
25 organisations nationales et associations ainsi que 133 personnalités publiques ont exprimé leurs préoccupations face au climat actuel préélectoral avec le harcèlement des journalistes ainsi que des tentatives de mainmise sur le processus électoral.
Parmi les signataires : la Ligue tunisienne des droits de l'homme (LTDH), le Forum tunisien pour les droits economiques et sociaux (FTDES), l’Organisation contre la torture en Tunisie (OCTT), EuroMed Rights, Avocats sans frontières, Al Bawsala, Aswat Nissa, ainsi que Chaima Issa, Ahmed Souab, Chokri Latif, Sana Ben Achour, Dalila Msaddek, Kamel Jendoubi, Hichem Ajbouni, Mehdi Jelassi, Yadh Ben Achour, Raja Ben Slama, Chawki Tabib, Ayachi Hammami, Jaouhar Ben Mbarek, Samir Dilou, Islem Hamza, etc.
Dans un communiqué conjoint, les signataires ont salué l’indépendance des magistrats de l'assemblée plénière juridictionnelle du Tribunal administratif et leur attachement aux valeurs de la loi. Et d’appeler tous les magistrats à les prendre comme modèle lorsqu'ils examinent divers litiges - en particulier ceux dans lesquels des pressions politiques sont exercées sur eux - afin de protéger les droits et libertés et d'empêcher tout recours au pouvoir judiciaire dans des conflits politiques.
Ils notent que la loi électorale attribue la compétence de trancher dans les litiges électoraux, aux cours d'appel du Tribunal administratif en tant que tribunaux de première instance, et à l'assemblée plénière juridictionnelle du Tribunal administratif. Elles seules ont le pouvoir d'examiner les litiges de candidature à l’élection présidentielle. « La loi électorale dispose explicitement que les décisions rendues par la plénière sont exécutoires, sans appel par quelque moyen que ce soit et doivent être mises en œuvre », souligne ce même document.
Pour les signataires, la non-exécution des décisions du Tribunal administratif n'a aucune base légale et est considérée comme un changement illégal, et pourrait entraîner à des dommages comme la fraude.
Les associations, organisations et personnalités publiques mettent en garde contre le danger des attaques répétées contre la liberté des médias et appellent l'autorité publique et ses différentes composantes, dont l’Instance supérieure indépendante pour les élections (Isie), à respecter la liberté des médias et le droit des citoyens à l'information et à s'abstenir de terroriser les journalistes par le biais de procès pénaux et en vertu du fameux décret 54. Ils appellent l’instance électorale à respecter la loi et à s'abstenir de toute pratique susceptible de porter atteinte à la transparence et à l'intégrité du processus électoral, notamment en empêchant l'observation des élections. Ils appellent aussi chacun à respecter le droit de l'électeur tunisien d'élire celui qui le dirigera, sans aucune manipulation ou ingérence, et dans des contextes garantissant l'intégrité, le pluralisme et la transparence des élections.
Les signataires ont exprimé leur attachement à la lutte pacifique et démocratique pour défendre le droit à des élections pluralistes. Ils rejettent le recours à l'intimidation et aux poursuites pénales pour servir un candidat ou en harceler d'autres.
Notons qu'alors que le tribunal affirme que ses verdicts sont définitifs et sans recours, l’Isie considère qu’elle est la seule garante du processus électoral et son conseil est le seul apte à prendre des décisions en se référant aux décisions de tribunal administratif et de la justice judiciaire. Un état de fait qui préoccupe les Tunisiens.
I.N.
Des médias publient et prennent position contre "le régime", des juges entrent dans le débat sous couvert de "dire le droit" et j'en oublie.
Cet état des choses exprime au moins une part des sensibilités s'il ne signifie pas la liberté ou le reflet de la diversité de l'opinion dans le pays.
Pendant que certains déplorent et stigmatisent l'adversaire ou supposé tel, d'autres considèrent les choses et opinent selon leur lecture de la situation.
A titre d'exemple, quand on est attentif aux mouvements avant secoué la magistrature, observé les prises de position de tel ou tel, suivi les affaires qu'ils ont traités ou non, on a le droit de rester dubitatif quant aux décisions émanant de ce collège et plus encore lorsque les mêmes ou leur syndicat, ou l'un des syndicats prennent position pour le soutenir.
S'il y a scandale, il me semble venir de ces juges qui confondent très volontairement la défense de leur pouvoir et la scène politique et ses polémiques électorales.
Chaque citoyen peut formuler ses préférences, la presse n'est pas plus neutre dans cette affaire que le reste des intervenants du champ politicien, ou l'homme ou femme ordinaires.
Au lieu de s'en réjouir, on.nous parle de dictature.
J'ai lu des formules définitives sur la Russie et sa guerre avec l'Ukraine.
Plutôt sa guerre avec l'OTAN.
