
Les députés Yassine Ayari et Rached Khiari ont choisi le monde virtuel de Facebook pour se disputer et échanger insultes et grossièretés publiquement sous le regard de leurs électeurs et de tous les internautes.
L’objet de cette dispute exposée au grand public, tourne autour de la procédure S17. Rached Khiari, tout comme Yassine Ayari, affirme avoir le mérite d’être intervenu auprès du ministre de l’Intérieur pour la régularisation d’un groupe de citoyens concernés par cette mesure.
C’est dire que tout a commencé lorsque Yassine Ayari avait publié la liste de ses interventions sur sa page personnelle. Une publication qui a fortement dérangé le député Rached Khiari, qui a mobilisé sa page Facebook ainsi que son journal électronique Essada, assurant que « Yassine Ayari lui a volé ses efforts, sans la moindre retenue ». Et pour étayer ses propos, il n’a pas hésité à publier des communications, et même une capture de son historique téléphonique avec le ministre de l’Intérieur Hichem Fourati, et des photos de leur rencontre.
La réponse de Yassine Ayari n’a pas tardé à venir. Et dans sa démarche agressive habituelle, il a choisi de s’adresser à « son collègue au parlement », avec beaucoup de virulence et en des termes assez grossiers, qu’il avoue d’ailleurs. Il l’a qualifié de « vaurien », d’« escroc », d’ « idiot ». Il a même insinué que Rached Khiari consomme le cannabis, tout en lui rappelant son passé dans les troupes folkloriques.
Un échange qui a enflammé la toile et les fans des deux députés qui ont multiplié les commentaires à propos des publications, envenimant davantage l’atmosphère déjà assez tendue entre les deux députés.
Cela dit et indépendamment de cet échange médiocre, la question qui se pose concerne la procédure S17, surtout qu’il ne s’agit pas de la première intervention de députés à ce sujet. Dans ce contexte, on rappelle les interventions de Yamina Zoghlami et de Maher Zid en faveur des citoyens touchés par cette mesure.
Bien qu’utilisée dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, la mesure de contrôle frontalier, communément connue sous l’appellation "procédure S17", n'est pas rendue publique et elle n'est soumise à aucun contrôle judiciaire complet. Comment se fait-il que des personnes en soient exemptées sur la simple intervention d’un député ?
Le tribunal administratif a déjà indiqué que la procédure "S17", n’a aucun référent juridique et que l’administration n’a pas le droit de recourir à ce genre de décision, puisqu’il s'agit d'une procédure purement judiciaire et c'est au juge en charge de l'affaire d'en décider.
Il est à noter que cette procédure a été mise en place en 2013, dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre le terrorisme. Les autorités affirment que ces mesures visent à empêcher des individus soupçonnés d'être affiliés à des groupes djihadistes de rejoindre des groupes armés à l'étranger, notamment le groupe armé qui se fait appeler Etat islamique (EI) en Syrie, et à contrôler les déplacements des personnes revenues de zones de conflit.
S.H
capables de former des multiples gouvernements et que leur parti pullule de responsables politiques de haut niveau et des uniques
compétences dans tous les domaines, et les voilà ; une fois leur chef s'est absenté pour une cause qui est restée dans le flou,et le vague,
ou méme magouillé et qui a pris d'autres dimensions
d'interprétations , aucun de ses dirigeants n'a eu le culot et la responsabilité de se présenter à cette
réunion trés attendue par tout un peuple et qui en a marre de de ces tractations et ses contre temps qui surviennent dans un laps de temps et
que personne ne peut les croire, notre plus grande calamité est de constater que la majorité de nos dirigeants politiques n'ont qu'un seul souci qui est de chercher par tous les moyens de se positionner
et de ne batailler qu'à la possession à des nominations ministérielles, très rare d'entendre débattre sur des visions, des stratégies, des programmes des priorités bien établis, réalistes avec coùts et échéances d'exécution
A quand l'estocade?
On s'abstiendra donc de prendre parti : aux chiottes, l'un et l'autre !! Et n'oublions pas de tirer la chasse. Non sans avoir joint à ce duo un certain Léon à qui ses envahissantes abeilles ne laissent absolument plus aucun répit...
On s'abstiendra donc de prendre parti : aux chiottes, l'un et l'autre !! Et n'oublions pas de tirer la chasse...
Soyez plus professionnels et plus dignes
Seul un esprit pourri par les années klémptomaniaques benalistes est capable de sortir de telles inepties !
"Hana jeyin ya khawana". . . w jibou maakom el barbou m'taakom haddad !
TOZ !
Maxula.
