
L'universitaire et écrivaine, Olfa Youssef, a réagi aux peines prononcées hier, 22 mai 2024, à l'encontre des journalistes Borhen Bssais et Mourad Zeghidi.
« Je m'excuse du fond du cœur auprès de tous ceux que j'ai critiqués et même parfois insultés après 2011...
Non seulement parce que j'ai moi-même changé... et que je m'efforce de ne pas répondre aux insultes par des insultes...
Mais je leur présente mes excuses car, malgré tout, ils ne m'ont pas emprisonnée... Oui, ils m'ont fermé au nez la porte des médias... Ils m'ont empêchée d'apparaître dans plus d'une émission... Ils ont dirigé une armée électronique pour me harceler verbalement... et j'en ai profité pour écrire un livre sur les insultes.
Ce n'étaient pas des anges... mais ils ne m'ont pas emprisonnée... », lit-on dans un post Facebook, daté de jeudi 23 mai 2024, écrit par l’écrivaine.
Mme Youssef a martelé dans ce même statut : « Si j'avais le pouvoir sur le monde, j’aurais fermé la plupart des prisons... et j’en aurais seulement laissé certaines pour les criminels violents dont la présence dans la rue constitue un danger pour la société...
Mais je n'ai d'autorité que dans mon cœur... c'est l'autorité de la prière.
Oh mon Dieu, soulage la détresse de tous les opprimés, des impuissants et des épuisés... Il n'y a de pouvoir pour eux que toi, gloire à toi... et tu es capable de tout... ».
I.N.

Chez nous les Tunisiens, nos Universitaires, ne pensent qu'à arracher leurs salaires à l'Etat. Au lieu de consolider les liens déjà existants au sein de leur population tunisienne depuis 1445 ans, ils font tout pour nous détruire notre unité sociale et sociétaire. Ils s'attaquent à notre religion musulmane et même à nos Savants Oulémas de l'Islam, pour nous imposer leurs dieux grecs et compagnie. Ils ne se rendent compte de leurs bêtises, que lorsque les médecins leur annoncent la fin de l'espoir de leur propre vie.
Allah yostirnè wè yostirkom wè yostir Tounes.
Je cite:
Aristote: "Le but de la cité, c'est-à-dire de la vie en communauté, n'est pas seulement de survivre, mais de réaliser la vie digne de l'homme, c'est-à-dire une vie selon la raison."
Thomas Hobbes, le contrat social: Pour trouver le fondement légitime de l'?tat, Hobbes a recours à l'hypothèse de l'état de nature. En effet, c'est en imaginant la situation des hommes sans Etat qu'il est possible de déterminer les raisons pour lesquelles ils décident de s'associer, et donc le fondement qui peut être légitime pour l'Etat. Or, pour Hobbes, l'état de nature est un état de guerre de tous contre tous. En effet, puisque aucun pouvoir supérieur n'existe, c'est la seule force qui règle les rapports entre les hommes. Aussi, aucun Homme n'est à l'abri d'une mort violente. C'est pourquoi, par une décision de la raison leur apprenant que la vie est leur bien le plus précieux, les hommes décident de s'assembler pour fonder une autorité qui, seule, peut user de la force pour maintenir un état de paix. Par le contrat, chaque individu accepte de se démettre de sa force naturelle, et la remet entre les mains de l'?tat (le Léviathan) qui gouverne au nom de tous. Le contrat ne vaut donc que si chacun accepte de se soumettre à l'autorité de l'?tat, qui garantit en retour aux citoyens la sécurité intérieure et la paix extérieure.
Blaise Pascal, la justice: Pascal réalise tout de même que la justice seule ne peut pas tenir. En effet, il y aura toujours des hommes pour utiliser la violence contre la justice. Il faut que la justice soit forte pour tenir. Ce qui est juste doit donc être fort, ou encore ce qui est fort juste. La force est une nécessité pour garantir la justice. Il faut faire en sorte que la force soit toujours juste.
Emmanuel Kant: "L'homme a une inclination à s'associer, parce que dans un tel état il se sent plus qu'homme, c'est-à-dire qu'il sent le développement de ses dispositions naturelles.", Emmanuel Kant, idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique
Jean-Jacques Rousseau: Le contrat social est un pacte qui détermine l'organisation d'une société. Rousseau remet en question le contrat de servitude théorisé par Hobbes. --> Rousseau définit un contrat social qui assure la sécurité des hommes mais protège également leur liberté. Il tente donc de répondre à la question suivante : comment renoncer à la liberté sauvage sans perdre sa liberté tout court?
Emile Durkheim: "La cause déterminante d'un fait social doit être recherchée parmi les faits sociaux antécédents et non parmi les états de la conscience individuelle.", '?mile Durkheim, Les Règles de la méthode sociologique
voir le lien web: ***
Fazit: Madame Olfa Youssef préfère apparemment le retour à l'état de nature, un état de guerre de tous contre tous par les insultes et la provocation au nom de la liberté sans limite...
Vous avez dit, élites.
Bélléhi à qui, faites-vous allusion ?
à la future présidente de la république, za3ma.
