Le ministre de l’Energie et des Mines, Mongi Marzouk, a rendu hommage, le 3 avril 2020, à la société tunisienne d’électricité et de gaz (Steg) à travers une publication Facebbok postée à l’occasion du 58ème anniversaire de l’entreprise.
Le ministre a tenu à rendre hommage aux générations qui ont construit cette entreprise et ont combattu pour « relier à l’électricité 99,8% de la population tunisienne ». Il a ajouté que la Steg a grandement participé à la construction de la Tunisie moderne et est devenue une référence mondiale dans son domaine.
Mongi Marzouk a également évoqué les difficultés de la Steg en disant : « les actuelles difficultés financières de la Steg nécessitent des efforts urgents à tous les niveaux, efficacité de l’entreprise dans son activité, rationalisation des interactions avec son environnement et ses clients dans le public et le privé, et aussi le niveau d’encadrement de l’Etat et son appui à la réussite de la transition énergétique ».
Pour clore son message, le ministre de l’Energie a présenté quelques recommandations à la société. « J’attends de l’entreprise qu’elle travaille à mettre en place une administration et une gouvernance saines qui récompensent le travail, la responsabilité, le mérite et fournissent la transparence, la confiance, la participation en plus d’installer un bon climat de coopération et de confiance avec le cadre dirigeant, avec le partenaire social et avec tous les agents de l’entreprise », a-t-il écrit.
Tous nos articles sur le Coronavirus (Covid-19) en Tunisie
S.F
La STEG. Une des nombreuses réalisations de l'ère Bourguiba.
Son défaut ? C'est que ça marche ! Donc plus personne n'en parle. Le fait que ça fonctionne devient chose naturelle. Les ingrats et les hypocrites font bien sûr impasse là-dessus.
Le problème ? Pourvu que ça continue. Car avec la destruction systématique de l'Etat, rien n'est à l'abri.
Pourquoi le Gouvernement n'oblige pas la Steg à faire de même: un Tarif de nuit? Pourquoi la Steg continue elle à abuser de ses clients, qu'elle fasse comme les autres pays!!!
La STEG est un cas à part :avec des impayés qui dépassent les 2 mille millions de dinars, un capital sociel totalement entamé par les pertes successives, des engagements avec les fournisseurs impossibles à honorer notamment les dettes du gaz algérien...ect.
Il faut déplorer les stratégies de réformes dont on a bcp parlé et qui sont restées des voeux pieux.
Le nouveau management de la STEG part avec des préjugés favorables : le nouveau pdg est un responsabl à STEG qui a fait ses preuves en interne et à l'international en plus d'une grande capacité de travail !
Bon vent!
Ancien cadre à la STEG, retraité !