La section protection sociale et la Fédération générale des retraités relevant de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) ont appelé les retraités, dans un communiqué daté du jeudi 1er février 2024, à un rassemblement de protestation le mercredi 14 février 2024 à l’avenue Habib Bourguiba.
L’objectif de cette action est de dénoncer la situation actuelle des retraités, notamment une baisse du pouvoir d’achat à cause de la hausse du coût des soins, la pénurie de médicaments de maladies chroniques et une inflation qui a englouti les augmentations de pensions.
La centrale syndicale a appelé les retraités de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) à manifester pour la majoration périodique du salaire minimum interprofessionnel garanti (Smig) et par extension l’augmentation de leurs pensions et celles de la Caisse nationale de retraite et de prévoyance sociale (CNRPS) pour la révision de la loi N°2007-43 afin de bénéficier des augmentations résultant des ajustements automatiques des salaires.
L'organisation a également rappelé les déboires des retraités pour bénéficier des services de la Caisse nationale d'Assurance-Maladie (Cnam).
Une bonne partie d'entre eux, ne travailla jamais.
Il faudrait que Kaissoune, notre honnête et intègre président sans peur ni reproche, s'assure que les ramassis d'escrocs, khriji, Jbéli, La3rayidh, Bhiri ......................ainsi que tout le toutim de la cour des miracles de la troika, ne se sont pas octroyés des cotisations fantoches couvrant les périodes qu'ils passèrent en prison ou à l'étranger, pour les plus lâches, qui fuirent le pays, lorsque l'heure de rendre des comptes, se fit pressante.
Merci
Pourquoi les retraités ne bénéficient pas des crédits à court terme des caisses CNSS et CNRPS?
Merci .
N'est-il pas plus correct et logique d'augmenter le smig comme promis par le ministre des affaires sociales lors de l'une de ses interventions en 2023.
Il est certains que toutes les caisses souffrent d'un déficit, MAIS pour ces retraités et en présence d'une inflation galopante , il faudrait y avoir quand même des solutions sans recours à ces actes de nature à chambarder davantage la situation .