Sur ce, je ne prétends pas faire partie des chorfa. Je vous ai laissé cette grande distinction, vous qui avez donné ce nouveau visage si radieux à la Tunisie. A l'appartenance Chorfiste, je lui préfère l'amour de la Patrie, et le fait de ne pas me laisser enculer par les atlantistes.
Apparemment tout chérif que tu es, ton fondement est bien galvanisé par atlantistes.
Passe leur le bonjour; mais aussi à bouk la7nine qui t'entretient en t'envoie de l'argent, monsieur FMI, et Ommok La7nina la Banque Mondiale qui se substitue à lui quand il n'arrive plus à subvenir à tes besoins d'enfant gâté.
Hana jeyin ya khawana...
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant.
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant;
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Hélas, la Tunisie est tombée bien bas avec ces zigotos ignares, incultes, endoctrinés et de surcroît grossier.
Il n'y a rien à tirer et à attendre de ces énergumènes.
J'ai vraiment mal pour mon pays.
Dégagez les islamistes.
Hélas, la Tunisie est tombée bien bas avec ces zigotos ignares, incultes, endoctrinés et de surcroît grossier.
Il n'y a rien à tirer et à attendre de ces énergumènes.
J'ai vraiment mal pour mon pays.
- waqtèche nwalliou chorfa ?
- hatta ymoutou kbar l'houma !
N'en parlons pas de Tunis la massacrée par jmhzine et envie de part de nahdha, c'est la débandade.
ETFOUH AALA ENNOUAEB ILLI KIF HAL KROUDA .
La chance de la Tunisie de la période 1956-2010 fut très précisément d'avoir, par miracle, eu des dirigeants qui ne ressemblent pas au peuple.
Bien que issus du peuple, nos anciens dirigeants étaient des illuminés et aucun régime "démocratique" ne serait parvenu à en faire des leaders. Nos leaders auraient été, à l'image du populo, des yousséfistes, des islamistes, des rétrogrades et des gens cruels comme l'ont été tous les dirigeants arabes. S'il a de tout temps soufflé un vent de démocratie en Tunisie, c'est bien parce que Bourguiba, et plus tard Ben Ali, avaient un sens de l'Humain qui n'existe ni chez les nationalistes arabes, ni chez les gauchos, en encore moins chez les islamistes.
Et les exemples ne manquent pas: Allant de la Turquie du Sultan actuel Erdogan, jusqu'aux tueurs à gages nationalistes arabes qui dirigeaient le monde arabe, en passant par les théocraties classiques...
La Tunisie avait un siècle d'avance sur tout ce monde, jusqu'à ce que les atlantistes nous imposent ces voyous.
Non contents de voir la Tunisie gouvernée par autre chose que la majorité rétrograde que représentent les instruits haineux et régionalistes, les "amis" de la Tunisie ont sévi.
Aujourd'hui ils se cachent. C'est une nouvelle politique: ce n'est ni la politique de l'autruche, ni la politique de la terre brulée. Il s'agit d'une politique que je qualifierai plutôt de "politique des putes", avec tout le respect que je dois aux putes. D'ailleurs comment peut-on qualifier autrement quelqu'un qui commet un sale acte et n'en assume pas la responsabilité en se cachant.
Mais la minorité que nous sommes et qui rendront à la Tunisie tout son rayonnement, aurons gain de cause. Et la tradition se perpétuera: La Tunisie sera gouvernée par ceux qui ne représentent pas la populace, aussi instruite fut-elle; celle à la tête régionaliste et pourrie, fut-elle issue de l'X ou de Harvard.
Harvard y Merci aux voyous! On arrive, et vous verrez lequel d'entre-nous est plus vaillant sur le champ d'Honneur.
Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya;
Résistant,
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Mais c est bien de les voir sous leurs vrais visages.
Ils démontrent ainsi a leurs électeurs qu ils n ont rien a faire a l ARP .et que c est une erreur de les y avoir élus .
C est un bon processus d inter et d auto élimination.
Que ces deux jeunes trouvent des journalistes qui s'intéressent à leurs pages Facebook, jusqu'à aller leur décortiquer leurs discussions de Facebook avec un tel intérêt incompréhensible, cela ne nous confirme que la très bonne santé de la vie politique en Tunisie, où les journalistes peinent à trouver quoi écrire.
La scène est tellement calme jusqu'au ronronnement, qu'on ne nous parle que de l'emprisonnement des escrocs parmi leurs collègues, à l'image de ce qu'ils nous rabâchent de Sami Fahri de Samir Ouafi ou de Borhan Bsaïes.
Lisez et régalez d'une assiette vide.