Des paroles sans pertinence.
Les faits l'attestent.
Sur l'Algérie voisine insultée par des agités et traitée de paria des Brics.
Là aussi, les faits prouvent l'inverse puisque voici ce pays membre de ce groupe depuis hier.
Il y a tant de légèreté chez certains qui vous définissent selon la grille de leurs fantasmes ou délires, et plus encire de frivolité quand on lit des insanités indignes dont on peut oser penser qu'elles disent plus sur eux quand elles sont fortes pour salir les autres.
Quand on n'a pas la culture du débat, on peut apprendre.
Et c'est avec sa tête qu'on pense, en principe, et les arguments si.l'on pretend convaincre.
Navrant.
Lorsque la justice les a réintegré ILS L'APPLAUDISSENT ET ILS DISENT QUE C'EST LA JUSTICE LA PLUS JUSTE ET LA PLUS INDEPENDANTE DU MONDE.ET LORSQUE VOUS LEURS DEMANDEZ DE SE PRESENTER A LA JUSTICE DE VOTRE PAYS IL VOUS REPONDENT QUE CETTE JUSTICE N'EST PAS INDEPENDANTE!!!.
Il est urgent que ce régime voie ou revoit sérieusement sa copie !
"On ne peut pas avoir raison contre une majorité d'opposants !".
Désolé pour ce quiproquo.
1-Ou est l'ancien premier président de la cour de CASSATION.
2- Ou est le premier procureur de la cour d'appel de TUNIS.
3- Ou est la juge qui a transporté le MILLIARD dans sa voiture administrative ALA SABIL EL FADHL!!!
Je ne comrends pourquoi ce déferlement de communiqués d'associations suite à l'avis de BOUASKAR qui a usé de SON DROIT ABSOLU d'examiner les détails des jugements ,et de ne pas appliquer AVEUGLEMENT les décisions du T.A comme le demandent quelques uns (ATTABAKHA W FOMMHA SAKET!!!!).BOUASKAR a dit ,et son droit que l'ISIE ne se limite pas aux décisions de la justice ADMINISTRATIVE, mais elle va examiner les verdicts PENALS , car ces verdicts ne concerne pas des affaires d'accidents de la route OU IHMEL IYAL mais des crimes électorales des présidentielles 2024 . QUE VEULENT CES ASSOCIATIONS!!!!!ON DOIT ATTENDRE 2030 pour examiner ces crimes . COURAGE BOUASKAR. Et moi aussi en tant que CITOYEN je voudrais examiner les détails des jugements du T.A (hak annefedh lilmaalouma).
Allah yostirnè wè yostirkom wè yostir Tounes.
Parce que lorsqu'il y a une idéologie, il y a des idées. Mais avec les populistes, c'est le vide, il n'y aucune règle.
On peut être un bon dirigeant, responsable, ministre et être limogé comme on peut être mauvais et durer.
On peut critiquer le pouvoir à longueur de journée et ne rien subir, comme on dire un simple mot et aller en prison
Tous les outsiders s'invitent aujourd'hui dans l'élection présidentielle, pour faire entendre les verdicts du tribunal administratif.
En citoyen neutre. si je veux jouer l'ISIE, j'aurais à choisir entre le premier verdict du tribunal administratif qui rejette tous les recours, et le deuxième verdict du même tribunal administratif qui accepte tous les appels. Je prend le Premier Verdict et je garderai les TROIS CANDIDATS:
- Maghzaoui
- Said
- Zammel
Ainsi, je laisserai le Tribunal administratif avec contradictions flagrantes et je jetterai à la poubelle les applaudissements de toute l'armada venue en nombre, soutenir un tribunal administratif en déni républicain.
Je termine par rappeler les juges limogés, pour lesquels le tribunal administratif avait sorti des verdicts favorables. Ces verdicts ont été ignorés par l'administration tunisienne.
Est-ce que tu rabaisses le peuple tunisien à ton niveau et au niveau des @cacalas de ton espèce!!!
Sois honnête même avec toi-même, au lieur de faire le malin à deux sous troués.
Deux questions:
1- Si on supprime ce document pour les PRESIDENTIELLES on devra le supprimer d'une façon générale . Il est anormal dans ce cas de l'exiger pour les concours de l'étatique ou dans les demandes d'emploi ou pour l'inscription dans les tableaux de l'ordre de plusieurs professions.
2- Si ma memoire est bonne le bulletin N° 3 a été exigé pour les élections de l'ARP en 2022 et les élections regionales en 2023. Le T.A a t il refusé cette condition?.
PS: Si BN ne publie pas cette réponse qu'elle ait au moins le courage de communiquer l'avis à la personne concernée et qu'elle cesse sa censure car, la liberté d'opinion c'est ce qui manque en plus à BN.
To woke or not to woke, that is the question.
to be or not to be that is the second question