
L’ancien membre du bureau exécutif de Nidaa Tounes, Mondher Belhadj Ali, a écopé de quatre ans de prison sans exécution immédiate, a déclaré à Business News, lundi 29 juin 2020, le substitut du procureur de la République et chef de l’unité de communication au tribunal de première instance de Tunis, Mohsen Dali.
Mondher Belhadj Ali a été condamné, en première instance, pour avoir illégalement bénéficié d’une bourse d’études pour un doctorat alors qu’il avait déjà épuisé son droit. Le prévenu peut faire appel du jugement.
Cette affaire remonte, rappelons-le, à 2013, quand le député d’Al-Adala à l'Assemblée nationale constituante Fayçal Jadlaoui a porté plainte contre l'ancien ministre de l’Enseignement supérieur sous Bel Ali, Lazhar Bououni, décédé en 2017.
N.J.



Une majorité d'entre eux circule au parlement en toute impunité à l'image de Dhij et ses acolytes d'elkarama.La justice partiale aux mains des islamistes veut se venger du peuple afin de permettre à ces faux révolutionnaires de dicter leurs lois,de s'enrichir et d'emprisonner tous ceux qui dénoncent leurs agissements.
Les dossiers les plus importants comme les assassinats etc.. sont dans les oubliettes alors que les traîtres insultent,provoquent et menacent tous les opposants des khanjias et de leur doctrine.La société est en ruiné...
Voilà pourquoi la justice Tunisienne et les Magistrats sont traités comme des BOUFRANQ et non même BOUDOUROU.
C'était quelqu'un de compétent, de bien et de sérieux.malheureusement il s'est retrouvé dans cette histoire qui ne mérite pas tout ce cinéma, scarifié, et sa mémoire souillée , alors que des criminels notoires ayant spolié le pays et amassé des milliards sont en totale liberté. Pourquoi ce système châtie t il un enseignant qui ne s'est même pas enrichi, et laisse se pavaner les voyous et trafiquants en tout genre ou les anciens caciques de l'ère Ben Ali et même encore ceux de l'après "révolution"?
de fakhfakh à bouchleka.
la liste des corrompus se comptent en dizaine de milliers