
Le ministre des Affaires sociales, Malek Zahi, a indiqué, dans une déclaration accordée, ce dimanche 13 août 2023, à Mosaïque FM, que 66 sociétés communautaires ont été créées depuis la parution du décret présidentiel en mars 2022.
Il a précisé que ces sociétés rencontrent des difficultés de financement qui seront dépassées dans la mesure où un accord a été conclu avec les administrations et les autres ministères concernés.
« D’autres problèmes concernent aussi les autorisations mais comme vous savez, le président de la République a appelé à lever tous les obstacles pour que ces sociétés puissent fleurir dans tout le pays et offrir un autre modèle de développement réel qui traduit la volonté du peuple » a souligné le ministre.
La question des sociétés communautaires avait été abordée, lors d’une réunion entre Kaïs Saïed et Malek Zahi en juillet dernier. Le chef de l’État avait évoqué la nécessité de réduire au maximum les obstacles afin qu'elles puissent être une source de création de richesse, notamment pour les jeunes chômeurs. Il noté alors que 31 sociétés ont été créées et que 36 autres étaient en cours de création.
M.B.Z
Fini le temps de l'arnaque, de la duperie et l'expropriation de nahdha.
Allez étudier, travailler et bénéficier d'une formation professionnelle,
" wfat ellokma el barda" mtâa el kallaba we essirka ya nahdha. âamaltou el âar.
Les minables ils perdent espoir d'arnaquer dorénavant comme lors des dix ans de massacre et de démolition.
Eux ce qu'ils veulent, c'est s'approprier tout, soit les usines, les terrains, les terres agricoles, les administrations publiques et les constructions de l'état de tunisien.
Il ont apparemment calqué cette idée sur certains pays riches qui se permettent de donner à leurs citoyens riches pareillement la gestion et la gouvernance de certains lieux huppés ou les terres incultes situées dans les zones éloignées du désert ou de la mer ; et encore si cela est possible.
Le clan des intrus nahdha, tellement complexés et avides de coloniser surtout la capitale et autres lieux agricoles surtout de la Tunisie, ont employé depuis 2011 tous les moyens pour concrétiser cette sauvagerie et cette manière de colonisation, et d'ailleurs ils refusent catégoriquement, ces nahdhaouis, d'intégrer leur région du sud, supposée originelle.
D'ailleurs qu'ils supposent qu'il faut distribuer les terresxagricoles aux gens et essentiellement aux partisans, croyant qu'il s'agit d'un léger du bon Dieu tombé du ciel, qu'il faut offrir à nahdha, dont on ne sait par quelle récompense, ou "compensation" pour nahdha, les compensations ont ainsi, et avec cet esprit arnaqueur,vidé les caisses de l'état tunisien en 2011- 2012.
On a remarqué qu'à la dernière visite du président de la République dans les environs de Tebourba, certains présents sur les lieux (certainement nahdhaouis) cherchaient à souffler cette idée de propriété ; qui entraînera sûrement des perturbations sociales au sujet de l'appartenance de ces terres et comment les distribuer à quelqus uns et non à d'autres dont ces derniers seront certainement plus nombreux pouvant représenter la majorité de tout un peuple.
D'ailleurs l'individu qui cherchait à parler, parmi la foule présente autourdu président, s'est vite éclipsé par la suite pour ne pas dire fuire.
Donc l'idée de société doit à coup sûr déplaire à nahdha, qui voulait autrement et ce à la manière de l'arnaque des compensations qu'ils ont obtenu pour devenir vers 2012, des milliardaires. Pauvres gens,
rentrés bredouilles de Tebourba.
'?a sent l'arnaque!
Bon courage à tous, opposants comme partisans. Le pire est devant nous.
Les terres agricoles (domaniales) appartiennent à tous les tunisiens et non plus aux escrocs nahdha.
Malek Zahi: Titulaire en 2006 d'une maîtrise en administration des affaires, il obtient en 2008 un master en économie et gestion des risques. En 2011, il obtient un autre diplôme en technique de communication et en technologie. Il est également expert et chef de service en assurance à partir de 2008 (Wikipédia).
Et il était enseignant du supérieur...
Qu'est ce qu'il a formé comme cadres pour les sociétés communautaires?
C'est la vraie question.
Si oui, ça roule, bonne idée.
Sinon, ce ne sont que des charges nouvelles pour l'état, qui n'en manque pas!
Si j'ai bien compris les dirigents de l'état connaissent les obstacles et ils peuvent eliminer ces obstacles mais seulement pour les sociétés communautaires?
Pourquoi?
Ce jour là, je vous croirais