Des centaines de parents se sont rassemblées, ce mardi 24 avril 2018 devant le siège de l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) au Bardo et ce suite à l’appel lancé par le collectif « Les parents en colère » afin de contester la suspension des cours et le blocage des notes. Cette manifestation, qui aurait du avoir lieu, samedi 21 avril 2018 vient, en effet, revendiquer la reprise des cours dans le but de réussir l’année scolaire.
Selon le collectif, les parents s’engagent à recourir à toutes les formes de protestation pacifiques et légales afin de protéger les intérêts des élèves appelant, de ce fait, à unir les rangs et faire face à cette crise entre le syndicat de l’enseignement secondaire et le ministère de l’Education.
Parallèlement au rassemblement des parents révoltés devant le siège du Parlement, plusieurs enseignants du secondaire se sont, eux aussi, rassemblés devant le siège de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) à la place Mohamed Ali, et ce pendant le déroulement de la réunion consultative au siège central de la centrale syndicale.
Les enseignants expriment à travers cette manifestation leur soutien à la décision de la Fédération générale de l’enseignement secondaire concernant la suspension des cours et le maintien du blocage des notes, condamnant l’inaction de l’autorité de tutelle face aux revendications des enseignants.
Rappelons que la Fédération générale de l’enseignement secondaire a décidé lors de la réunion de sa commission administrative sectorielle tenue lundi 23 avril 2018 le maintien de la grève et ce contrairement à la décision de la commission administrative nationale de l’UGTT.
B.L
Commentaires (6)
CommenterEt leurs enfants où sont ils?
Ecole publique,le maillon absent.
Leurs retour est vivement applaudie.
Tous derriere l'ATUPE ,ou toute autre structure pour l'interet de nos enfants et ce; par l'utilisation exclusif du facebook.
BCS doit sortir de sa torpeur
Il était temps
Urgent : Pour un référendum interdisant les grèves dans le secteur public.
Nous payons NOS impôts à l'Etat, et NOUS EXIGEONS de cet Etat une contrepartie.
Le fonctionnaire est au service du citoyen contribuable qui paye ses salaires.
Le fonctionnaire qui n'a pas compris ou qui n'accepte pas cette réalité doit chercher un autre job dans le privée ou monter sa propre affaire.
Aujourd'hui, l'Etat est au bord de la faillite grâce à ces syndicats. Il emprunte pour payer les salaires de ses fonctionnaires, pour financer la consommation et payer ses dettes. De plus ces syndicats sous l'emprise du couple bâtard islamo-communiste prive cet Etat de ces revenus fiscals (en refusant toute réformes) miniers (gréve phosphate à Gafsa, pétrole à Tataouine, Gaz à kerkenah) ou revenus domaniaux (vol des terres agricoles de l'état par les anarchistes et les mafieux)
La situation ne peut plus durer, elle est identique à celle de 1882 qui saiettait soldé par la colonisation Française.
Les fils de P******(autocensure) agissent sciemment pour la destruction de la République Tunisienne par la vente du pays à prix bradé et le retour de la colonisation. CE SONT DES GOUMIS FILS DE GOUMIS nostalgiques à leurs seigneurs colonisateurs.
Ne les laissons pas faire, SOYEZ POUR LE REFERENDUM POUR L'INTERDICTION DES GREVES POUR LES FONCTIONNAIRES DE L'ETAT COMME TOUT PAYS QUI SE RESPECTE.