Aucun !
Donc assumez et taisez-vous !
Cest la colonsation, par les suddistes, du ord de la Tunisie et de Tunis, qui continue.
Jolie la révolution !
Le président de la Haute autorité indépendante de la communication audiovisuelle (Haica), Nouri Lajmi, est revenu sur l’interview du président de la République Béji Caïd Essebsi et sur la situation de Nessma, dans une déclaration accordée ce lundi 16 juillet 2018 au micro de Mohamed Bayar dans l’émission Houna Shems sur Shems Fm.
Ainsi, M. Lajmi a estimé que «normalement la présidence de la République devait suivre les décisions de la Haica, cette dernière étant une instance constitutionnelle, et surtout qu’elle est au courant que la chaine n’a pas régularisé sa situation devant de ce faite une chaine hors la loi»
«Dans les pays démocratiques, lorsqu’un président de la République veut s’adresser au peuple, il le fait à travers les médias publics», a-t-il affirmé. Lorsque l’animateur lui précise que ce n’est pas un discours mais une interview, le président de la Haica a souligné qu’il s’agit d’«une interview commandée qui s’est faite à la demande de la présidence de la République selon sa page Facebook», donc le chef de l’Etat devait choisir en priorité un média public, au moins pour prendre part à cette interview. Il reproche ainsi, au président de la République, de ne pas avoir fait cette interview, importante et dans le contexte actuel du pays, dans un média public.
«Certes le président est libre, a-t-il ajouté, mais il fallait éviter de donner cette interview à une chaine privée illégale et qui est devenue une cellule de communication pour une partie politique en particulier, surtout lorsqu’en sait que l’interview a été manipulé et que des parties ont été supprimées. On peut se demander qui a enlevé ces parties et pour le compte de qui. Il y a un mécontentement même de la part des chaines et radios qui devaient retransmettre en direct l’interview avec Nessma Tv. Il y a une problématique soulevée et le président ne devait pas être une partie prenante», a-t-il affirmé.
S’agissant de la régularisation de la situation de Nessma, Nouri Lajmi a expliqué que la chaine n’a pas manifesté d’intérêt pour le faire. Suite à ce constat, l’instance a décidé d’arrêter toutes les procédures ce qui en fait une chaine hors la loi, surtout que la régularisation devant se faire en un an selon les délais réglementaire depuis la publication des cahiers de charge en 2014.
La chaine n’a pas voulu communiqué son budget à l’instance, ni changé le statut de la société, donc n’a pas voulu respecter la loi, a-t-il martelé.
I.N
Le président de la Haute autorité indépendante de la communication audiovisuelle (Haica), Nouri Lajmi, est revenu sur l’interview du président de la République Béji Caïd Essebsi et sur la situation de Nessma, dans une déclaration accordée ce lundi 16 juillet 2018 au micro de Mohamed Bayar dans l’émission Houna Shems sur Shems Fm.
Ainsi, M. Lajmi a estimé que «normalement la présidence de la République devait suivre les décisions de la Haica, cette dernière étant une instance constitutionnelle, et surtout qu’elle est au courant que la chaine n’a pas régularisé sa situation devant de ce faite une chaine hors la loi»
«Dans les pays démocratiques, lorsqu’un président de la République veut s’adresser au peuple, il le fait à travers les médias publics», a-t-il affirmé. Lorsque l’animateur lui précise que ce n’est pas un discours mais une interview, le président de la Haica a souligné qu’il s’agit d’«une interview commandée qui s’est faite à la demande de la présidence de la République selon sa page Facebook», donc le chef de l’Etat devait choisir en priorité un média public, au moins pour prendre part à cette interview. Il reproche ainsi, au président de la République, de ne pas avoir fait cette interview, importante et dans le contexte actuel du pays, dans un média public.
«Certes le président est libre, a-t-il ajouté, mais il fallait éviter de donner cette interview à une chaine privée illégale et qui est devenue une cellule de communication pour une partie politique en particulier, surtout lorsqu’en sait que l’interview a été manipulé et que des parties ont été supprimées. On peut se demander qui a enlevé ces parties et pour le compte de qui. Il y a un mécontentement même de la part des chaines et radios qui devaient retransmettre en direct l’interview avec Nessma Tv. Il y a une problématique soulevée et le président ne devait pas être une partie prenante», a-t-il affirmé.
S’agissant de la régularisation de la situation de Nessma, Nouri Lajmi a expliqué que la chaine n’a pas manifesté d’intérêt pour le faire. Suite à ce constat, l’instance a décidé d’arrêter toutes les procédures ce qui en fait une chaine hors la loi, surtout que la régularisation devant se faire en un an selon les délais réglementaire depuis la publication des cahiers de charge en 2014.
La chaine n’a pas voulu communiqué son budget à l’instance, ni changé le statut de la société, donc n’a pas voulu respecter la loi, a-t-il martelé.
I.N