
L'information sur l'augmentation des prix des tombes a de nouveau circulé. Cette information, qui s'est répandue en 2023, a suscité des discussions et des controverses sur les réseaux sociaux.
Une fois de plus, la nouvelle a relancé des débats et des discussions sur les pages Facebook, où plusieurs internautes ont exprimé leur mécontentement face à cette décision dans le contexte de la crise économique que traverse la Tunisie.
Certains ont commenté : « Même l'enterrement deviendra inaccessible avec la hausse continue des prix ».
Nous avons vérifié cette affirmation à nouveau et il s'est avéré que les pages ayant publié cette nouvelle l'année dernière l'ont simplement republiée. Nous avions précédemment démenti cette information après avoir contacté la municiplité de Tunis et celle de Bizerte.
Il convient de rappeler que l'article publié sur le site "Zoom Tunisia" a ajouté du poids à cette information en affirmant que plusieurs municipalités ont inclu des augmentations dans certaines sections pour relancer les revenus, notamment en augmentant le prix des tombes dans les cimetières. L'article a également souligné que le prix d'une tombe avait déjà doublé dans de nombreuses municipalités, passant de soixante à 120 dinars.
La situation a atteint son paroxysme lorsque le journal a cité la municipalité de Tunis, en particulier le cimetière d'El Jallaz, où le prix d'une tombe aurait été fixé à 200 dinars. Cette nouvelle a été perçue comme un affront pour les familles tunisiennes qui ont déjà du mal à supporter le coût des funérailles et qui voient dans cette augmentation un obstacle supplémentaire pour enterrer dignement leurs proches.
Cependant, la déclaration de la municipalité de Tunis et de Bizerte qui ont nié l'information, a rassuré quelque peu les Tunisiens. BN Check a contacté la municipalité de Tunis qui a démenti intégralement cette information, d’après Hanene Tarhouni l’attachée de presse de la municipalité, cette information est totalement fausse « aucune décision d’augmenter le prix des tombes n’a été prise ».
Pour sa part Lotfi Merrah, le responsable des cimetières islamiques en Tunisie, a déjà confirmé, qu'il n'y a aucun fondement sur ce qui a été répandu sur l'augmentation des prix d'ouverture des tombes. Le responsable a expliqué que les prix sont toujours fixés à trente dinars, indiquant que la municipalité ne reçoit que des frais d'ouverture de la tombe et que la décision d'augmenter les prix des tombes n'est prise qu'au sein des conseils municipaux qui l'approuvent. Il a également souligné que le prix de base de la tombe en Tunisie est estimé à 120 dinars, en tenant compte de ses coûts de construction (certaines tombes pourraient coûter plus cher selon les circonstances).
R.A.
et bien entendu fortunés.
C'est comme les pequenots et autres arrivistes qui tiennent à se marier à Carthage, Sidi Bou Saïd ou la Marsa, pour "faire bien" et le montrer sur les "photos".
Ainsi, au lieu d'aller se faire enterrer dans leurs patelins, certains détenteurs du billet vers "l'au delà" préfèrent avoir une sépulture avec "vue sur mer" ou les "pieds dans l'eau"...
Creuser une nouvelle tombe c'est 300D et ouvrir une ancienne 280D.
Sans compter les hordes de drogués qui vous collent pour gratter de quoi payer la dose quotidienne..et qui se partagent les cimetières en territoires. Dernièrement deux de ces voyous ont failli s'entretuer pour 5 D !!! Avec blasphèmes et autres noms d'oiseaux en prime.
Le cimetière est devenu une zone de non droit. Femmes seules s'abstenir pour votre sécurité.
C'est une entreprise privée qui gère les travaux au Jellaz et Sidi Yahya.
"Femmes seules s'abstenir pour votre sécurité"
Vous avez tout à fait raison, Jha.
Il y a quelques mendiants "inoffensifs", qui ne représentent de menaces pour personne.
Par contre, il y a aussi quelques gredins qui font des ronds excentriques, dès qu'une cible potentielle est repérée, tels des requins ou des vautours autour de leur futur repas.
L'Etat doit intervenir et nettoyer une fois pour toutes, les gisements de racaille présents dans ce lieu "sacré", et en maintenant définitivement, une surveillance accrue pour la sécurité des personnes venant rendre visite à leurs êtres chers, disparus.
L'Etat doit obligatoirement veiller sur la sécurité du citoyen, dans l'ensemble des lieux publics.
Ce n'est pas négociable !!!!
Les chacals sont en permanence, à l'affut
Rajoutons que depuis que ZABA lâcha le pouvoir, l'insécurité a été multipliée au moins, par 100.
L'intensif exode rural en flux tendu, a aggravé l'insécurité dans toutes les grandes villes tunisiennes et particulièrement dans la capitale.
C'est un, des très nombreux effets pervers, résultant du passage des incultes bohémiens au pouvoir, l'année du chaotique accident de 2011!!!!
Parce que, par manque d'espace, le prix du m2 de terrain est devenu tellement cher (plusieurs dizaines de milliers d'euros) , que nombre de gens n'ont plus les moyens de se payer un enterrement ...
... triste ...


