
Kamel Barbouch, porte-parole du tribunal de première instance de Tunis, a expliqué, dans une déclaration à la TAP le 18 février 2016, la libération de l’homme d’affaires belge, impliqué dans une affaire d’importation d’armes.
Ainsi, Kamel Barbouch a déclaré que l’homme d’affaires belge et ses associés (un français et une tunisienne) ont été libérés car le pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme a nié le caractère terroriste de l’affaire. Par conséquent, l’affaire a été renvoyée à la juridiction de Nabeul. Cette décision a été prise suite à l’enquête menée par la brigade antiterroriste de l’Aouina.
En effet, l’enquête a permis de qualifier certains actes comme des crimes de droit commun douaniers et autres. L’enquête a également prouvé qu’il n’y avait qu’un pistolet qui peut être qualifié d’arme à feu. L’homme d’affaires belge et ses associés avaient été emprisonnés depuis 6 jours.
Dans un premier temps, les autorités avaient évoqué une saisie exceptionnelle d'armes de guerre, ce qui avait immédiatement déclenché la polémique.
M.A
Commentaires (7)
Commenterbarbouses
QUELLE HONTE !!!!!
Quelle mascarade ; des douaniers qui ne différencient pas armes de guerre et jouets chose que personne ne la croit .
Il a été même dit que l'opération de suivi a commencé avant son arrivée en Tunisie .
Tout ça pour justifier la libération des responsables de l'opération terroriste??!!
Les douaniers ne doivent pas s'incliner s'ils ont raison ; c'est leur honneur et l'honneur de la TUNISIE qui sont en jeu
Mascarade
Sans commentaire
Une Douane totalitaire !
Est ce que les accusées faussement vont etre dedomagés pour un emprisonnement de 6 jours ?
rien à dire?
Caméra cachée!
"3ALA CHKOUN TJED LAHKAYA HATI?!"