
Le tribunal de première instance de Tunis a prononcé, mercredi 22 mai 2024, son verdict dans l'affaire des journalistes Borhen Bssais et Mourad Zeghidi, les condamnant à un an de prison ferme.
Les deux journalistes ont été condamnés à six mois pour atteinte à l’ordre public, et six autres mois pour attribution de faits non avérés à un fonctionnaire public, a précisé le porte-parole du Tribunal sur Mosaïque FM.
La nouvelle a suscité la colère et l’indignation d’une partie des internautes. Ces derniers ont tenu à exprimer cela et à dénoncer la chose. L’ancien élu et membre d’Attayar, Zied Ghanney a écrit « Liberté pour Borhen, liberté pour Mourad. Liberté pour la presse tunisienne. Liberté pour les Tunisiens ».
Son camarade et ancien ministre de l’Éducation, Mohamed Hamdi a, également, commenté la chose. Il a considéré que le journalisme était désormais un crime jusqu’à preuve du contraire.
L’ancien chroniqueur et ancien collègue de Mourad Zeghidi et Borhen Bssais, Zied El Heni a indiqué être triste de ne pas pouvoir attendre ces derniers à leur sortie de prison. Il a assuré que le dossier était infondé et qu’il n’y avait pas lieu de prononcer de telles sentences.
Le chroniqueur de la radio Diwan Fm, Moez Attia s’est, aussi, exprimé à ce sujet. « Les termes et les mots me trahissent... Une année de prison en jours et en nuits, y compris l’été, l’automne, l’hiver et le printemps ? Pour quelle raison ? Pour quel crime ? ». Il a ajouté à sa publication les hashtags « À bas le décret 54 » et « Le journalisme n’est pas un crime ».
De son côté, l’avocate et membre du comité de défense des détenus dans l’affaire de complot, Dalila Ben Mbarek Msaddek a considéré que le jugement prononcé contre Mourad Zeghidi et Borhen Bssais représentait le procès de la liberté d’expression et des intentions. Elle a affirmé que le procès de la vie politique était celui de l’affaire de complot et que le procès de l’humanitarisme était celui des poursuites visant les associations antiracisme. Pour elle, personne n’est à l’abri des poursuites.
S.G
Une presse tunisienne, qui a trahi le peuple tunisien par les mêmes mensonges et par les mêmes intrigues contre la réussite de la transition démocratique de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011. Et ce n'est pas par hasard que je colle à l'honnêteté acrobatique de ce merveilleux journal de BN.
Maintenant que la Divinité, leur fait payer leurs crimes en forme de boomerang, afin qu'ils sentent ce qu'ils ont eux-mêmes intrigué contre les plus pacifistes parmi ceux d'Ennahdha et d'Al-Karma, qu'ils appellent mensongèrement "islamistes", ils veulent qu'on leur oublie, que ce sont eux-mêmes qui nous ont menés à ce retour catastrophique vers les pires des dictatures de ce monde. Devrions-nous leur pleurer un malheur général, dont ils sont les acteurs fautifs principaux?
Nous leur disons toujours que Allah yomhil wè lè yohmil ou Dieu tarde mais il garde. Mais néanmoins, ils se prennent toujours pour plus malins que la face de la lune,
qu'on ne voit jamais depuis notre planète terre.
Allah yostir Tounes.
Maintenant, Fortuna Düsseldorf, vient de gagner son match de relégation contre Vfl Bochum, par 3-0. Un beau match. J'aime beaucoup Düsseldorf qui est la première ville d'Allemagne, qui m'a accueilli avec beaucoup d'amour, de belles discothèques et de belles filles. Il me fût impossible de visiter même l'ensemble des nombreuses discothèques de Düsseldorf Altstadt. Je me rappelle de la discothèque "Dunkelkammer". Je dansais très bien sur la musique de James Braun, Berry Wit, Tom Jones, etc. Jamais je n'ai raté le lit avec celles qui ont dansé avec moi. Le sang tunisien l'imposait.
Bonne soirée.
Yehdik ye rajil, vous avez une image à préserver. Il ne faut pas écrire ce genre de commentaire. Panique à businessnews :). Abel aime les disco et belles filles . Looool


