Parmi tous les brouettistes de 2011, qui ne l'est pas devenu!!
Kalou, démocratie.
Démocrate, on l'est devenu, mais dans "kélba et la sirka"
Allah yéhlik-hom.
Salutations
Le candidat à la présidentielle, Mongi Rahoui était présent, ce lundi 26 août 2019, sur le plateau de l’émission quotidienne « le locataire de Carthage » (Saken Carthage) sur Attessia TV en partenariat avec Business News, pour revenir sur sa candidature à la présidentielle ainsi que sur ses priorités.
Mongi Rahoui a assuré que sa candidature à la présidentielle est un choix basé sur une connaissance profonde de la situation en Tunisie, ainsi que sur une détermination pour changer. Pour défendre sa candidature, il a affirmé qu’un de ses principaux atouts est la confiance des Tunisiens ainsi que l’image d’un président capable de soutenir son peuple et de ressentir sa douleur et ses revendications.
S’il est élu président, Mongi Rahoui a indiqué qu’il s’engage à régler la situation des jeunes détenus pour la consommation du cannabis et à revoir toute la loi à ce sujet. Il s’est engagé à lancer des initiatives législatives concernant la réglementation du secteur agricole, aussi bien sur le plan économique et social.
Mongi Rahoui s’est dit confiant en ses chances de passer au second tour de la présidentielle grâce au capital sympathie qu’il a réussi à obtenir par les Tunisiens, assurant qu’il se présente sans la moindre barrière idéologique. Il a ajouté qu’il ne se désistera pas en faveur de Hamma Hammami ou n’importe quel autre candidat, « lorsqu’on décide de se présenter à la présidentielle, on n’a pas la moindre hésitation. Personnellement, j’ai travaillé dur et j’ai déployé tous les efforts nécessaires pour en arriver là. Je ne me désisterai pas, et si quelqu’un décide de le faire en ma faveur, il est le bienvenu ».
Il a, également, précisé que la division du Front populaire n’était pas directement liée à la candidature à la présidentielle, mais surtout à un cumul de divergences à propos de questions d’ordre structurel, organisationnel et idéologique.
D’autre part, Mongi Rahoui a indiqué qu’il est évident qu’il soit pour l’abolition de la peine de mort tenant compte de sa contradiction avec les bases fondamentales des droits de l’Homme. Quant à la question de l’égalité, il assuré, « Quand Feu Habib Bourguiba a mis en place le CSP, il n’est pas allé par quatre chemins et il a tranché sur la question. Débattre sur le sujet de l’égalité ne fera qu’accroitre les tergiversations ». Il a ainsi affirmé qu'il est pour l'égalité dans l'héritage et toutes les propositions contenues dans le rapport de la Colibe.
Par ailleurs, il a assuré qu’il se distingue par rapport à Hamma Hammami en se positionnant en tant qu’opposition constructive, en étant une force de proposition et non en adoptant une approche de déni.
Le candidat à la présidentielle a assuré que le parti Ennahdha ainsi que tous ses candidats constituent un danger pour la démocratie dans le pays. Il a aussi annoncé qu’il ne quittera jamais la vie politique quelle que soit l’issue du scrutin.
S.H
Le candidat à la présidentielle, Mongi Rahoui était présent, ce lundi 26 août 2019, sur le plateau de l’émission quotidienne « le locataire de Carthage » (Saken Carthage) sur Attessia TV en partenariat avec Business News, pour revenir sur sa candidature à la présidentielle ainsi que sur ses priorités.
Mongi Rahoui a assuré que sa candidature à la présidentielle est un choix basé sur une connaissance profonde de la situation en Tunisie, ainsi que sur une détermination pour changer. Pour défendre sa candidature, il a affirmé qu’un de ses principaux atouts est la confiance des Tunisiens ainsi que l’image d’un président capable de soutenir son peuple et de ressentir sa douleur et ses revendications.
S’il est élu président, Mongi Rahoui a indiqué qu’il s’engage à régler la situation des jeunes détenus pour la consommation du cannabis et à revoir toute la loi à ce sujet. Il s’est engagé à lancer des initiatives législatives concernant la réglementation du secteur agricole, aussi bien sur le plan économique et social.
Mongi Rahoui s’est dit confiant en ses chances de passer au second tour de la présidentielle grâce au capital sympathie qu’il a réussi à obtenir par les Tunisiens, assurant qu’il se présente sans la moindre barrière idéologique. Il a ajouté qu’il ne se désistera pas en faveur de Hamma Hammami ou n’importe quel autre candidat, « lorsqu’on décide de se présenter à la présidentielle, on n’a pas la moindre hésitation. Personnellement, j’ai travaillé dur et j’ai déployé tous les efforts nécessaires pour en arriver là. Je ne me désisterai pas, et si quelqu’un décide de le faire en ma faveur, il est le bienvenu ».
Il a, également, précisé que la division du Front populaire n’était pas directement liée à la candidature à la présidentielle, mais surtout à un cumul de divergences à propos de questions d’ordre structurel, organisationnel et idéologique.
D’autre part, Mongi Rahoui a indiqué qu’il est évident qu’il soit pour l’abolition de la peine de mort tenant compte de sa contradiction avec les bases fondamentales des droits de l’Homme. Quant à la question de l’égalité, il assuré, « Quand Feu Habib Bourguiba a mis en place le CSP, il n’est pas allé par quatre chemins et il a tranché sur la question. Débattre sur le sujet de l’égalité ne fera qu’accroitre les tergiversations ». Il a ainsi affirmé qu'il est pour l'égalité dans l'héritage et toutes les propositions contenues dans le rapport de la Colibe.
Par ailleurs, il a assuré qu’il se distingue par rapport à Hamma Hammami en se positionnant en tant qu’opposition constructive, en étant une force de proposition et non en adoptant une approche de déni.
Le candidat à la présidentielle a assuré que le parti Ennahdha ainsi que tous ses candidats constituent un danger pour la démocratie dans le pays. Il a aussi annoncé qu’il ne quittera jamais la vie politique quelle que soit l’issue du scrutin.
S.H