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Le ministère de l'Intérieur explique son intervention à Kerkennah
15/04/2016 | 10:02
1 min
Le ministère de l'Intérieur explique son intervention à Kerkennah

 

Le ministère de l’Intérieur a publié un communiqué daté du 15 avril 2016 pour revenir sur l’intervention des forces de l’ordre à Kerkennah la nuit dernière.

 

Ainsi, le ministère explique qu’un groupe de personnes s’est rassemblé au niveau du port de Sidi Youssef à Kerkennah dans le but de couper la route entre le port et la société Petrofac. L’objectif étant d’empêcher six camions de parvenir à la société.

 

Selon le ministère, ce groupe de personnes a jeté des pierres et différents solides en direction des forces de l’ordre. Ils ont également coupé la route en brûlant des pneus et des bouts de palmiers. Ils ont également fait rouler des bouteilles de gaz en feu en direction des forces de l’ordre.

 

Les forces de l’ordre sont intervenues pour rouvrir la route et disperser les manifestants « dans le cadre de l’application de la loi et de la garantie de la liberté de déplacement et de travail ». Le ministère insiste dans son communiqué sur la nécessité de privilégier l’intérêt général et de continuer sur la voie du dialogue et de la négociation afin de parvenir à des solutions qui contentent les différentes parties.

 

M.A

15/04/2016 | 10:02
1 min
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Commentaires (8)

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Tunisien
| 15-04-2016 17:13
L'ensemble des tords semblent être mis à la charge de l'Etat et du gouvernement !
Quelque part ce raisonnement n'est pas faut car on oublie trop souvent que ces chômeurs de l'enseignement supérieur sont des assistés en puissance.
Ils devraient avoir honte de cette étiquette, s'ils étaient un tant soit peu instruits et dignes de leurs diplômes.
Ces pseudo instruits devraient méditer les propos d'un certain président des Etats Unis du nom de J.F. KENNEDY que je site : "Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays".
A lire ce qui précède, je comprends que ces braves chômeurs ont choisi leur voie... Ils ont suffisamment de force pour tirer leur pays vers le bas fond au lieu et place de l'extirper du sous développement. Il est plus simple de rejoindre des pays comme la Somali au lieu et place de suivre l'exemple de la Corée qui était au niveau de la Tunisie vers les années 1960.
Honte à ces intellectuels de pacotille et aux syndicats et autres défenseurs des droits des chômeurs. Ces derniers gagneraient en estime s'ils étaient un tant soit peu vigilants et attentifs aux droits de ceux qui sont empêchés de travailler...

BRAVO...FAITES VOTRE TRAVAIL....
| 15-04-2016 15:23
BRAVO, le MI...vous faites votre travail, et qu ils aillent se plaindre a la justice......
y en a marre des mendiants terroristes, qui empechent les societes de travailler...
ON VA A LA RUINE.....

Tunisien
| 15-04-2016 15:10
Encore une fois de plus le MI se justifie alors que, selon les propos rapportés, les gentils manifestants roulent des bouteilles de gaz en flamme en direction des forces de l'ordre...
Je suis curieux de lire les commentaires des gentils défenseurs des libertés et autres avocats de pacotille sur le civisme des manifestants. Ils devraient recommander aux forces de l'ordre, en échange de leur "cadeaux", de leur jeter des roses.
Pour ma part, j'ai du mal à faire la différence entre ces renégats et ceux du Chaambi.
A entendre les pseudo avocats, la préméditation n'est pas un crime.
Le vrai crime c'est de laisser ces braves gens et ceux qui les défendent en liberté, que dire en vie...

lechef
| 15-04-2016 11:51
Il faut résoudre les causes des problèmes survenus dernièrement à Kerkennah et non les conséquences.
Il faut poser la question : pourquoi tous ces problèmes et quels sont ceux et celles qui sont lésés ?
La réponse est très simple et si le gouvernement s'est attardé sur ces problèmes, il aurait les résoudre en partie et satisfaire certains de cette population.
Il faut savoir aussi que Kerkennah n'a connu aucun développement depuis 1956 et est toujours pénalisé par rapport à plusieurs régions tunisiens sembblable par le comportement syndical de ses habitants.
Pourquoi nous sommes arrivés à cette étape avec une armada d'agents de sécurité et d'équipements semblables à ceux utilisés dans une guerre , c'est la question qui se pose !!!
Ces conséquences sont des issues prévues à tout emploi de la force. C'est même naturel d'y arriver là sans aucun effort de résolution des souffrances des chômeurs et notamment des diplômés de l'enseignement supérieur.
Il faut savoir que cette région est entourée de 4 côtés par la mer.
C'est un gigantesque dortoir !!!!!!!

DHEJ
| 15-04-2016 11:19
Et tu oublies qu'il faut peut etre renvoyer tous les "kerkeniens" chez eux...

AH
| 15-04-2016 11:12
Je suis contre l'idée de "salaire, liberté et je garde les bras croisés".

Mais, le gouvernement à beaucoup à faire pour motiver les jeunes à se former, à rechercher du travail ainsi que sur le plan social.

Avec l'inflation des produits de base, les crises sociales telles que vécues en janvier dernier risquent de se répéter. le gouvernement et les organisations telles que l'UTICA en premier lieu doivent agir sur le plan social et ne pas se fier au calme.

kramerk@ymail.com
| 15-04-2016 11:01
"Les forces de l'ordre sont intervenues pour rouvrir la route et disperser les manifestants",

NON, il ne faut pas disperser les manifestants , il faut les ATTRAPER et les mettre en PRISON, car ce sont des saboteurs!!

Voilà le résultat de cette pseudo Liberté , que ces voyou et criminel qui tentent de bloquer des camions qui acheminent des combustibles n'ont pas comprise et estimé à sa juste valeur!

Des gens qui ne peuvent vivre et s'enrichir que dans le Chaos.

Poutine les auraient fusillés avant même l'arrivée de ces camions.

Contre des voyous, l'Etat doit être INTRAITABLE, INTREPIDE, et les prisons sont faites pour ce genre de criminels car: on ne touche pas à l'INTERET NATIONAL, point à la ligne!!!

mtz
| 15-04-2016 10:10
il n'y a rien a faire il faut juste retirer la police et les institutions de l'état fermer définitivement Petrofac et laisser les syndicats gérer la situation puisqu'ils ont tous les pouvoirs