à peine que quelqu'un pète, un peu plus haut que le champ de réflexion de la masse, nous voilà partir dans des délires, des driftt à n'en plus finir !!!
Les réseaux sociaux que des insultes des gros mots des voyous et qui osent débattre des sujets politique, sociaux...
Malheureusement, c'est ca notre société..
Mettre de l'ordre, des règles (sans passer par la prison) dans les médias c'est primordial. Désolée les journalistes (médias 4eme puissance), les avocats et juges (1ere puissance doivent donner l'exemple aux citoyens.
On vit une telle gabegie depuis plus 12 ans aucun respect pour l'état (tchlik edawka) et ses institutions...
Que du blablabla sans structure
Les nouveaux mots d'ordre sont donc : Régner en semant la peur et la terreur plutôt que par la diffusion des lumières et un climat de confiance !
Et pour finir, des fausses informations et des théories de complot sont élaborées sans cesse par les plus hauts sommets de l'état même, on pourrait citer le fameux cyclone "Daniel" ou les propos tenus cautionnant une hypothétique "invasion" des subsahariens. Des discours irresponsables incitant à la Haine. Ceci est inscrit aussi dans le fameux texte du décret-loi 54 § 24 "quiconque utilise sciemment des systèmes et réseaux d'information et de communication en vue de produire, répandre, diffuser, ou envoyer, ou rédiger de fausses nouvelles, de fausses données, des rumeurs, des documents faux ou falsifiés ou faussement attribués à autrui dans le but de porter atteinte aux droits d'autrui ou porter préjudice à la sureté publique ou à la défense nationale ou de semer la terreur parmi la population."
Les journalistes fut un temps leur métier était noble, plus aujourd'hui que propagande et manipulation. Simple on ne peut plus regarder un débat ou émission sans être méfiant. Regardez les médias français.....
Je salue votre courage quand meme et je ne doute pas de votre sincérité à faire de ce pays une phare dans un trou de noirceur.
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Et ainsi, Madame Youssef voudrait rendre implicitement les insultes/injures non punissables /punies par la loi (puisqu'elle voudrait "laisser certaines prisons [seulement quelques unes] pour les criminels violents dont la présence dans la rue constitue un danger pour la société"
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Et ainsi tout le monde pourrait insulter tout le monde en hors-la-loi... Il ne manque que ça en Tunisie:)
Non, Chère Compatriote Madame Olfa Youssef, il faudrait plutôt motiver (obliger) par la loi les Tunisiens à être poli, hygiénique et assidu. Seulement avec une éthique platonique sans l'effet obligatoire des lois, aucune paix sociale ne serait possible.
Madame Olfa Youssef a compris que les insultes/injures sont punissables (punies) par la loi. Il est temps de transmettre ce fait à tous les Tunisiens et en particulier à certains commentateurs de Business News TN.
Mon conseil: Il ne faudrait pas réagir à la provocation par l'injure et les insultes. En effet, celui qui vous chuchote des provocations à l'oreille, sait pourquoi il le fait (pensez au coup de tête de Zidane à Marco Materazzi --> oui, Materazzi a eu ce qu'il voulait...)
Bonne journée
PS: l'insulte est plus grave que l'injure, et l'outrage est encore plus grave que l'insulte. L'outrage est une injure (par la parole, le geste, l'écrit ou l'image) envers une personne chargée d'une mission publique (policier, pompier, etc.).
@Madame Olfa Youssef : Pourquoi écrire un livre sur les insultes? Non Madame, il faudrait seulement expliquer aux Tunisiens que Les insultes et outrages ne sont pas à prendre à la légère. Un mot de trop peut envoyer devant la justice. En effet, l'injure est punie par la loi, qu'elle soit publique ou non publique. Les sanctions sont plus lourdes pour l'injure publique...
j'ai été très violemment agressé par 4 individus dans un kiosque sur la route du relais.
Caméra de surveillance ayant filmé, immatriculation de leur véhicule, et qu'a fait la police ?
Rien, car il est tellement plus urgent de s'occuper de ceux qui ne pensent pas comme il faut !!
Le prochain plongeon, ken 7abe Rabbi et bikoudritte illéh, nous mènera droit au Pandémonium, capitale du royaume des Enfers.
Qui comprend les tunisiens ?
J'aimerais en entendre et lire davantage de la part de tous les Tunisiens.
Allah Yar7am Wèldik !
Votre poste a le pourvoir de mettre à nu les aberrations de ce pouvoir qui n'aura jamais le pouvoir moral ou celui de la justice.
On a le pouvoir de lui enlever le pouvoir de mettre en prison. On a le pouvoir d'arrêter le pouvoir de l'arbitraire. Echabbi disait que force au destin de répondre à condition de vouloir.
Sans regretter les prédécesseurs, on ne peut que vomir l'actuel pouvoir.
Si la situation se calme dans le pays l'ordre et le calme sera rétabli le président gracierait des milliers de personnes en 1/4 de tour .
Assez d'eau l'ami ! Pardon de te le dire et te décevoir, mais la vérité est qu'une grenouille restera toujours une grenouille..