les premiers rescapés arrivent ce soir

En 1980, le Président Hafez Al Assad échappait de justesse à un attentat fomenté par l'insurrection des frères musulmans Syriens de l'époque, menée par le frère musulman Adnan Saad Al Dine.
Une bombe était jetée dans le bureau de Hafez Al Assad et devait couter la vie à son garde du corps.
Suite à cet attentat, Le Président Al Assad convoquera l'ambassadeur des Etats Unis à Damas, Talcott Seelye, ce même ambassadeur qui devait devenir quelques années plus tard ambassadeur à Tunis.
Hafez Al Assad aurait dit à l'ambassadeur Américain :
« Je sais que vous êtes derrière cette insurrection des frères musulmans et derrière cet attentat ! »
Ce à quoi Talcott Seelye aurait répondu en regardant droit dans les yeux Hafez Al Assad :
« Monsieur le Président, les Etats Unis ne sont en rien responsable de cet attentat, je vous en donne ma parole d'honneur ».
Robert Baer, agent de la CIA au Moyen Orient, écrira plus tard dans ses mémoires.
« Dans les années 1980, nous voulions Hafez Al Assad mort ou vif et avons financé le roi Hussein de Jordanie, lui-même un agent de la CIA, pour qu'il entraine les frères musulmans Syriens dans son pays a des techniques de guérilla.
C'est le Mossad qui a appris la technique des voitures piégées aux islamistes Syriens. Ces mêmes voitures piégées qui ont fait des centaines de morts à Damas.
Nous avons même soutenu les phalanges Chrétiennes Libanaises et le Major Haddad et financé les camps d'entrainement au Liban qui armaient les frères musulmans Syriens.
Voir les islamistes Syriens prendre le pouvoir à Damas était notre objectif.
Nous savions que Hafez Al Assad, comme tous les Nationalistes Arabes, ne ferait jamais la paix avec Israël.
La situation aurait été différente une fois les islamistes Syriens au pouvoir. »

F.M. Alias JOHN WAYNE
Ancien Elève au Collège Sadiki
Diplômé d'Histoire et de Sciences Politiques de l'Université Paris-Sorbonne.
Ancien Fonctionnaire aux Ministères des Affaires Etrangères et de l'Intérieur Tunisiens des gouvernements d'Habib Bourguiba et de Zine El Abidine Ben Ali.
Diplomate de carrière et spécialiste de la sécurité et du renseignement.

Le quotidien libanais Al Diyar a rapporté jeudi soir que la bousculade avait été déclenchée par l'arrivée sur la scène d'un grand convoi militarisé transportant le vice-prince de la Couronne âgé de 30 ans, qui est également ministre de la Défense du pays.

« Le grand convoi de Mohammad ben Salman Al Saoud, fils du roi et vice-prince héritier, qui était escorté par plus de 350 agents de sécurité, 200 de l'armée et 150 de la police, roulait à toute allure sur la route pour se frayer un chemin parmi les pèlerins qui allaient vers le site du rituel de la 'lapidation du diable', provoquant la panique chez les millions de pèlerins qui se promenaient dans la direction opposée et a causé la bousculade », a rapporté le journal

A côté de la plaque

Plus de 10 000 et non 8300 pèlerins Tunisiens ... chiffre erroné
Ils rentrent sain et sauf ...
Que l'Arabie Maudite présente ses condoléances aux musulmans ... l'Arabie Maudite est coupable ...
De plus ... le nombre de morts avoisinent les 2 000 et non 700 malheureuses victimes .... du sort et du destin ...
Ne dédommagez pas l'Arabie Maudite ... elle a sa responsabilité ... faut pas l'oublier ...
Ce pays doit payer des dommages aux victimes et attendent des excuses .. HC