Dans un long post sur Facebook, publié vendredi 22 mai 2015, l’ancien président Moncef Marzouki s’est interrogé si oui ou non la Tunisie dort sur des puits de pétrole et de gaz.
Il a appelé à créer une commission parlementaire, qui exerce en toute transparence, pour répondre d’une manière exacte à la question. Il estime par ailleurs qu’il est impératif que cette commission « fourre son nez » (le mot est le sien) dans les comptes des sociétés pétrolières au cours des dix dernières années pour déterminer si oui ou non il y a eu cession des droits du peuple.
Le post de Marzouki n’a pas manqué de faire déclencher une série de commentaires moqueurs. Le célèbre blogueur tunisien Big Trap Boy a répliqué : « ce type est resté trois ans à la tête de l’Etat et a été trois ans le chef suprême des armées et il s’interroge jusqu’à aujourd’hui, exactement comme un administrateur adolescent de Facebook qui vit dans la théorie du complot. » Le blogueur conclut son post par un hashtag : « minables jusqu’au bout ».
Ce qui justifie la risée des commentateurs est que les comptes des sociétés pétrolières publiques sont justement publics et publiés dans le journal officiel depuis toujours. Le ministère de l’Industrie, autorité de tutelle, a répondu à cette question à plusieurs reprises, y compris sous la troïka, quand le ministre était proche de Marzouki.
Le CPR et Attayar, partis proches de l’ancien président, ont entrepris depuis plusieurs semaines une véritable campagne sur le sujet des richesses naturelles en Tunisie. En dépit de toutes les réponses officielles données, la campagne ne s’est jamais arrêtée.
Selon des observateurs proches du dossier, des sociétés qataries lorgneraient les licences tunisiennes accordées aux entreprises européennes. On soupçonne que ces lobbyistes aient fait appel à des proches du CPR et d’Attayar pour les aider à atteindre cet objectif.
Une semaine après son retour de Doha, et comme par hasard, Marzouki rebondit sur le sujet.
R.B.H.
Cette commission parlementaire devrait avoir accès à tous les micmacs des sangsues de la Nation. Les membres de cette commission parlementaire doivent fourrer leurs nez partout où ça sent mauvais dans les caisses de l'état, afin d'élucider le peuple tunisien de la réalité financière de leur pays.
Quant à cette blague répandue par des blogueurs comiques au même titre que cet "écrivain public RBH", qui se prend ici pour un vrai "journaliste" sans la moindre éthique du métier, celui-là même qui nous a amusé par l'échec de ses multiples «articles» erronés, c'est une très mauvaise blague dont nous vivons depuis les temps des pierres chez leur bienfaiteur le défunt dictateur déchu Bourguiba. Ils nous amusent par leur rabâchage, que les comptes des sociétés pétrolières publiques sont justement publics et publiés dans le journal officiel depuis toujours. Ils ne remarquent même pas que cette histoire, ne suscite que la risée grand-mère de leur propre risée.
Le Président de la deuxième République Moncef Marzouki les appelle à se faire contrôler et à se laisser superviser par une commission des représentants du peuple et eux, ils nous disent que tout est bon dans le cochon.
Ils nous préparent un rapport de comptabilité genre de déclaration de fin d'année pour les sociétés ou même pour les syndics des immeubles, là où on trouve «réalisations moins dépenses est égal à zéro», lorsqu'on ne déclare pas son déficit et qu'on nous dise, que tout est en règle sauf que le bateau coule.
Si tout était correct dans ces comptes «tape-à-l'o eil», d'où viennent donc les milliards volés par Ben Ali et sa famille, sans qu'aucun «officiel» ne les a dénoncés?
Celui qui n'a rien à craindre et qui a les mains propres, pourquoi ne veut-il pas être supervisé par une commission des représentants du peuple?
Et celui qui soutient le travail dans le noir, comme notre «journaliste» ci-présent et comme son ami blogueur, qui appellent «minables» ceux qui veulent faire avancer le pays vers le top des pays arabes, où trouvent-ils leur intérêt en sabotant l'avancée de notre patrie la Tunisie?
Cherchez les 7 erreurs.
ET réclamons notre dû, point barre.
Y EN MARRE que les mêmes se goinfrent pendant que d'autres mendient.
ALORS OUI IL FAUT RELANCER CE DOSSIER N'EN DEPLAISE AUX VOLEURS ET DEPOUILLEURS EN COL BLANC.
Sidi El Ouafi est devenue très sage il cessait de critiquer les éléments de l'ancien
système de Président Ben Ali parce que il a eu une leçon à ce sujet il tombait suite à un commentaire plein de calomnie envers ces dernières puis il guérirait comme il a decouvi que la cause de sa maladie et son commentaire puis il s'abstenir de commenter comme le passé .
je souhaiterai de prendre une café avec le célèbre El Wafi le Tunisien de souche il support beaucoup son ancien Président Ben Ali il le respect profondément il découvrait que toutes les informations sur Ben Ali ce n'est rien que des mensonges non fiables leurs buts à pour objet de mettre La Tunisie à genoux mais hélas quiconque ne peut mettre La Tunisie à genoux Ces hommes et ces femmes sont très vigilent ils sont tous sous la disponibilité de son Excellence SIDNA Badji Caid Essebssi .
je remercie El Wouafi de sa loyauté à son pays et ces deux Présidents l'ancien Ben Ali et l'actuel Président B C E .
J'espère avoir répondu à votre légitime inquiétude quant à la moralité de mon propos !
Car c'est immoral.
Et plus immoral encore, de donner une vérité incomplète.
Car Saddam à été exécuté par ceux qui l'avaient employé et armé pour combattre l'Iran !!
Les mêmes qui avaient fermé leurs grandes gueules au gazage des innocents.
Pourtant c'était leurs armes,qui avaient tués ces innocents.
Vos partenaires d'aujourd'hui, vous exsecuteront demain.
Alors ne riez pas trop aujourd'hui.
Demain vous pourriez vous aussi être l'objet de sarcasme !
et le capital non matériel les défis du siècle se sont les investisseurs 114 qui ont lutaient efficacement la pauvreté en créant plusieurs poste de travail pour les Tunisiens .
En ce qui concernant les ressources hydrocarbures il faut qu'ils seront gérés par l'être humaine pour utiliser au profit
des création des postes et la modernisation de l'agriculture et les élevages ainsi que les recherches scientifiques .