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Les inspecteurs au ministère de l’Education : Il faut trouver rapidement des solutions
23/09/2021 | 15:56
2 min
Les inspecteurs au ministère de l’Education : Il faut trouver rapidement des solutions

 

Le Syndicat général des inspecteurs de l’enseignement secondaire a appelé le ministère de l’Education nationale à accélérer la recherche de solutions aux problématiques qui ont accompagné la rentrée scolaire dans le cadre de la coopération avec le partenaire social représenté par les syndicats de l'éducation.

 

Dans un communiqué daté de jeudi 23 septembre 2021 et rapporté par la Tap, le syndicat a mis en garde contre le fait que l’année scolaire a démarré dans des circonstances difficiles, de nombreux établissements ayant connu une surpopulation sans précédent, le nombre d'élèves dépassant leur capacité, outre la détérioration des infrastructures et le retard de la publication des textes réglementaires comme le calendrier scolaire et celui du contrôle continu.

l’organisation a, par ailleurs, demandé l'ouverture d'une enquête administrative sur ce qu'elle a qualifié d'abus commis par un certain nombre de délégués régionaux de l'éducation à l'encontre des inspecteurs, et le manquement de certains d’entre eux à leur devoir de faciliter la tâche des inspecteurs, les blâmant de la détérioration de la situation éducative. Le syndicat a profité de l’occasion pour activer les textes légaux réglementant les tâches des inspecteurs, notamment le dernier en date la note ministérielle sur la facilitation des missions publiée le 15 septembre, et qui précise, selon ce même document, les aspects organisationnels administratifs et pédagogiques.

 

Le Syndicat général des inspecteurs de l’enseignement secondaire a rappelé que leur corps travaille en coopération totale avec toute la famille éducative afin de développer les performances de l'école publique, niant toute tentative d’outre passer leurs fonctions habituelles grâce à cette note, suite au refus de son application par la Fédération générale de l’enseignement secondaire.

 

Notons que la Fédération générale de l’enseignement secondaire a estimé que cette note ministérielle alourdit les tâches des inspecteurs en leur confiant de nouvelles missions hors de leurs attributions initiales et créant une interférence intentionnelle entre ce corps et les autres acteurs du processus éducatif. A préciser que la Fédération de l’enseignement de base a refusé aussi l’application de cette note.

 

I.N

23/09/2021 | 15:56
2 min
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Commentaires
Warrior
la France et son système .... votre malheur ........
a posté le 24-09-2021 à 15:51
1. enseignement calqué sur la France = grosse erreur depuis 56.
vous n'ètes pas la France.
au lieu de copier comme moutons écervelés, faite travailler votre imagination, trouver un modele d'enseignement qui colle avec la réalité du pays.

vous produisez TROP de diplomés franco français . ( cf. sur BN, on a discuté des pharmaciens).
enseignement théorique. bourrage de crane, inutile ( enseignement de perroquet, en pharmacie ).

2. les pays qui réussissent utilisent leur langue, pas le français.
Thailand, et Turquie ... jamais colonisés, s'en sortent mieux.
utilisez l'arabe et l'anglais.
l'arabe est plus compact. écriture normalisée. grammaire cartésienne.
optez pour le modèle universel: University/ BMD. pas d'écoles, de prépa .

3. leçon d'israel:
langue hébreux et anglais. pas de français ni polytechniciens.
sans phosphates ni pétrole, le PIB: $ 40 k.

4. leçon de Corée:
colonisés par le Japon, les coréens détestent le Japon et le japonais. ils ne font pas leurs études au japon.
on utilise sa langue, le coréen.
on construit des colosses industriels capables de concurrencer les japonais.
ainsi, Samsung a dépassé Sony.

5. conclusion:
arrètez de copier la France: sa langue, son costume cravate ( par 40 deg !!), sa plaque minéralogique ( manjamiya !!), sa carte grise. pourquoi grise ?
sa polytechnique, inexistante au Calssement de Shenghai.
copiez la voiture Renault, l'avion Airbus ... pas son heaurtheaugraaaaphe, et son plus que parfait du passé simple du subjonctif . oufff ...
OUBLIEZ LA FRANCE !!!



mjr
Conséquences incalculables
a posté le 23-09-2021 à 18:12
La plus grande catastrophe qui a frappé le pays et dont les conséquences seront incalculables et ressenties pendant les décennies à venir est l'etat de l'enseignement qui a commencé à se déglinguer depuis les années 80. .
Ni le régime avant 2011, ni le régime batard des dix dernières années n'a daigné s'occuper de ce problème.
Si la situation économique peut être redressée en quelques années, moyennant une politique adéquate ,le problème de la jeunesse ne sera pas résolu parce que 100 000 jeunes sont dans la rue tous les ans sans aucune perspective hors du système éducatif ou des circuits économiques..Un vivier pour le banditisme et l'emi clandestine
Des générations et des générations ont été perdues et d'autres le seront ;
A moins d'une prise de conscience de tous les citoyens, parents, enseignants,société civile pour limiter les dégâts.
Quant aux pseudo politiciens l'histoire les jugera sur la déliquescence du pays.
Tunisino
Personne n'entendra
a posté le 23-09-2021 à 16:36
Personne n'entendra, tout le monde est absorbé par la politique pour le passé, ni présent, ni futur, et que les tunisiens boivent de la mer! Sallaouti est un communiste proche de l'Ugtt, il est plein de bonnes intentions, mais il ne peut rien faire seul. La Tunisie n'aura aucun avenir tant que les littéraires sont à la commande, ils ne sont pas faits pour la gestion. Un projet ambitieux, patriote, centriste modéré, et scientifique, est la meilleure solution pour que la Tunisie devienne un pays agréable à vivre pour les tunisiens du présent et du futur. De toute façon, ce ne sont pas les politiciens chassés ou écartés par Bourguiba ou Ben Ali qui vont le faire, ils sont trop égoïstes pour servir les tunisiens, les exemples ne manquent pas, de BCE, à Ghannouchi, à Saied.
retraité
les inspecteurs de l'enseignement primaire et secondaire ?
a posté le 23-09-2021 à 16:35
ce fut un temps dans les années cinquante soixante et soixante dix ou les inspecteurs de l'enseignement font un travail pédagogique et inspectent les enseignants de leur aptitude et leur savoir d' inculquer aux élèves le savoir et donner des notes professionnelles pour avancer dans leurs hiérarchies respectives et d'avoir des primes de rendement mais surtout depuis la deuxième république et plus particulièrement après la révolution bénie les syndicats professionnels font la pluie et le beau temps toujours plus de salaires et des primes moins de travail et de rendement et avancement l'age des retraites avec pour résultats d'élèves qui décrochent l'école et le lycée et les nantis réussissent au coup des cours privés payés au prix d'or .