi.
Abir Moussi est un danger pour toute société. Elle souffle sur les braises pour attiser le feu qui consume la société actuelle. Elle oppose les Tunisiens aux autres. Une populiste. Comme un autre que tout le monde connait
Votre article est bourré de contre vérités.
Puisque vous avez décidé de boycotter le PDL et sa présidente alors restez y .
Comme le SNJT dont voys faites bizarrement la promotion dans cet article, vous etes pour une Tunisie colonisée. El khobsa morra me diriez vous , n 'est ce pas ?
Je croyais qu'un média devait relater fidèlement les faits quitte à les commenter objectivement par la suite.
Le PDL n'est pas le RCD quoique Abir a eu l'honnetetté de ne pas nier son appartenance au RCD mais son programme politique est different de celui du RCD et vous devez avoir l'honneteté intellectuelle de le lire .Je ne pense pas que ce commentaire vous plaira.
Faire tout ce qu'on veut, quand on veut, où on veut et autant qu'on veut.
Quant aux limites, aucune limite n'est permise, sinon, aux yeux de ces as et de "virtuoses" du journalisme, c'est systématiquement le retour de la dictature.
Tout compte fait, el khenzira n'a plus à s'en faire pour discréditer nos gouvernants et salir notre nation. Nos propres enfants s'en chargent !!
Quelle farce, c'est incroyable.
Allah Yarhmak dix mille fois ya BOURGUIBA, pour avoir dit que la Tunisie ne pouvait être détruite que par ses propres enfants.
Nous vivons ce scenario, depuis l'infection de 2011.