Je saisis l'occasion pour rappeler aux Tunisiens la gigantesque trahison de l'Algérie contre la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011.
Comme le défunt dictateur déchu le général Ben Ali, s'y connaissait bien dans les stratégies militaires de la Tunisie, il fit savoir une fois pour toutes aux généraux algériens, que la faute qu'ils ont commise contre la victoire électorale du parti FIS en Algérie, en ayant annulé le second tour électoral pour le 16 janvier 1992, n'est que leur propre affaire et que leur propre problème à eux-seuls. Ben Ali (Allah yèrhamou), leur posa une question à laquelle les Algériens ne trouvent aucune réponse jusqu'à aujourd'hui:"si vous les Algériens, avec votre gigantesque armée et vos gigantesques moyens et richesses pétrolières, vous n'arrivez pas à vaincre ceux qui vous ont vaincus aux élections démocratiques, comment voulez-vous que la petite Tunisie le réussisse avec ses moyens limités?".
A cette suite, même le chef ou vice-président d'Al-Qaïda, Ayman al-Zawahiri, demanda à ses terroristes de ne pas s'attaquer aux intérêts de la Tunisie. Ben Ali autorisa aux habitants en bordure des montagnes frontalières avec l'Algérie, d'aller vendre de la nourriture, des vêtements et des produits sanitaires aux révoltés algériens, qui gîtaient pour se réfugier dans les grottes des montagnes entre l'Algérie et la Tunisie. De 1992 à 2011, vingt ans que des jeunes ne font rien et n'ont rien appris dans leur vie, que porter à dos d'ânes, de la nourriture et ce que leurs clients montagnards algériens, leur demandaient de leur acheter légalement en Tunisie à des prix imbattables, qui faisaient vivre des familles de cette zone des plus pauvres de la Tunisie.
A la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011 et juste après le départ de Ben Ali, les Algériens ont commencé à creuser sous les pieds des Tunisiens. Ils profitèrent de l'ignorance des nouveaux venus au pouvoir en Tunisie. Ils demandèrent aux amateurs politiques venus de France, d'Angleterre etc., à l'image du premier président démocratiquement élu en Tunisie, le Docteur Moncef Marzouki accompagné de plusieurs arrivistes politiques, totalement bleus en stratégie militaire. Ils leur imposèrent de mettre leurs révoltés algériens, en sandwichs entre l'armée algérienne et l'armée tunisienne. Le Père de la Révolution tunisienne du 14 janvier 2011, le Général Rachi Ammar (qu'Allah le Tout Puissant lui offre toute la bonne santé et tout le bonheur de ce monde), leur dit que l'armée tunisienne était complètement occupée à tenir l'ordre en Tunisie. Rien à faire. Ils le poussèrent à démissionner le Le 24 juin 2013. Les jeunes qui transportèrent des vivres sur leurs ânes, se transforment en "terroristes" et l'Algérie domina le cours de tout l'avenir de la Tunisie par leur mensonge de "Khawa-khawa", jusqu'à aujourd'hui, sans jamais avoir lâché la Tunisie, pour qu'elle puisse avancer vers les pays avancés.
Ils nous sabotent dans le bien et nous félicitent dans le mal. Sans une gigantesque distance de l'Algérie, il n'y aura jamais plus de vraie démocratie en Tunisie.
Allah yostir Tounes.