Le ministre des Affaires étrangères, Nabil Ammar, a indiqué, dans une déclaration accordée, jeudi 25 mai 2023, à Mosaïque FM, que la Tunisie a toujours pratiqué la diplomatie économique, mais que la négociation avec le Fonds monétaire international (FMI) ne doit pas dépasser des « lignes rouges ».
« La Tunisie ne rompra pas les négociations avec le FMI et ses partenaires, mais il n’est pas question de dépasser les lignes rouges, celles notamment liées à la protection des classes précaires et la stabilité du pays », a-t-il souligné, en marge d’une réception tenue en l'honneur des ambassadeurs du groupe Union africaine à l'occasion de la célébration de la journée de l'Afrique.
On rappellera que les chefs d’État du G7 réunis à Hiroshima au Japon pour le sommet G7, ont appelé, samedi dernier, la Tunisie à parvenir à un accord avec le FMI et répondre aux aspirations démocratiques du peuple.
En octobre 2022, le gouvernement de Najla Bouden a obtenu un accord préliminaire pour un prêt de 1,9 milliard de dollars sur quatre ans. Le dossier de la Tunisie devait être examiné en décembre par le Conseil d’administration du FMI, mais a été déprogrammé. Le gouvernement de Najla Bouden affirme que les négociations sont encore en cours alors que le président de la République, Kaïs Saïed, rejette tout accord avec l’institution. Il refuse les diktats du FMI et assure que le pays doit compter uniquement sur ses propres ressources.
M.B.Z
Rien ne fut fait, car les arnaqueurs qui étaient au pouvoir à l'époque, dirent oui pour toucher le prêt, tout en sachant qu'ils n'allaient jamais obéir aux conditions.
Ils ne voulaient pas endosser les inconvénients de cette opération, c'est-à-dire, l'élimination des subventions.
Ils dépensèrent l'argent à d'autres fins mystérieuses.
Leur mode de vie royal nous fournissait un très léger aperçu !!
On aimerait bien savoir où sont passés ces colossales sommes d'argent ?
Bizarrement, le FMI, l'UGTT qui devint un inconditionnel expert dans la gestion du pays avec respectivement à sa tête, les deux nullards, abessi pour commencer et le charcutier taboubi par la suite, fermèrent les yeux et ne firent aucune vague.
De même pour les marionnettes de députés, qui n'oeuvraient uniquement pour se remplir les poches et optimiser leurs avantages en nature.
Officiellement, le FMI n'a même pas vérifier si l'argent en son entièreté avait atterri dans les caisses de l'?tat.
Officieusement, le FMI savait exactement la destination finale de chaque cent.
Quand il s'agit de dollars, la traçabilité est à 100% effective.
Les traitres imbéciles de la partie des vendus et des corrompus de la populace, qui pigent que dalle à quoi que ce soit, menés docilement comme un troupeau de boeufs par des experts en endoctrinement, veulent mettre toutes les répercussions des actes criminels des insouciants gouvernants précédents, sur le compte de Kaissoune.
Notre intègre et patriote président ne veut pas payer les pots cassés à la place des gangsters de khriji, marzouguiki, jbéli, la2rayédh & Co et le reste des insignifiants et médiocres troubadours.
Kaissoune ne veut pas réduire plus de la moitié de la Tunisie à la pauvreté et à la famine.
C'est pour cela qu'il s'oppose catégoriquement aux conditions du FMI.
Ce n'est pas le cas des traites et des vendus du front des rkhass, qui tiennent absolument à ce que le pays tombe dans la débâcle, l'anarchie et la guerre civile, car ce n'est dans cet environnement qu'ils peuvent se remplir les poches sans aucun souci à se faire.
Allah yéhlik'hom.
Et l'endettement faramineux date depuis le règne de Bourguiba.
Réveilles les pour su'ils nous rendent des comptes.
Cette institution financière internationale applique toute une batterie de critères et d'exigences pour attribuer les prêts.
Si le gouvernement tunisien ne se plie pas à ces conditions, il n'y aura pas un dollar de la part de cette banque.
D'ailleurs, la demande de prêt de la Tunisie se retrouve en queue de la liste des prétendants prioritaires.
Peut être même, qu'elle ne figure plus sur la schortlist.
Le FMI n'a pas vocation à jeter son argent pas la fenêtre en soutenant les dictatures.
D'ailleurs, ça tombe mal, avec les démocrates au pouvoir l'oncle Sam veille au bon grain.
En un mot, le père Noël n'est pas encore passé et peut être pas cette année 2023 année de tous les dangers pour un pays, comme la Tunisie, où le marasme continue à enfocer le pays vers l'abîme.