
Le secrétaire général adjoint et porte-parole de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Sami Tahri, a indiqué, dans une déclaration accordée l'agence de presse Tap, hier, jeudi 16 décembre 2021, que la centrale syndicale adressera lundi une correspondance à la cheffe du gouvernement, Najla Bouden, pour l’appeler à retirer la circulaire empêchant les ministres, secrétaires d'Etat et directeurs d'institutions et d’entreprises publiques de négocier avec les syndicats sans autorisation préalable.
Le syndicaliste avait déjà dénoncé cette décision en ces termes : « Après avoir contribué à la réconciliation en résolvant les conflits du travail et en annulant les grèves à plus de 75%, et ce suite à l’obtention d’accords satisfaisants pour toutes les parties, et après avoir été le berceau du dialogue social et le parrain de la négociation collective, le ministère des Affaires sociales deviendra le plus grand soutien des grèves à cause de la circulaire 20 du 9 décembre 2021 ». Et de soutenir que l'Organisation internationale du Travail tranchera dorénavant en cas de conflit.
M.B.Z
La justice tunisienne doit ouvrir les dossiers de L'UGTT et de ses boss Taboubi et Tahri, afin que le peuple tunisien comprenne le sens de cette trahison de L'UGTT, contre son propre peuple tunisien.
Une seule question à poser à ceux de L'UGTT, est-ce que tous ces milliers de manifestants tunisiens, ne sont-ils pas aussi des travailleurs que L'UGTT prétend les soutenir même sans leur gré, comme elle le fait avec les autres!!!
Allah yèhlik ass-hab el-charr.
Quand on se comporte comme un parti politique, il faudrait assurer ces arrières.
Maintenant le seul interlocuteur c'est la chef du gouvernement
le droit unique du gouvernement du president Saied, qui lui a ete elu par le peuple tunisien. alors que l ugtt ne represente que ses membres et qui n est donc pas oblige de rendre des comptes au electeurs pour ses actions contraires au interets de l economie du peuple tunisien. contrairement au partis politiques.
Le gouvernement doit mettre fin a l anarchie qui a regne au sein des institutions de
l etat que l ugtt veut perpetuer afin qu elle puisse continuer a exiger plus, plus, et encore plus
d augmentions salariales alors que l etat n a meme plus les moyens de payer les salaires de la bureaucratie parasitaire que l ugtt veut coute que preserver et a tout prix.
Le gouvernement doit dire stop au nomenclatures de
l ugtt qui ne represente? que ses membres et non le peuple tunisien en faisant de la lutte de Hached( Allah Yarhmou) un fonds de commerce illigitime,
Sinon on aura un gouvernement à la Michichi, où chaque ministre faisait ce qu'il voulait.
taxer lourdement leurs signes extérieurs: voitures de luxe, villas ...