
L’UGTT a appelé, dans un communiqué publié ce samedi 11 avril 2020, à la libération des trois personnes arrêtées à Sfax, dans le cadre de l’affaire du député Al Karama, Mohamed Affes.
Mohamed Affes avait accusé, le 24 mars dernier, des représentants de l'UGTT à Sfax de l’avoir agressé. Publiant des photos de son visage tuméfié, Affes a expliqué que les représentants l’UGTT ont refusé sa présence au Comité de suivi de la crise à l'administration régionale de la santé pour la simple raison qu’il est membre de la Coalition Al Karama, considérant que cela est irresponsable et accusant l’UGTT de faire de la politique.
Depuis, les tensions qui caractérisent la relation entre l’UGTT et Al Karama ont été intensifiées. La centrale syndicale accusant Al Karama d’être un parti rétrograde, obscurantiste et sanguinaire et le parti accusant la centrale syndicale d’être le fief de la corruption.
L’UGTT a d’ailleurs estimé que l’arrestation des trois personnes, dont un syndicaliste et l’émission d’un mandat de dépôt à leur encontre, c’est continuer dans la voie des campagnes menées contre elle par ses ennemis idéologiques. Elle a réitéré que l’affaire Affes est une comédie qui a pour but de dénigrer les syndicalistes et de les diaboliser, appelant à ce que le député Al Karama cesse ses visites de provocation aux CHU et aux institutions sanitaires de la région.
La LTDH, qui a publié un communiqué sur le sujet le 8 avril, a relevé, de son côté certaines incohérences qui dénotent de pressions qu’aurait subi la justice pour finir par émettre des mandats de dépôt à l’encontre des concernés. La ligue a exprimé des inquiétudes à ce sujet.
« Il est étrange que l’équipe anti criminelle d’El Gorjani soit chargée de l’affaire alors que Sfax compte de nombreuses équipes judiciaires compétentes. Il est aussi anormal que le représentant du procureur de la République se rende dans le bureau du juge d’instruction et insiste pour qu’un mandat de dépôt soit émis contre les accusés, comportement qui n’est pas d’usage devant les juges d’instruction et qui vient confirmer le caractère politique des poursuites » a-t-elle souligné.
A la même date, le parti des travailleurs, a estimé que la décision du juge d’instruction près du Tribunal de première instance de Sfax, d’émettre un mandat de dépôt à l’encontre des accusés dans l’affaire Affes est une décision politique prise sous la pression d’une « partie politique parlementaire rétrograde qui n’a jamais cessé de crier son hostilité envers les syndicalistes et l’UGTT ».
Le parti a aussi appelé à la libération des concernés et à l’ouverture d’une enquête sérieuse et objective dans cette affaire.
Rappelons que l’UGTT a depuis le début accusé Mohamed Affes d’avoir tout planifié pour créer le buzz et atteindre les syndicalistes. L’union régionale du travail de Sfax a démenti les accusations d’Affes dans un communiqué qui relate les faits survenus le jour de la prétendue agression.
M.B.Z
Depuis la revolution, l'ugtt qui est censé defendre les interets des travailleurs, s'est comporté toujours comme un parti politique anti gouvernemental , et on remarqué ce comportent surtout pendant les deux années lors de la gouvernance de la troyeka où l'ugtt a provoqué queques milliers de grèves, que la tunisie n'a pas vu tout le long de son histoire après independance.
Des milliers d'entreprises ont mis la clef sous la porte provquant des centaines de milliers de chomeurs et des conséquences désastreuses sur l'economie du pays.
Pa ailleurs les dirigents de ll'ugtt qui se reclament ouvertement de la gauche radicale tunisienne n'ont jamais acceptés les resultas des urnes lors de toutes les élections et surtout les elections de l'assemblée constituante où les partis de mouvance islamiques ont raflés la majorité des vois. Et depuis ce jour là l'ugtt se comprtait comme un parti politique au sevice des partis gauchistes qui ont essuiyés une defaites électorale monumenrale .
De nos jours, il faut reconnaitre que les agissements de l'ugtt et ses membres constituent un fardeau pour le pays tout entiers et une ménace réelle et serieuse pour la démocratie naissante en Tunisie, et l'affaire du député Le docteur Affess est un un example parmis d'autre sans parler de la corruption et les recrutements douteuses aux sein des entreprises publiques qui sont aux bord de la faillite.
