
Le Tribunal de première instance de Tunis examine, vendredi 8 avril 2022, la plainte déposée par la professeure universitaire, Mouna Kraiem contre l’ancienne cheffe du cabinet présidentiel, Nadia Akacha.
L’affaire remontre à 2019 suite à une plainte déposée par Mouna Kraiem pour diffamation et fausses allégations dans le cadre d’un différend sur le contenu d’une thèse. Nadia Akacha avait accusé Mme Kraiem d’avoir volé des extraits de sa thèse et de les avoir publiés dans un article. Des accusations qui ont motivé la plainte déposée par Mme Kraiem avant la nomination de Nadia Akacha à la présidence de la République.
D’après nos sources, le verdict sera prononcé dans la soirée de vendredi ou au plus tard lundi.
Précisons que Mme Akacha a quitté la Tunisie après sa démission de la présidence et vit actuellement à Paris avec sa famille. Le jugement sera donc prononcé par contumace.
Est ce vraiment une raison valable pour déposer une plainte?
Ou est ce qu'on joue au plus fin des connaisseurs en matière du droit?
D'une part ils veulent renvoyer les clandestins au Maghreb et d'autre part ils accueillent à bras ouverts ceux qui ont commis des crimes bien plus graves contre le bon peuple tunisien;
Si Nos gouvernants actuels en avaient,ils exigeraient du Un contre Un,cad pour un expulsé tunisien,un politique condamné par la Justice rapatrié,ce n'est qu'ainsi que la Tunisie pourrait retrouver son prestige au Concert des Nations....
Soit vous marchez avec KS.... Soit vous en payez le prix....
Exemple de juridisme, encore de l'eau apportée au moulin de juges qui n'en demandaient pas tant.
Gouvernement des juges, c'est la faillite de La Politique.
Une institution incapable de résoudre un question laisse filer au profit d'une autre institution non moins malade.
Il ne reste plus qu'à intimer l'ordre aux deux femmes d'en attester chacune en faisant le serment de dire la verite main sur le Coran en plein public lors de la prière du vendredi.
Il paraît que cela se pratique.
Voilà qui s'appelle la justice.
Pour comprendre ce qu'est a diffamation pénalement parlant.
Par ailleurs, l'EU presse le gouvernement tunisien pour annuler ce délit...
C'est qu'il y a un grand problème de méconnaissance des lois de la République!