
Les structures syndicales de la Fédération de l'enseignement secondaire, ayant participé à la réunion de la commission administrative sectorielle de l’enseignment secondaire, jeudi 11 mai 2023, ont rejeté les propositions du ministère de l'Education, présentées lors de la séance du 2 mai dernier.
Cette décision implique le maintien de la rétention des notes des élèves durant ce troisième trimestre.
Le syndicat de l’enseignement avait pris la même décision, hier, mercredi 10 mai 2023. Des mouvements de protestation seront entamés et un jour de colère décrété avant la fin de l’année scolaire.
Rappelons que les syndicats de l’enseignement de base et du secondaire avaient décidé la rétention et le blocage des notes, jusqu’à parvenir à un accord avec le ministère sur plusieurs points de litige.
Le secrétaire général de la fédération de l'enseignement de base, Nabil Haouachi, avait affirmé que la Fédération exerce la rétention des notes pour l’administration seulement et permet aux élèves de consulter leurs notes tout en soulignant que l’affaire soulevée vise à déstabiliser le travail syndical.
Le président de la République, Kaïs Saïed, avait, pour sa part, souligné, que le système éducatif sera « radicalement réformé » dans tous les niveaux d’études avec une vision globale qui place le cadre enseignant au premier rang.
Kaïs Saïed a estimé que la rétention et le blocage des notes décidés par le syndicat étaient une manœuvre inacceptable.
S.H
Toute une génération foutue à cause de ces syndicats
Tout ce grabuge, entre autres bourdes bien sûr, à entraîné la Tunisie vers une crise socio-économiques qui peut se révéler irréversible, et ce qui prouve que le sous développement n'est pas envisageable dans un proche avenir.
Ce fut les compétents et les nationalistes qui avaient fourni un travail exemplaire lors des années soixante et soixante-dix, et puis c'est la médiocrité et le néant jusqu'au 25 juillet 2020 et dont la concrétisation des prérogatives envisagées lorsvde cette date n'est pas réellement accomplie en raison des obstination de certains profiteurs à vouloir s'enrichir et mener la vie de château par le biais de fantoches partis politiques de cirque destinés à mettre main basse sur la capitale Tunis et de satisfaire des caprices ridicules et contradictoire au bon fonctionnement régulier d'un état.
De rappeler que des expériences furent ratées dans un passérécent, certainement sur avis d'experts socio-démographiques, étrangers particulièrement, et ce pour connaître des statistiques relatives aux densités de la population et de parvenir à envisager des lignes de conduite savamment étudiées, mais tout ce plan est vite négligé et considéré même contraire aux libertés dont ces dernières demeures mal définies pour certains...