Tant que l'ugtt detient le monopole syndicale en tunisie, et fait tout son pouvoir pour barrer la route à tout autre mouvement syndical, je pense que les choses vont s'empirer et, l'avenir du pays s'annonce incertain.
Lillathom Abir Moussi la patriote.
Bayouâa wa oui-oui.
Jusqu'à présent , il a presque toujours obtenu ce qu'il voulait
alors pourquoi ne pas continuer .
D'un autre côté Pourquoi l'UGTT qui est soumise aux dispositions de la Loi d'accès à l'information continue à refuser de lever le voile sur son financement public et continue toujours de cacher ses états financiers et elle refuse de les communiquer ( malgré les demandes des instances officielles) ?
Avec cette attitude suspecte, qui est aux antipodes de la culture de la transparence, l'UGTT défie la Loi et continue à se morfondre dans l'opacité.
Pourquoi l'Etat continue il toujours à fermer les yeux a des agissements illégaux ? Le temps n'est il pas encore venu pour agir dans le strict respect de la loi ?
En 2019 ils vous ont ajouté Fernandel, les charlots et les marchands de fiel, à travers des élections gérées par Jean-Marie Biguard et Toto la barbe bleue.
Vivement ce Covid19, qui sait ? Peut-être ce peuple réalisera qu'il est le Seul 'DINDON' de la farce, écrite par le anglais, réalisée par les USA, fiancée par les pays du golf et reprise en farce 2.0 par les turcs. Pauvres Tunisiens.
Ne blâmez pas les Marocains, les Algériens et même les Libyens lorsqu'ils racontent des anecdotes en illustrant 'UNE TUNISIEN' au lieu de 'JHA'. C'est la vérité qui blesse.
NB. Il parait que le prochain 'Printemps arabe' fera en sorte de mettre en avant une théorie exceptionnelle comme d'habitude, est que Dieu est d'origine Tunisienne, on verra cette fois-ci de quelle région, en 2011 un Braouiti de sidi Bouzid, pourquoi pas cette fois-ci de Gafsa, ou de Gabès, ou de Jendouba ...........
l'UGTT ou les autres ne sont pas au-dessus de la loi.... Il faut dire que la justice a été manipulée pour plus de 60 ans...
Il faut arrêter avec ces deux poids de mesures.... .... quand la loi sera appliquée...on aura une Tunisie meilleure..'
Aucun respect pour la justice.
J'ai vu les images de la récente visite du ministre de la santé Mr Mekki à Sfax et le fait comment il a été reçu par les membres de ce syndicat à son écart.
Des images que les médias du système corrompu ont occulté ( contreproductive....)
Alors que tout un peuple et son gouvernement sont mobilisés contre un ennemi dévastateur qui risque de nous anéantir.
La direction de l'UGTT a mobilisé ses bandits à Sfax, pour tenter de perturber le travail du ministre et les soldats blancs .
Les choses sont claires :
Les lobbys médicaux ces marchands de la guerre et de la mort, ceux qui sont habitués à sucer le sang des tunisiens habitués à vendre des produits médicaux périmés à des prix exorbitants et mettant la santé des gens en danger au système publique de santé, , n'ont pas pardonné au ministère de la santé de les avoir écarté cette fois ci des marchés.
La direction de l,'UGTT concernée participe à cette entreprise .
L'UGTT demande à la justice de libérer des bandits membre de ce syndicat qui ont violenté un député ( quelque soit son étiquette politique) au mépris des lois et des règles , de les libérer aux mépris des lois et des règles.
Cela confirme sue que pensent de plus en plus de tunisiens de ce syndicat.
Ce syndicat est devenu un handicap majeur contre la réforme de ce pays.
Il est clair que le souhait de tous ces clans mafieux aujourd'hui, est l'échec du gouvernement et du peuple tunisien dans la lutte contre ce virus de nous emporter et eux avec.
Ils s'en foutent de ce peuple , qu'il crève, ce qui compte pour ce sont leurs intérêts.
J ai oublié :
'L'appel des 68 au chef du gouvernement s'inscrit dans ce cadre ", une manoeuvre pour semer les doutes dans les esprits et s'inscrit dans cette guerre des clans mafieux contre le gouvernement et le peuple.